Reign: le destin de Marie reine d'Ecosse

L'évasion

"C'est simple donnons leur une information, bien entendu, fausse mais qui nous permettra de délivre un message au roi ." expliqua Lola.

" Il faudrait que nos kidnappeurs écrivent un message avec plusieurs sous entendu sur l'endroit ou nous sommes"reprit t-elle.

"Je comprend ton idée, mais comment allons nous faire pour qu'ils écrivent une telle chose"

"Il faudra être subtile" répliqua Aylee . 

"Mais où sommes nous?" Demande Kenna .
"J'ai reconnu le lac juste à côté,par la fenêtre, je m'y suis promenée à cheval" 
Tu saurais décrire l'endroit ? Repris Lola trépidante.
"Il me semble..." répondit elle.
Enfin une once d'espoir il fallait maintenant laisser entendre que la lettre était  coder et le donner à écrire à ces malfrats.
Mais nous n'avions plus le temps de préparer notre plan nos 2 kidnappeurs revenaient de leur sortie. Vite nous nous remettons à nos place respective.
La porte s'ouvrit violemment, mes amis sursautèrent, je ne devait pas leur montrait ma peur.
"Alors, mes demoiselles on a bien réfléchit ?" Disent ils en cœur en nous souriant mal sainement.
Je pris ma parole en me levant:
"Très bien, nous n'avons pas le choix nous coopérerons mais vous permettrais de relâcher mes amies par la suite! "
"Mais bien entendu." Me dit il en faisant sa révérence faussement polie.
J'espérais que mon jeu d'acteur sois assez bon pour qu il puisse nous sortir de la. Je leur racontèrent toutes sortes de secret infondés sur le roi et sa famille et cela me fit presque rire. 

Mais ça ne réglait toujours pas notre problème. Quand ils se rendrais compte que tout mes propos n'était que sornettes et mensonges ils nous tuerais sans la moindre hésitation.

Lola prit la parole. " le prince et la famille royal vont s'inquiéter de notre absence si vous nous retenez trop longtemps ils enverrons des gardes et des chiens pour nous retrouver! laisser nous leur envoyer un messages  leur indiquant que nous allons bien."
Les gardes réfléchir,puis se concertèrent à voie basse en se retournant. Nous attendions  un moment qui nous paraissait devenir une éternité en nous regardant toutes les unes et les autres. Nous savions que c'était notre seule chance de sortir d'ici.
Les deux hommes nous firent faces,un deux s'exprima:

" très bien, mais cette lettre tu l'écrira devant nous, ne nous entourloupe pas jeune fille." me dit il, en me regardant avec des yeux menaçantss et méfiant.

Il fallait être précis bien choisir les mots pour faire comprendre à François ou nous étions et que l'on était en danger sans éveiller les soupçons de ces malfrats.
Ils me donnèrent une feuille et une plume. J'écrivis avec ma plus belle plume , il fallait que j'inscrive des indices pour qu'il comprenne l'existence d'un un message codé. Je me lança alors, dans un récit assez pittoresque, je dois dire, le français n'avais jamais était mon point fort je préféré le latin. Mais la n'était pas la question. J'écrivis, qu'avec mes amis nous étions partit à cheval et nous avions pique niquer au bords d'un lac; j appuyais bien alors la plume sur ce mot ci afin que celui ci soit plus grand que les autres mots. J' écrivis de plus que nous nous étions assoupis sous des immenses pins. En effet le lac était boisé de pins, tout les mots symboliques était marqué plus gras avec cette pauvre plumes que je martyrisé. Je mis que nous nous étions arrêté dans une auberges pour la nuit à environ 2 lieu d'ici, voilà la distance qui nous séparé de cette maison d'horreur et le château. Après plusieurs indices laisser ici et là je termine avec ces quelques mots " en espérant que notre prochaine rencontré fut aussi plaisante que la dernière". En écrivant ces mots, je savais très bien quel message je voulais transmettre à Francois.  j'espérais qu il comprendrais que bien sûr je ne voulais pas que notre prochaine rencontre sois comme la dernière puisque celle ci avait juste été catastrophique mais que Francis comprennes que quelques choses n'allait pas je finis par inscrire" tendres baisers de moi et redai.
" qui est redai?" Demandèrent les brigands.
" C'est mon chien" leur mentis je, il ne fallait surtout pas qu'il comprenne que redai était le verlan du mot aider.
Je pris une grande respiration en espérant qu'après leur lecture ils ne virent rien de nos manigances. Très bien nous ferons passer cette lettre au prince, en attendant nous allons sortir pour vérifier vos informations. Si vous nous avais dupé nous le sauront.
Et de cette phrase, ils partir en rigolant en claquant la porte.
Nous soupirèrent. ils étaient parti, ils s'en était fallut de peu. Maintenant, il fallait que Francois comprenne et surtout qu'il vienne nous sauver alors que mes mensonges lui trottait toujours dans la tête. De plus il fallait impérativement que Francois comprenne et arrive avant que les deux bandits ne reviennes car mes informations était totalement fausses et nous causeraient sûrement de sérieuses représailles...