C'est moi ou j'ai poster deux fois le même chapitre ? Du coup, je reposte le bon chapitre, en espérant que sa ne bug pas. Encore désolé!
Vue de Christelle
Je me réveillai, dans une grande chambre blanche avec toujours cette touche de doré à certains endroit, des sortes de dessins il me semble. Quand je tournai la tête, je vis que l'homme qui m'a déjà sauvé la vie est là sur le côté, endormi dans un fauteuil. Maintenant que j'avais tout mon temps et que je pouvais le voir sans trop de problèmes, je dois avouer qu'il est plutôt mignon. Il doit à peine avoir 5 ans de plus que moi. Il est brun, mais je ne me souviens plus de la couleur de ses yeux, il est assez grand et il est musclé. Enfin, pas comme les garçons qui soulèvent des poids, mais il est quand même musclé. Il a presque le même teint que moi. Bon ok, il est carrément canon ! .Il est habillé différemment que le personnel, du coup je m'interroge sur son statut. Il y a un petit appareil qui fait des bips sans arrêt et franchement sa commence à m'agacer. Sérieusement, comment fait-il pour dormir avec ce bruit désagréable ? Je me débranche de tout les fils, certains sont reliés avec une poche de sang, d'autres avec un autre liquide transparent. Quand je débranche le fil qui me relie à la machine, elle fait un long bip permanent et une dizaine de personnes en blanc entres dans ma chambre et le gars derrière moi se lève d'un coup, je le sais car sa respiration calme à disparue et un gros bruit, signe que son fauteuil est tombé se fait entendre. Les infirmiers qui sont entrés avec une mine affolée ont l'air tellement soulagés que j'ai envie de rire.
-Bon, euh, merci pour ce que vous faites, hein, vous êtes géniaux. Mais moi j'y vais. Dis-je en me dirigeant rapidement vers la sortie. Mais l'homme derrière moi claqua des doigts et les infirmiers fermèrent la porte. Mais c'est qui sérieusement ? Le roi ? Je pousse un long soupir et me retourne vers lui.
-Désolé mais vous vous êtes déjà blésée alors que vous veniez d'arriver. Sachez que nous ne sommes arrivés que...
Et là il commença à faire tout un récit de notre fabuleux voyage. Enfin je crois. Non parce que je n'ai rien écouté à ce qu'il a dit. Il faut que je dise un truc pour qu'il se taise !
-Vous auriez un truc à bouffer ?
Il s'arrêta de parler et me fixa dans les yeux. Ses yeux étaient verts. Un vert profond. Il était vraiment canon sérieusement. Dommage qu'il soit dans le mauvais camp. Je restai accrochée à son regard jusqu'au moment ou il se mit à sourire. Puis il s'approcha de moi et me pris le bras, visiblement satisfait de quelque chose. Que j'ai faim peut-être ?
-Bien, on va aller manger dans ce cas. Dit-il en m'entraînant vers la sortie.
Comment allais-je sortir d'ici ? Et où étaient mes amis, Rosalina et les parents de David et d'Ambre ?
Vue d'Ambre
J'eu d'abords l'impression de tomber dans le vide puis d'atterrir lourdement sur le sol. D'ailleurs je me retrouvai les fesses dans la boue quand on arriva. Chris avait l'air ivre, vu comme il marchait et David tendait les bras pour garder un équilibre. Les servantes étaient tranquillement debout. Quand je regardai autour de moi je vis que nous étions en face d'une grande limousine noire. Et je voyais un peu plus loin des maisons.
-Cool ! Dis-je en me dirigeant vers la voiture. Mais ce n'est pas nécessaire vous sav...
-Ne l'écoutez pas, c'est absolument nécessaire, merci. M'interrompit Chris.
Je haussai les épaules et embarquait dans la voiture. Le chauffeur démarra, une fois que tout le monde fut installé et on arriva bientôt dans la ville. Quand on arriva près du château les grilles s'ouvrirent et on nous demanda de sortir de la voiture. La voiture fit demi-tour une fois que nous fûmes descendus, puis tourna à un croisement. Il y avait peut-être un parking qui sait ? Puis trois servantes vinrent et me tirèrent jusqu'à l'intérieur du château.
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Sang Royal tome 2: Aura de feu
FantasyQuand le petit groupe revient de ses vacances, il trouve le royaume en ruine, sans aucun signe de vie. Où sont donc passés leurs amis et famille. Impossible de communiquer avec eux. Mais très vite, ils s'appercoivent que ce n'est pas n'importe qui q...