Hey ,hey , hey! Désolé de poster aussi tard, d'habitude je les poste vers 16 heures, mais j'étais dans les boutiques pour acheter mes cadeaux de dernière minutes et c'était bondé! Bref, je vous souhaites de bonne fêtes et tout ce qui va avec, enfin je suppose que vous avez entendu ce discours des centaines de fois maintenant alors pas la peine de le répéter. En tout cas, bonne lecture !
Vue d'Ambre
J'ouvrai les yeux, mais les refermais immédiatement. Le soleil venait de m'aveugler. Je les rouvris petit à petit. J'étais allongée sous des arbres et des rayons de soleils traversaient entre toutes ces branches et feuilles pour venir dessiner comme des petits dessins sur l'herbe verte. J'étais étrangement sereine, pourtant, loin, bien loin dans mon esprit, j'avais comme une petite voix qui me disait que tout allait mal. Une impression comme de poids sur mon cœur persistait malgré le fait que j'étais d'excellente humeur.
-Ambre ! Ambreuuuh ! Appela une voix plus loin dans la forêt. C'était Elodie, ma meilleure amie qui m'appelait.
Je me redressai sur mes coudes, faisant se frotter les brins d'herbe à ma peau, me provoquant des chatouilles.
-Oui ?
-Dépêche-toi ou je garde tout pour moi ! Cria Elodie, avec une voix enjouée.
-Garder quoi ? Demandai-je en me redressant un peu plus.
David émergea des fourrés.
-Tu comptes la laisser manger tout le pique-nique ? Me demanda-t-il en m'aidant à me relever.
Je remarquais alors que j'étais habillée d'une simple robe blanche, fleurie à certains endroits. Elle était à bretelle et il y avait une fine ceinture qui marquait ma taille. J'étais pieds nus. Un chapeau de paille avec un ruban bleu turquoise m'abritait de l'insolation.
J'enlevais tout les brins d'herbes sur ma robe en la frappant légèrement.
-Certainement pas.
-Alors allons la chercher. Me dit David avec des yeux de prédateur en me tendant sa main.
J'attrapais sa main et on se mit à courir. Je tenais mon chapeau sur ma tête avec mon autre main posée dessus. Jamais l'herbe ne m'avait parue si agréable et douce. Mes cheveux volaient derrière moi tendis que je poussais des petits cris joyeux et David réagissait en rigolant. Mon cœur se gonflait de bonheur à chaque fois qu'il riait. Au loin, la lumière se fit plus intense. Je me rendis compte que c'était la fin de la foret car il y avait de moins en moins d'arbres. On sortit finalement de la forêt et on arrêta de courir pour admirer le paysage. Du vent vint faire flotter au dessus de mes épaules mes cheveux et me rafraîchir par la même occasion. Une énorme plaine, fleurie à certains endroits par des fleurs colorées était sublimée par le ciel bleu sans nuages. Les rayons du soleil venaient embellir ce magnifique paysage, en tapant sur les fleurs, les rendant presque brillantes. Un peu plus loin, la plaine devenait une petite pente et encore quelques mètres plus loin du bout de la pente se trouvait au lac, où semblait être rassemblés plusieurs personnes nous faisant de grands signes. Et devant nous se trouvait Elodie, courant avec un grand panier dans la main droite, vers ces gens.
Je me tournais mon visage vers David, et vit que celui-ci me regardais, justement. Comme prit en flagrant d'élit, il se mit à rougir en détournant les yeux. Je lâchais un petit rire avant de me mettre à courir après Elodie, tenant toujours la main de David. Arrivés dans la pente, l'herbe était étrangement mouillée et je me sentis tomber. Deux puissantes mains m'attrapèrent au niveau des côtes et me redressèrent. Je n'avais même pas besoin de courir : je surfais sur l'herbe mouillée. On descendit donc en surfant sur l'herbe, provoquant des rires des personnes nous attendant plus loin. On arriva en bas tranquillement et je me rendis compte que ce n'était personne d'autre que nos familles qui nous attendaient en bas. Il y avait mes parents, ceux de David et ceux d'Elodie.
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Sang Royal tome 2: Aura de feu
FantasíaQuand le petit groupe revient de ses vacances, il trouve le royaume en ruine, sans aucun signe de vie. Où sont donc passés leurs amis et famille. Impossible de communiquer avec eux. Mais très vite, ils s'appercoivent que ce n'est pas n'importe qui q...