Chapitre 31

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Margaux et moi nous nous dirigeons vers la salle à manger, elle a l'air de connaitre l'endroit, nous nous aventurons dans un dédale de couloirs, une légère odeur de pain frais flotte dans l'air nous ne sommes plus très loin d'après mon odorat.
-Moi: j'espère que c'est un festin par ce que j'ai une faim de loup !
-Elle: C'est plus ou moins garni selon l'argent que contient ta bourse....
-Moi: C'est payant ?
-Elle: La nourriture n'est pas gratuite...
Au fond de moi j'ose espérer que Margaux a une bourse bien remplie, j'ai vraiment vraiment faim cela peut paraitre superficiel pour certaines personnes mais n'oublions pas que manger est un besoin primaire, et mon corps n'est pas au top de sa forme...
Une voix abyssale prononce mon prénom...je sort de mes pensées et voit margaux me faire des signes de la main.
-Moi: Quoi ?
-Elle: Rien on est juste arriver au réfectoire...
Elle pousse une lourde porte de bois, c'est a croire qu'il y a un trésor a l'intérieur de cette pièce, en entrant je découvre une pièce pleine de table sur lesquelles se trouve toute sorte de nourriture, mon estomac prend le contrôle de mon cerveau et je commence a me servir prenant des petits pains du beurre et beaucoup de choses n'ont j'ignore la provenance mais qui m'ont l'air alléchantes.
-Elle: Euh Théo ?
-Moi: oui ?
-Elle: Ont a pas encore payer je te rappelle repose tout ça je n'ai pas assez d'argent....
-Moi: Ah...
A contre coeur je repose tout ce que j'avais dans mon assiette, les effluves me tordent l'estomac mais je résiste, nous nous avançons au fond de la salle margaux s'arrête a payer quand je sens un frisson dans ma nuque je me retourne et voit un homme aux yeux gris comme la lame d'un couteau, il me regarde je sens tout a coup au fond de moi un liquide froid me remontant jusqu'à mon coeur et me serrant la gorge la peur, j'ai envie de me blottir dans les bras de ma mère de sentir sa chaleur douce et rassurante mais je ne peut pas, brusquement l'homme se lève s'avance vers moi me bondit dessus et me prend par le cou en me soulevant mes pieds ne touchent plus le sol, je suffoque il prononce ces mots qui me font frémir << Tu n'est pas le bien venus humain !>>.

Je suis mort le 5 octobre 2078 [En Réecriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant