Je suis mort le 5 octobre 2078 [En Réecriture]

Chapitre 34

Une odeur acre flottait, le sol était humide et dur, il faisait sombre je voyait mes mains mais aucune trace de Margaux et pourtant une fille ne disparait pas comme ça !
J'étais dans une cellule qui malgré mes nombreuses tentatives restait close, dépité je me laissa tomber au sol et abandonna mes recherches de toute manière il fallait bien se rendre a l'évidence j'étais perdu a moins d'un miracle on allais me tuer car j'étais un humain et ma place n'étais pas ici, j'avais également perdu margaux ma seule lumière dans ce monde a cette heure ci elle devait être dans le palais en plein préparatif de mariage ou alors elle était punie et tentais de s'enfuire peut être même allais elle venir me chercher ?
Cette penser me fit rire jamais aucune fille ne m'avait aimer et encore moins ne m'avait couru après.
Margaux était tellement belle et tellement gentil avec moi, la où toutes les filles m'avait dégouter que ce soit dans leurs manières ou dans leurs expressions elle m'avait impressionner, a cet instant une larme chaude coula sur ma joue j'étais mort une fois et on m'avait laisser une seconde chance, j'allais mourir une deuxième fois et pour de bon sûrement !
Quelle mort allais ont m'accorder ? Pendaison ? Décapitation ? Ou allais t'on simplement loger une balle dans mon crâne ? Pour moi la meilleure option était la balle mais étant donner que je ne savais rien de ce monde je ne savais pas de quel moyen ils disposaient.
Une idée lumineuse envahit mon esprit j'allais faire ce que je savais le mieux faire c'est a dire dormir car si il ne me restait plus que quelque heure a vivre j'allais en profiter !
Mes paupières se fermèrent et je tomba dans un grand vide noire ou les songes m'attendait patiemment.

Un cliquetis me réveilla combien d'heures avait je dormis ? La lumière ne daignait pas se montrer dans ma cellule je doutais quelle puisse d'ailleurs l'atteindre, en observant mieux une ombre effrayante était poster devant ma porte ça y est c'était le moment je me leva autant mourir fière !
Cette ombre s'avança et surprise elle ne possédait aucun visage juste une cape noir l'envie de tirer dessus pour découvrir les dessous de cette créature me traversa l'esprit mais je risquais d'être déçu car en s'avançant elle n'avais produite aucun son et en y réfléchissant bien je ne l'avais pas encore entendu respirer ce devait être une sorte de soldat des ombres ou un fantôme gothique, dans tout les cas je ne pouvait plus bouger j'étais paralyser un souffle froid comme l'hiver m'engloba je ne ressentais plus rien.
Puis l'ombre se retourna et s'avança en dehors de ma cellule curieusement mes pieds ne touchait plus le sol, je flottais et je suivais la créature, il monta un escalier je le suivis sans pouvoir ni parler ni bouger et c'est avec beaucoup de peine que j'arrivais a respirer, une porte surgi devant l'ombre et souvra sans aucun son, une lumière aveuglante arriva jusqu'à mes yeux et si je n'avais pas été paralyser j'aurais immédiatement mis mes mains devant mes yeux, quand ma vision fut rétablis j'aperçus une grande cour beaucoup de personne était la assis a me fixer avec des yeux ronds ils étaient habiller de longues robes rouge sang tous sans aucune exception homme comme femme, enfin il y avait une exception un homme sur une sorte de terrasse me fixait d'un regard dédaigneux il était vêtu entièrement de couleur or ce devait être le roi d'autant plus que j'apercevais margaux assise a sa droite oui c'était bien lui, margaux elle aussi portais une robe, mais ce qui me choquait le plus était son absence d'émotion elle ne ressentait rien ou en tout cas elle ne montrait rien.
Je tombas durement au sol j'étais arriver a destination au centre de cette cour, une voix grave s'éleva prononçant un discours mais je n'écouta rien de cela car mon petit être était horrifier de ce que ces yeux voyait un bûcher m'attendait j'allais bruler vif un comble pour une personne qui s'était noyer quelques jours auparavant...