9 Mois | Justin Bieber (terminée)

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Quatre mois et trois semaines après la nuit à l'hôtel.

Point de vue, Starlie Jane Smith.

3 semaines déjà qu'il ne m'adresse plus la parole, il installe les clients sans même pose son regard sur moi, j'avais si mal au coeur de voir mon ami me détesté autant. La fin de mon service approchait, j'avais envie de lui parler et mettre les choses au clair entre nous. Je n'es jamais voulus le blesser. Je retire mon tablier ayant quelque douleur en bas de mon dos vu le poids de mon ventre maintenant. Je le pose derrière le comptoir et récupère mes affaires à l'arrière du bar pour afin sortir vers le parking où devait se trouver la moto de James. Lorsque je le vois débarquer son casque en main, je le rattrape par le bras voyant qu'il fuit mon regard.

─ James, s'il te plait ne me fuit pas.

─ Qu'est-ce que tu veux Starlie, ton mec n'est pas assez bien ? Il me regarde les yeux noirs de colère.

─ Calme toi, j'ai besoin de discuter avec toi. Ce mec chez moi c'était le père de mon fils, ce n'est pas n'importe qui.

─ Pour me dire quoi ? Je t'est tourné autour depuis tellement longtemps.. il regarde ensuite mon ventre arrondit par-dessus ma robe qui m'arrivait en haut des genoux collé au corps. Il a fallu un soir et tu te retrouve en cloque d'un mec qui s'en bat la race de toi. Il ne t'aide pas, il ne prend même pas la peine de t'aimer.

─ Tu ne sais pas ce que tu dis. Je secoue la tête sentant ma lèvre trembler. Justin est venu à la maison plusieurs jours, on a appris à se connaître pour élever cet enfant, on a discuté des projets après la naissance. Je m'emporte. On n'est pas en couple non, je suis toujours célibataire et oui, oui j'aime Justin pour la personne qu'il est quand il est seul avec moi, je l'aime quand il prend soin de moi, je l'aime quand ses doigts touchent mon ventre. Justin est peut-être la star qui pète plus haut que son cul mais, je sais qu'au fond de lui il a un coeur.

─ Regarde toi, ma pauvre tu le défends alors qu'il n'aura jamais envie d'être avec une fille ordinaire. Il secoue la tête face à moi. Il a tout pour lui, des filles à ses pieds il en a tellement, des meufs plus bonne les une que les autres.

─ Je.. je le regarde troubler de son comportement, je suis enceinte de lui..

─ Ce n'est pas une excuse, il a surement pitié de toi, pitié de l'enfant qui va être le sien.

Il met son casque sur la tête et enfourche sa moto. Je ne dis plus rien le voyant s'éloigner petit à petit de moi. Mes larmes coule le long de mes joues alors que j'avais qu'une seule envie c'était de lui foutre ma main dans la gueule. Il n'avait pas le droit de me balancer ce genre de choses. Jaloux ou pas, cela n'explique pas le manque de respect qu'il a eu envers moi et mon fils. Je n'avais plus goût à rien, je voulais simplement voir Pyper.

J'avais fini par appeler Pyper, j'étais assisse sur un banc, mon perfecto sur mes épaules ainsi que mon écharpe autour du cou, je l'attendais pour qu'elle me console un peu. J'en avais terriblement besoin depuis cette dispute. Je ne pourrais plus lui faire confiance. Il faisait assez frai, j'avais mis mes bottines et un collant opaque noir. On était le vendredi 29 janvier 2016 et il était presque 16h.

Des contactions assez forte ce fond sentir au niveau de mon ventre alors que je n'avais encore jamais sentis le bébé bouger de ma vie. Il ne bougeait d'ailleurs pas, c'était simplement ma peau qui s'étirait et cela me faisait un mal de chien. Je donne un coup sur le banc croisant mes jambes pour trouver une position moin douloureuse lorsque j'aperçois Pyper en compagnie d'Alfredo qui s'approche en courant de moi.