Someone who cares - Ziall fanfic [FRENCH] Complete

Epilogue

Trois mois plus tard:

Je me ronge les ongles en regardant Zayn tourner en rond. Il joue avec une cigarette, je sais qu'il a envie de l'allumer mais il ne le fera pas. Pas devant moi, plus devant moi. Je soupire et me lève pour attraper ses mains. Je suis autant stresser que lui mais si je ne fais rien il va finir par s'arracher les cheveux. Ses si beaux cheveux, on ne veut pas ça !

<< - Zi', mon coeur, tout va bien se passer. Il faut que tu te calme.- Mais s'il n'aime pas ce que je fais ? Ils vont surement trouver ça horrible et je vais-- Stop stop stop. le coupais-je De un tu dessine magnifiquement bien. De deux je suis persuadé que ça va marcher et ce même si tu n'as pas les diplômes.>>Je caresse doucement son visage et lui sourit tendrement pour qu'il reprenne confiance. Mais c'est vrai, je crois en lui, je crois en ses dessins. << - Et plus vite tu seras passer, plus vite on pourra rentrer célébrer. >>

Je lui offre un clin d'oeil alors qu'il éclate de rire. Rentrer chez nous. Parce que maintenant on a un nouvel appartement. Aussi grand que l'autre, un peu moins pourri mais surtout loin de cette agence maudite. La raison pour laquelle je crois en lui c'est parce qu'il n'a que moi. Parce qu'il était là pour mon entretien. Et parce qu'on a besoin de ça, je veux qu'il réussisse. Je veux que tout le monde sache à quel point il est talentueux. Et s'il doit commencer par faire des caricature dans un magasine, ainsi soit-il.

<< - Tu n'as pas d'élèves aujourd'hui ? demande-t-il en me serrant contre lui- Non, pas aujourd'hui. Mais tu peux être mon élève si tu veux.>>

Je donne des cours de guitare pour des enfants, j'ai décroché le job il y a deux semaines. Ça paye plutôt bien et les horaires sont pas trop ennuyant. En plus je fais de la guitare, quoi demander de mieux ? Je suis sincèrement heureux qu'on ai pris cette décision. Tout n'est pas encore tout rose mais je suis quasiment certains que tout ira bien pour nous à présent. Après tout j'ai enfin quelqu'un qui se soucie de moi. Son nom est appelé alors je le regarde droit dans les yeux.

<<- Je crois en toi. Je t'aime. soufflais-je- Je t'aime aussi. >>

Il m'embrasse et entre dans le bureau du directeur de la galerie. Je ne m'ys suis toujours pas habitué à l'entendre me dire <<je t'aime>>, mais je ne m'en lasserais jamais. On est enfin libre de vivre notre petite vie à deux, comme on le souhaite. Sans personne pour nous dire quoi faire, ni même comment. La vie parfaite ...