Sulivan. || TERMINÉ ||

5. ✔

Sulivan:

Depuis trente minutes Lisa est endormi, sa tête est posée sur mon épaule, j'ai voulu la coucher sur mes jambes, mais je n'ose pas la réveiller. Je la trouve belle les yeux fermés. Héloïse vient me voir, elle a mit sa veste, il était temps pour elle d'y aller.

Sulivan: Qu'est-ce que tu fais?

Héloïse: Mes parents sont venus me chercher plus tôt que prévu. J'y vais, ont se revoit au lycée lundi!

Sulivan: Ah dommage, bon et bien à demain alors!

Héloïse: Tu m'enverras un message si tu as réussi à l'embrasser!

Sulivan: Ferme ta gueule!

Héloïse: Ça-va je rigole détend toi! Bon aller salut!

Sulivan: Ouais, ouais c'est ça!

Héloïse: Oh une dernière chose.

Sulivan: Quoi encore?

Héloïse: Tu compte lui dire quand? Elle va s'en rendre compte tôt ou tard Suli.

Sulivan: Pas maintenant mais je te préviens, un seul mot et je te tues!

Héloïse: Comme si j'allais le dire, aller salut!

Puis Héloïse partit pour de bon. Il reste plus que moi, Lisa, et la télé. Bon c'est vrai ça ne compte pas trop. Je me sens pas encore prêt à lui dire à Lisa ma véritable identité c'est trop tôt, et puis, elle ne m'aimera pas pour Sulivan Guedouar mais pour Un Panda Moqueur. Depuis mardi, Héloïse n'arrête pas de me taquiner sur le fait que je suis proche de Lisa et que j'ai un petit faible pour elle. Héloïse pense qu'ont pourraient faire un joli petit couple tout les deux. Qu'est qu'elle est bête! C'est pas parce que je tiens beaucoup à Lisa que je vais sûrement finir avec elle! L'amitié Fille et Garçon existe non? En parlant de Lisa, je la sens bouger, oh merde je l'ai réveillé avec mes pensées à voix haute...

Lisa: Hmmm...

Sa tête tourne sur le côté. Elle commence à ouvrir doucement ces petits yeux. Elle me regarde quelques secondes en clignant plusieurs fois des yeux pour bien regarder. Je ne peux pas m'empêcher de sourire pour la rassurer. Au contraire, elle se relève d'un coup rouge de honte.

Lisa: Oh merde je suis désolé, je sais pas se qui m'a prit! J'étais fatiguée je te promet que je ne voulais pas que...

Je la coupe dans son élan.

Sulivan: Hého du calme! C'est pas la fin du monde! Ça ne m'a pas dérangé du tout ce que tu as fais.

Lisa: Vraiment?

Sulivan: Bien sûr. Mon épaule devait être comfortable.

Lisa:

Je sens mes joues gonflé à bloc.
Je détournes son regard gêné pour fixer l'horloge qui indique dix-huit heures trente, merde je vais me faire engueuler! Je me lève.