Chapitre 2: La réaction de Raphaëlle

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Nous arrivâmes à l'école vers 8h20. Ce voyage m'avait paru une éternité alors qu'il n'avait duré que 20 minutes. Je devais absolument sortir de ce bus. J'avais besoin d'air et de Raphaëlle. Elle devais absolument savoir ce qui venais de ce passer.

- No, me dit ma sœur, tu peux sortir, tu sais.

Parfois ( ou devrais-je dire souvent), je me perdais dans mes pensées. Je pensais à énormément de choses différentes sauf de rester dans la réalité, alors je perdais le file du temps.

- Oui, oui. Merci, lui répondis-je

Alors que je me dirigeai vers la sortie, une surprise m'attendais. Lui, le gars au regard attachant, il se tenait devant la porte et me regarda. Bon, j'avoue qu'était est charmant, mais pouvais-il seulement me laisser sortir de cet affreux véhicule jaune sans me déstabiliser?

Je commençai à descendre les quelques marches et manquai la dernière. Je fus projetée vers l'avant et tombai assez durement dans les bras du gars que je ne connaissais pas encore le nom. Il me lança le plus magnifique sourire que j'eu jamais vu.

- Au bon endroit, au bon moment, me dit-il toujours me souriant. En passant, mon nom est Derek.

- Désolée, je ne voulait te tomber dessus.

Je me dégageai de son emprise et parti en marche rapide vers l'école. C'est fou comment la journée commençait bien! Je repris un rythme de marche normal, car je savais pertinemment qu'il ne me suivais plus.

Je fus heureuse de voir que Raph était déjà arrivée. Je me jognai à elle et avant même d'enlever mon sac, je la serra dans me bras. Je lâchai un soupire qui aurais dû sortir depuis un long moment.

- Sa va? Me demanda-elle l'air inquiète. Tu semble découragée.

- Tu ne peut même pas t'imaginer tout ce qui vient de ce passer ce matin.

- Raconte!

Après avoir retiré mon sac et rangé mes cahiers dans mon casier, nous nous assoyâmes sur un banc tout près des cases. Je lui racontai toutes les choses étranges depuis ce matin. Elle me serra dans ses bras pour me consoler, mais au fond d'elle, je savais bien ce qu'elle se moquait de moi.

- Il est beau au moins? Me demanda-elle avec son sourire radieux collé sur son visage un peu bronzé.

Je lui lançai un regard assassin. Je lui confiai les choses les plus stressantes de ma ma vie. Elle avait toujours bien réagit, mais lorsqu'il s'agissait des garçons, elle ne faisait plus partie de la planète.

Heureusement, juste avant de j'eusse le temps de répondre je-ne-sais trop-quoi, la cloche annonçant le début des cours se fit entendre.

Wolves (en réécriture) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant