Chapitre 6: Changement

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Quelle nuit horrible! Je me réveillai avec les idées embrouillées. Quel était ce rêve? Je sortie de mes couvertures. Le contacte du soleil me fis verser une larme. Qu'est-ce qui m'arrivais? En temps normal, j'adorais le soleil et l'été. Mais désormais, c'était une autre histoire. Je m'habillai rapidement et je rejoignis les autres dans le notre grand salon spacieux. Ils me dévisageaient, l'air inquiet.

- Quoi! Je lançai. Pourquoi vous me fixez comme ça?

- Tu es étrange ce matin, me répondit mon père.

- Comme toujours...

Je préparai mon petit-déjeuner: du grau nature et un yogourt au cerises. Je n'osai pas admirer le paysage qui se trouvait dernière la maison. La rivière était d'un bleu claire, et absolument magnifique, mais j'avais un peu peur pour mes yeux. L'heure de sortir est arriver. Je mis mes chaussures (que je n'eu pas oublier cette fois) et une veste de cuivre noir pas très chaude. Je m'appropriai des lunettes de soleil et je me jetai à l'extérieur. Disons que c'était sensiblement supportable. Je me rendis à mon arrêt avec ma sœur qui me fixait depuis déjà trop longtemps.

- Tu as terminé ton cirque? Finit-elle par articuler.

- Mon cirque!? Tu n'as aucun idée de ce qui ce passe dans ma vie!

- Si, répondit-elle, tu es devenu complètement cinglée. Pourquoi tu mets des lunettes de soleil? D'habitude tu déteste en mettre et en plus, il ne fait même pas soleil!

- bien sûr que oui, je ripostai en lui tournant le dos.

Sandrine grimaçât. Elle lança un soupire et leva les yeux au ciel. Si au moins elle savait... Je croisai les bras et nous attendîmes l'autobus sans mots dire. Lorsqu'elle se pointa, je grimpai à l'intérieur et m'assois, comme d'habitude, dans mon siège qui est toujours libre. Je pleurai en silence. De toute façon, personne ne se préoccupait de moi alors ça ne paraissait pas. Je m'acharnai sur mon cas. Pourquoi moi? Mes pleures furent interrompus par Derek qui  s'installa près de moi.

- Salut, dit-il d'un ton plutôt calme, est-ce que sa va?

Il me regarda perplexe.

- Non, je réponds la voix tremblotante, mais je ne peux rien te dire.

- Pourquoi?

- Parce que.

Je reniflai un bon coups avant de reprendre le fils de mes pensées.

Sans même savoir pourquoi, je laissai ma tête tomber doucement sur son épaule.malgré sa
Surprise, il me caressa les cheveux. Un sentiment positif s'empara de moi et je cessai immédiatement de pleurer. En un signe de compassion, il pose sa tête sur la mienne. Nous restâmes dans cette position jusqu'à notre arrivée où une autre journée était sur le point de commencer.

Wolves (en réécriture) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant