Les festivités naissaient petit à petit, nous nous étions installés sous un pont en centre ville en face de la place centrale ou un compte à rebours était déployé, il comptait les heures restantes avant minuit.
-On ne vas pas rester ici toute notre vie non? Et si on se promenait en attendant? Proposa la pauvre Rika qui n'aimait pas rester assise à ne rien faire.
-Tu veux faire quoi? On connaît cette ville comme notre poche, on connaît chaque recoin il n'y a plus rien à faire. Soupira Oshiro qui la regarda.
-Eh Legi soit sympa vient! Elle lui attrapa le bras et essayait de le soulever, un nerf ressortait sur le front du jeune homme.
-Mais pourquoi moi? Soupira-t-il. Akira veux peut-être t'accompagner non?
Elle se tourna toute heureuse de proposer à son amie de l'accompagner, elle accepta sans attendre, de ce que j'ai compris elles étaient partie en direction du fleuriste quand je me retourna sur moi-même, l'impression d'être observé m'étais venu.
-En faite avec Akira ça se passe comment?
-Euh... bah plutôt bien.
-Vous ne vous parlez pas beaucoup non plus... Remarqua mon ami, c'est vrai que lorsque nous sommes face à face nous ne trouvons rien à nous dire, nous nous sentons plus à l'aise à travers nos téléphone. C'est une sensation étrange, nous avons parlé hier soir et même au beau milieu de la nuit et là aujourd'hui rien pas un mot. Que dois-je faire? Ce silence est-il voulut? Ou ai-je fais quelque chose... dois-je le dire au Don Juan qui est devant moi? Non ça ne le regarde pas.
-Et toi tu apprécies bien la présence de la folle non?
-Elle est mignonne mais impossible à vivre! Ricana-t-il. Ne t'imagine pas une seconde qu'elle me plaise!
-J'ai pas dit ça... Dis-je pour me rattraper sous son regard.
-Au faite tu as compris quelque chose à propos de ce que disait Hina tout à l'heure? Me questionna Oshiro perplexe.
-Non!
Nous parlions de l'incident quand nos portables vibrèrent en cœur, nous nous regardèrent et sourirent en pensant savoir de qui il s'agissait, nous consultions nos messages, un numéro inconnu venaient de nous envoyer « Je vous adores! Je suis votre fan numéro un j'aurais droit à un autographe? ». Nous n'avions pas besoin de chercher Hina avait réussi à récupérer nos numéros au près des autres lycéens, elle envoya un nouveau message, cette fois c'était pour nous demander si on avait bien vue le message... j'avais envie de rire, Oshiro lui non, il lui répondit sèchement qu'il ne comptait pas lui répondre mais qu'il voudrait savoir pourquoi nous aimer soudainement comme ça. Elle répondit, tout nous était révélés. Elle avait remarqué qu'Oshiro et moi dessinions et écrivions des histoires en tout genre et, étant proche de nous elle s'arrangeait toujours pour zyeuté nos œuvre voilà tout, cette histoire était assez drôle, même Oshiro sourit.
-Elle est pas si inutile que ça enfaîte, elle a vu notre talent! Il me lança un regard amusé. Oshiro continua alors la discutions avec elle puis au bout de deux ou trois échanges Hina apparu sur notre gauche, comment pouvait-elle savoir que nous étions ici? On apprit qu'elle nous suivaient depuis tout à l'heure.
-Désespérante... Souffla Oshiro amusé par la situation.
-J'adore ce que vous faites! Les textes avec rythme de Yuma sont magnifiques bien que certaines fois le vocabulaires ne soit pas très recherché! Souligna la jeune fille en en les regardant d'un regard flamboyant.
-Mais enfin c'est tout de même une histoire étrange! Releva Oshiro quand Hina m'approcha pas à pas.
-Non ici personne ne connaît l'avenir, je me passerais de vos avis. Il suffit de lever la tête haut vers le ciel ou même encore de penser à elle, cette personne vous la connaissez vous tous la chérissez... Elle récitait ce texte que je connaissais bien, il était le tout dernier que j'avais écrit dans un cahier. Je l'expliqua à Oshiro qui me regarda sans voix.
-Bon... et si on allait rejoindre les filles Yuma? Proposa-t-il voulant s'éloigner d'Hina le plus vite possible. Nous quittions Hina qui semblait triste et nous nous dirigions vers le fleuriste.
-Yuma c'était bien ton texte? Repensa Oshiro tout haut.
-Euh oui.
-C'était plutôt bien je dois dire. Complimenta-t-il en me lançant une regard amical.
-Merci. Répondis-je emplis de gêne, son regard me perturbais.
-Tu n'as jamais pensé à te faire éditer? Bon je te l'accorde, il est pratiquement impossible de l'être mais bon pourquoi ne pas essayer?
Je conserva un silence qui énerva mon ami, il voyait bien qu'à chaque décision importante je parvenais à me faufiler, à contourner le problème, il en avait assez, on sentait dans son grain de voix une jeune colère naître.
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Dream of Life
Genç KurguCe matin le réveil sonna de la même façon que ces deux dernières semaines ; un bruit que chaque élève redoute chaque matin et ce tout le long de l'année ; le réveil affichait « 7h00 ». Un pied qui dépasse du lit, un drap froissé et à moitié par terr...