Quand Une Sainte-Nitouche Rencontre Un Coureur De Jupons !!!

Chapitre 21: Moto...

- Cette fois tu es restée assise bien sagement à m'attendre. Entendis-je derrière moi.

Je me retourne et fais face à Noé les cheveux encore mouillés, portant un tee-shirt noir assez moulant pour que je distingue ses abdos à travers celui-ci accompagner d'un jeans noir également. À tomber par terre ce mec, je fond une fois de plus à ça vu.

- J'avais pas le choix. Répliquée-je.
- Je rigole pas avec toi sainte-nitouche si je te dis tu reste là à m'attendre, tu reste là ! Tu ne fouille pas et encore moins dans mes affaires. C'est bien compris j'espère ? Me dit-il en se rapprochant de moi.
- Si tu voulais pas que je touche à tes affaires comme tu dis fallait pas me faire venir chez toi, pauvre con. Rajoutez-je moi même offusquée de mes propre paroles.

Je le lève en trombe du canapé en le poussant au passage, celui-ci bascule légèrement en arrière. Bien fait pour lui et en y repensant il et serte beaux mais c'est surtout un beau con ! Je sors de sa "villa" comme il l'appelle et m'engage dans la rue sans trop savoir où aller. Je continue tout de même tout droit sans m'arrêter. Il me pousse réellement à bout, dans mes retranchements et je ne peux plus supporter ça. Un léger bruit de moto se rapproche de moi.

- Tu vas où comme çà jolie cœur ?

Non pas encore lui c'est pas possible, il essai vraiment de me faire énerver le plus possible.

- Allez jolie cœur.

Quel nul ce mec me dis-je à moi même et ses surnoms a deux balles il peut bien se les garder. Le bruit de moto est toujours présent mais il marche maintenant à mon allure. Mais attendait monsieur a une moto ! Première nouvelle, en même temps maintenant en ayant vue où il habitait je peux m'attendre à tout.

- Je vais pas te suivre toute l'aprèm comment ça.
- Me suit plus je t'ai rien demandée.
- Ouh on est énervée mon jolie cœur.
- T'as gueule Noé.
- Tu m'impressionnes de jours en jours.
- Pourquoi donc ? Dis-je en continuant à marcher le plus vite possible.
- Tu te rebelle.
- Super et à cause de qui, de toi bien sur.
- Tu montres ta vraie nature. 

J'aurais tout entendue, moi réellement comme ça jamais. C'est juste avec lui que ce comportement se met en place. Tout est de sa faute j'en suis certaine.

- Tu comptes t'arrêter un jour ? Me demande t'il.

Je ne répond pas et ne ralentit pas mon pat pour autant.

Je n'entend plus le bruit de la moto qui me suis, j'en conclu donc qu'il a enfin abandonné. Ce n'est pas trop tôt, débarrassée de lui. Mais j'ai parlée bien trop vite le voilà qu'il apparaît devant moi et me bloque la route.

- Maintenant tu t'arrêtes et tu m'écoutes.
- Non !
- Tu n'as pas le choix le cinéma est fini. On rentre !
- Mince je peux pas rentrer dans ta villa. Me moquais-je de lui.
- Arrête tes conneries arrête de parler, si tu ne m'écoutes pas avant. En aucun cas j'ai dis ça.
- Quoi qu'il en soit je ne retourne pas chez toi.

Il m'empoignade le bras, ne me laisse pas le choix et m'amène jusqu'a sa moto.

- Monte !
- Hors de question monter sur cet engin, tu veux ma mort ?

Il rigole et me prend la main. Je suis comme électrocuté par le contact de se main sur la peau. À la fois également surprise par son geste je fais un pat de recul comme si une peur d'être trop prêt de lui était présente au fond de moi.

- Vient tu ne risque rien. Me dit t'il d'un ton doux et rassurent

Comment peut-il changer de caractère aussi vite, je me le demande bien. Il a une double personnalité ce n'est pas possible.

- En plus si c'est moi qui conduit tu ne risques rien. Rajoute-il en se vantant.

Là je reconnais bien le Noé que je connais ! Enfin celui que je connais depuis peu, si je peux appeler ça le connaître.

- Je pense que je devrais avoir encore plus peur dans ce cas.
- Salope.
- Quoi ?
- Je rigole, zen.

Drôle de façon de rigoler ma parole. Je finie par monter sur sa foutu moto, je ne vais quand même pas rentrer à pied. Sans m'en rendre vraiment compte j'ai quand même bien marché pour arriver jusqu'ici.

Nous, nous retrouvons à nouveaux quelques minutes après devant sa villa. Heureusement il n'a pas roulé trop vite et je lui en suis reconnaissante. Pour une première fois sur une moto je peux dire que c'était pas mal.

- Suis-moi. Me dit-il.

Nous rentrons et il emprunte les escaliers.

- Suis-moi je viens de te dire.
- Je croyais que j'avais pas le droit de monter à l'étage.
- Fait pas l'imbécile Éloïse si je te dis de me suivre tu le fais.

Encore et toujours aussi lunatique, je n'en peut plus de lui !

Me voilà en train de le suivre dans les escaliers, mes yeux se posent sur ses fesses bien ferme. Mais qu'est-ce que je fais moi, je détourne vite les yeux, rouge de honte rien qu'à l'évocation de cette pensée.

Nous arrivons devant une des portes de son grand couloir. Il disparaît quelques secondes dans sa chambre et revient une clé à la main. Il déverrouille une des portes et entre à l'intérieur.

- Vient me rejoindre. Me dit-il calmement.

Que referme cette pièce, je me précipite à l'intérieur pour le suivre et découvrir un de ses pièces si mystérieuse pour moi...

Que pensez-vous que referme cette pièce ?

Coucou mes chats voilà un chapitre pour fêter les 20 000 j'aime de la page et pour fêter les vacances. Bisous mes amours. 😘💘 Mathilde