Quand Une Sainte-Nitouche Rencontre Un Coureur De Jupons !!!

Chapitre 15: Les balises...

- Rattraper les cours de sport que l'on a pas fait.
- C'est à dire ?
- Te montrer les balises.
- C'est pas trop tôt.
- Déjà bien que je te les montrent.
- Encore heureux c'est à cause de qui que l'on a pas fait sport à chaque fois ?À cause de toi monsieur Wilson, à cause de toi.
- On se calme mademoiselle Robert, je vais remédier à ça.
- Bien.

Pour une fois qu'il est un peu censé laissons le faire. Il gare la voiture pas loin de la Tour Eiffel.

- Aller descend et regarde bien je vais pas te refaire voir, alors analyse tout dans les moindres détails.

Lunatique un jour lunatique toujours !

- Tu pourrais être plus agréable des fois.
- J'ai pas envie.

Nous arrivons au pied de la Tour Eiffel.

- Regarde bien les balises serons derrière coter jardin face à la Tour Montparnasse.
- D'accord très bien.
- Il faudra que tu indiques le numéros présent dessus.
- Très bien.
- Continuons on va prendre le métro.

Nous nous dirigeons donc vers la station de métro.

- Alors la prochaine balise se trouve où exactement ?
- Une sur Les Champs Élysée et une autre près de L'arc de Triomphe.
- D'accord.
- Sinon tu racontes quoi de beau ?
- Je sais pas moi.
- Tu parles plus quand tu es bourrée.
- Tu vas pas encore remettre ça sur le tapis.
- Tu vas pas encore remettre ça sur le tapis. Répète t'il en m'imitant.
- Très drôle, bravo.
- Je sais pas tu me fais rire, tu sors toujours des expressions ou des phrases que plus personnes ne prononcent.
- C'est bien alors si je te fais rire. Lui dis-je ironiquement.
- Te vexe pas.
- Je ne suis pas vexée !
- À peine.
- Tu te moque toujours de moi, arrête de me casser les pieds à la fin.
- Qu'est ce que je disais. Dit-il mort de rire.

Je le regarde et nous explosons de rire, tout le monde nous regarde dans le métro.

- Tu vois même toi tu rigoles.
- C'est vraie mais je fais pas exprès je te jure.
- Je te crois. Dit-il encore en train de rigoler. Bon aller suis moi on descend on est arrivé.

Nous marchons sur l'avenue des Champs Élysée, c'est trop beau la nuit. Je crois que c'est la première foi depuis que je suis arrivée à Paris que cette ville me plaît.

- C'est beau.
- Tu n'étais jamais venue de nuit.
- Non pas vraiment.
- Heureusement que je t'ai fait rater les cours de sport alors, c'est un bien pour un mal.
- Et après c'est moi qui utilise toujours des vieilles expressions.
- C'est toi qui me contamine à force. Rit-il.
- T'es bête. Et je lui donne une petite tape sur l'épaule.
- Tu oses me frapper ?
- Oui.
- Cour Éloise.

Je ne réfléchie pas et je cour car je sais que Noé est capable de tout. Il réussie à me rattraper en un rien de temps et me plaque contre un mur.

- Alors on fait moins la belle maintenant mademoiselle Robert.
- Si, si tout va bien. Lui dis-je avec mon plus beau sourire.
- Sure ?
- Oui.

Il se rapproche de plus en plus de mon visage. À ce moment je ne suis plus sure de rien, il a encore cette odeur qui est juste envoûtante.

- Mademoiselle est bien silencieuse d'un coup. Me dit-il faiblement a l'oreille.

Je suis comme figé, je ne peux plus bouger, parler, je suis là sans y être.

- Noé c'est toi mec.

D'un coup je reprend mes esprits, Noé m'a lâché et un grand blond, tatoué est devant nous.

- Ça va Bradi, tu fous quoi ici ?
- Un peut de shopping. Et toi tu chopes comme toujours.
- Faut bien.