Chapitre 20: Villa...

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Sur ce nous, nous regardons un moment et décidons de redescendre sur terre.

- On y va. Me dit Noé.
- Allons y.
- Tu veux faire quoi maintenant ?
- C'était pas toi qui devait me faire découvrir des choses et m'amener dans des endroits à Paris.
- Si mais je sais pas tu veux qu'on aille manger avant il est déjà 12h30.
- Déjà oui dépêchons nous alors. Moi je retourne en cour cette après-midi.
- Non je te prend ta journée complète.
- Non Noé.
- Si Éloise lâche toi un peut. Un jour c'est quoi ?
- Rien.
- Alors arrête de penser au cour.

Je ne suis pas bien quand je suis en sa présence je ne raisonne plus de la même façon. Je raisonne même très bêtement. Qu'est-ce qu'il m'a pris de lui dire que rater une journée de cour était rien pour moi. Je deviens folle. Et lui de même pourquoi est-il si gentil tout d'un coup avec moi ? En plus de ça il veut que l'on mange ensemble une fois de plus. Que manigance t'il ?

- MacDo ça te va ? Me questionne t'il.
- Bien sûr.
- Au moins tu n'est pas une de ses filles végétariens c'est déjà ça.

Nous nous dirigeons en silence vers notre lieux de déjeuner. Une fois nos repas commander nous nous asseyons avec notre commande.

- Je peux te poser une question ?
- Oui. Me répond-il t'il.
- Tu connais un Austin ?

A l'évocation de ma question Noé change d'expression. Je suis sure à ce moment là qu'il sait de qui je parle.

- Non pourquoi. Me répond-il comme si de rien n'était. 
- Tu es sur ?
- Oui.
- Certain.
- Si je te le dis putain tu es sourde ou quoi ! Me dit-il tout à coup énervé.
- C'est bon calme toi.
- Tu me soules avec tes questions de merde aussi, toi même tu es soûlante.
- Très bien si je suis soûlante, je m'en vais.

Je rassemble mes affaires et m'apprête à partir mais Noé me retient le bras.

- Tu ne vas nulle part.
- Lâche moi immédiatement.
- Sinon quoi ? Me répond-il amusé.
- Je sais pas mais il y aura des conséquences.
- Très bien rassied toi. Me dit-il en rigolant.

Il se fou de moi en plus.

- Mange. M'ordonne t'il.

Je n'ose pas répliquer après le ton qu'il vient d'employer. Je mange finalement sans grade faim. J'ai de plus en plus de mal à supporter ces ordres, même si je suis une fille plutôt timide, je n'aime pas me laisser faire ainsi. Mais avec lui tout change, je ne peut pas le supporter mais il y a quelques choses en moi qui me dit de continuer.

- Bon maintenant on y va. Me dit-il en se levant une fois le repas terminé.
- Arrête de me commander comme ça.
- Tu n'en fais cas ta tête alors faut bien.

Comment ce permet-il de me parler comme ça, ce mec me met dans tout mes états. Mais je le suis une fois de plus sans brocher. Nous arrivons dans sa voiture que je trouve à son image noire et mystérieuse comme lui avec de la puissance.

- Noé pourquoi es-tu comme ça ?
- Comment me dit- il ? En me fixant et en reposant son regard sur la route.
- Je sais pas je n'arrive pas à te cerner.
- Tant mieux, pour une fois tu ne peux pas tout contrôler. Me dit-il en riant.
- J'y arriverais.
- Bonne chance saint-nitouche.
- Noé !
- Quoi ? Dit-il innocemment.
- Va tu arrêter avec cela ?
- Jamais. Me rit-il au nez.
- Tu es horrible comme personne.
- Je sais je suis même diabolique. Me sourit-il.

Je ne répond pas et lève les yeux au ciel, il me désespère.

- Et on lève pas les yeux au ciel mademoiselle, je te l'ai déjà dit.
- Je fait ce qui me plait je te l'ai déjà dis moi aussi.
- Rebelle de plus en plus ça te va bien.

Qu'est-ce qu'il raconte encore ?

- On va où ? Lui dis-je pour changer de sujet.
- Chez moi.
- Pourquoi ?
- Il me faut une raison peut être pour aller chez moi.
- Ramène moi au lycée alors.
- Non je t'ai déjà dit aujourd'hui journée sans lycée ma belle. Je sais c'est trop dur pour toi, tu ne peux pas t'instruire pendant une journée. Ricane t-il.

Quelle nul pour moi mon avenir est très important même primordial !

Nous nous garrons devant une grande maison, bien trop grande je trouve. Lui qui me disait qu'il n'aimer pas les bourges et les fils et filles à papa. Ça en est bien un et il peut garder ces apriori pour lui avant de critiquer les autres.

- C'est ta maison ?
- Ma villa, bien sur.
- Et après sa critique les filles à papa. Dis-je pour le provoquer.
- Cette ville est à moi et à moi seul, je me la suis gagnée.
- Comment ?

Je ne comprend pas tout à ce moment précis. Comment peut-il avoir un villa de ce genre à cet âge là et avec quel argent surtout ? Encore une fois il me parait énigmatique et tellement de question me trotte dans la tête.

- Bon tu me suis au tu comptes rester là comme une conne devant ma villa. Mes voisins vont se demander qu'elle conne j'ai encore ramenais chez moi.

Toujours aussi gentil à ce que je peux remarquer. Je peux être sure d'une chose, je ne suis pas la première fille à entrer chez lui. À l'entendre parler elles peuvent se compter par dizaine même centaine qui sait.

- Bouge ton cul. Me cri-il depuis le palier.

Je le rejoins et le suis. On entre dans la maison et il referme la porte derrière moi. Nous entrons dans une grande pièce très moderne cuisine à l'américaine qui donne sur un grand salon dans les tons noirs et blanc. Je ne peux pas lui enlever ça, on peut dire qu'il a du goût. Pour quelqu'un qui vit seul cela m'étonne.

- On fais quoi maintenant ? Lui demandais-je.
- Moi je vais me doucher et toi tu t'assied sur ce canapé et tu attends mon retour sagement.
- Pourquoi m'as tu amenais ici pour que je t'attends assise là ?
- Arrête poser tout le temps des questions ça m'épuise. Et puis tu as intérêt à rester bien tranquille à m'attendant. Me dit-il déjà dans l'escalier.

Des ordres, des ordres et encore des ordres: Je Commence À En Avoir Assez.

J'attend quelques instant puis je me lève lassais d'attendre sur ce canapé sans rien faire. Je fais le tour de la pièce et regarde un peut partout. Malgré la beauté des couleurs et de la pièce, je la trouve assez impersonnelle. Pas de photo, pas de cadre pas d'objet, bizarre. Je me dirige vers la cuisine qui me semble très fonctionnelle. À t'il besoin de tout cela, ça m'étonnerais je le vois mal cuisiner. Rien cas cette idée, je rigole. Je décide de monter les escaliers à mes risques et péril. Si Noé me prend en flagrant délit je crois que je suis morte. Arrivez à l'étage un grand couloir s'ouvre à moi avec pleins de portes. Vers l'une d'elle j'entends l'eau couler, je le doute alors que ce doit être la salle de bain. Il faut donc que je fasse le moins de bruit possible en traversant ce couloir. Je me dirige vers une porte, j'essaie de la déverrouiller, elle est fermée. Pareillement pour celle à côté d'elle et ainsi de suite. Pourquoi ses portes sont-elles fermées, que referme t'elle ? D'un coup derrière moi une porte s'ouvre.

- Que fais-tu là je t'avais bien dit de l'attendre en bas ?

Je me retourne mince qu'elle nouille Noé est devant moi une serviette accrochée à la taille et encore tout mouillée. Il me regarde avec un air menaçant mais bizarrement je n'ai pas peur. Je ne peux pas décrocher mon regard de son corps qui me semble parfait. Il a des ses muscles et ce V comment ne pas craquer.

- Éloïse je te parle. Cri t'il soudain très fort.
- Quoi je m'ennuyais seule en bas.
- C'est un raison pour venir fouiller en haut.
- Je ne fouillais pas.
- Descend immédiatement et ne remet plus jamais les pieds ici. Attend moi sur le canapé et ne bouge pas cette fois, sinon ça va mal se passer.
- Mais...
- Ne réplique pas.

Je descend à contre cœur, je veux savoir ce que referme ses portes. Je repart m'asseoir gentiment sur le canapé comme le veut monsieur. Il me menace en plus maintenant. Je ne le comprend pas le faire venir dans cette maison me fait encore plus poser de questions sur sa mystérieuse personne.

Bonne Saint-Valentin mes amours !!! ❤️ Cette petite suite pour vous faire passer une bonne fin de week-end agréable. J'espère que le mystérieux Noé vous plait toujours autant, à moi oui en tout cas. Et à Éloise vous croyez ? Bisous mes Amour Mathilde 💖😘

Quand Une Sainte-Nitouche Rencontre Un Coureur De Jupons !!!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant