Chapitre 48: Succomber à tant de beauté naturelle...

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Point de vue de Noé :

Nous goûtons et je décide de changer de sujet.

- Tu le sens comment le bac ?

C'est la seule phrase qui me passe par la tête, je sais c'est bête.

- Je sais pas on verra bien, ça fait à peine deux mois que nous sommes rentré en cours.
- Tu es une élève sérieuse. De plus en intéressant monsieur Wilson se moque ma conscience.
- Je sais mais tu sais le bac ce n'est pas acquis.
- Oui mais quand on est une intello tout est acquis.
- Je ne suis pas une intello j'ai juste quelques facilitées c'est tout.
- Si tu le dis.

Je ne sais pas quoi lui dire c'est la première fois que je suis face à une fille sans pouvoir rien lui dire.  Elle m'impressionne ! C'est fou ça quand même. Moi Noé Wilson impressionné par une fille. Plus je passe de temps avec elle plus je l'apprécie et plus j'ai peur d'avancer, de faire des conneries, de lui faire du mal. Je ne sais tout simplement pas comment agir en sa présence.

- Et toi alors le BTS, me dit-elle soudainement.
- Ça se passe, lui dis-je bêtement une nouvelle fois.
- Ok, me dit elle en attrapant un gâteau avant de le mettre dans sa bouche.

Sa bouche qu'est-ce qu'elle est sexy. À chaque fois que je vois ses lèvres j'ai envie de les embrasser, c'est pour vous dire comme elle m'attire.

- Qu'est-ce que tu veux faire plus tard ?

Les questions bateau s'enchaînent ce soir. Qu'est-ce que je veux faire plus tard ? Bonne question, je suis en BTS commerce International mais je ne sais pas réellement ce que je veux faire.

- Exactement je ne saurais pas te répondre.
- Tu fais un BTS et tu sais pas ce que tu veux faire, me dit-elle étonnée.
- Assez parlé mademoiselle Robert, lui dis-je subitement sans que je m'en rende réellement compte.
- Quoi encore, dit-elle en prenant un autre gâteau.

Je ne peux pas m'empêcher d'y croquer dedans avant qu'elle ne me porte à ses lèvres.

- Mais mon gâteau, me dit-elle en me regardant avec un air tellement mignon que je ne peux pas m'empêcher de rigoler. Tu n'es pas gentil, rajoute-t-elle.
- Vous savez bien que je suis un mauvais garçon mademoiselle Robert.
- Si vous le dite monsieur Wilson.

Je ne sais pas mais j'adore quand centre fille m'appelle par mon nom de famille. L'entendre de sa bouche est quelque chose que j'aime beaucoup.

- Vous me chercher mademoiselle Robert.
- Jamais je n'oserais pas.

Je m'approche d'elle et comble l'espace qu'il y  avait entre nous.

- Je peux finir ton gâteau.
- Non arête c'est miens, râle-t-elle.
- Ce n'est pas cool ça.
- Si très cool, dit-elle en mettant le dernier petit morceau de gâteau dans sa bouche.

Cette fille est tellement belle, de prêt elle est encore plus magnifique, belle au naturel. Ce n'est pas comme toutes ses filles que côtoie d'habitude. Des fois quand tu t'approches trop prêt de certaine, tu as peur. Tandis que quand je le retrouve devant Éloïse, je suis sans voix. Quand ces gros yeux marron me fixe je perd littéralement pied.  Je cuis comme hypnotisé par son beau visage.

Je crois que je la fixe trop car elle devient toute rouge, elle est encore plus belle. Elle essaie de se décaler mais je lui attrape la main. Je veux qu'elle reste prêt de moi je suis bien quand elle ait là. Cette fille m'apaise.

- Qu'est-ce qu'il y a Noé ? Arrête de le regarder comme ça c'est gênant, me dit-elle rouge écrevisse. J'ai un truc sur le visage peut-être ?
- Chut arête de poser des questions, tu es très belle ne t'inquiète pas tout est parfait, trop parfait même.

Je peux vous dire que ma petite Éloïse est trop craquante quand elle est toute gênée.

- Arrête Noé à quoi tu joues ?
- C'est la vérité Élo, je ne joue à rien et encore moins avec toi.

Son petit visage est tellement prêt du mien et ses yeux, je me perds de plus en plus dedans, je ne peux que les regarder.

- Noé c'est plus drôle du tout.
- Chut, dis-je en approchant mes lèvres des siennes, elle a un mouvement de recul. S'il te plaît, lui dis-je.

Je ne la laisse pas répondre et l'embrasse, ça fait tellement du bien de ressentir une nouvelle fois ses lèvres contre les miennes, le vide est comblé. Cette sensation est indescriptible.

Nous arrêtons notre baiser à bout de souffle l'un et l'autre. Elle est tellement belle avec ce regard qui pétille, ces beaux yeux marron s'illuminent.

- C'était quoi ça Noé ? me demande-t-elle.
- Un baiser.
- Sérieusement Noé.
- Je n'en sais pas plus que toi. Je sais juste que j'en avais besoin, j'ai besoin de toi Élo.
- Tu vas partir maintenant c'est ça, comme la dernière fois.
- Non.
- Tu es sur de ça.
- Oui vient là, lui dis-je en l'attirant dans les bras.

Elle se serre contre moi, ça fait un bien fou de l'avoir à mes côtés.

- Je sais juste qu'à ce moment précis je suis bien avec toi. Là, ici juste toi et moi mais après je ne sais pas quoi te dire de plus je ne peux rien te promettre.
- Ne dis ne rien alors, rajoute-t-elle en se serrant un peu plus dans mes bras.

Cette fille n'est pas commune et elle me fait sentir totalement différent. Je découvre un Noé que je ne croyais jamais connaître un jour !

Coucou les petits chats. Déjà je m'excuse pour la semaine dernière car il n'y a pas eu de suite. Désoler aussi car celle-là est en retard. Mais avec la finalisation du livre ce n'est pas évident de tout faire en plus j'ai mes cours et la fin du semestre qui approche, alors tout n'est pas simple. J'espère que ce chapitre vous a plu de découvrir un Noé qui a bel et bien un petit cœur sous cette masse de muscles. N'hésitez pas à donner votre avis comme d'habitude. Merci à tous ceux y celle qui m'envoie des petits messages trop mignons. Vous êtes des amours, mes amours. Gros bisous, bientôt le week-end bon courage. Mathilde 😘💘 PS : N'oubliez pas d'aller liker la photo du livre pour le concours d'Aubaine. Merci à ceux qui le feront.

Quand Une Sainte-Nitouche Rencontre Un Coureur De Jupons !!!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant