Quand Une Sainte-Nitouche Rencontre Un Coureur De Jupons !!!

Chapitre 68 : Un résultat plutôt surprenant.

- Aller viens là, je ne vais pas te manger, me dit Noé en m'approchant encore plus de lui.
- Très drôle, je sais très bien que tu vas pas me manger mais bon...

Je veux juste lui dire que dans ces tenues nous n'avons pas une position adéquate pour se tenir. Enfin je suis un peu gênée quoi...

- On est là pour regarder les photos non ? me questionne-t-il sérieusement en fixant mon regard rieur. Comme s'il me faisait passer un message en me disant, tu as peut-être d'autres idées.
- Oui, oui c'est bon on est là pour voir les photos, dis-je écarlate. Tu me les montres ?

Je m'approche donc de l'appareil qu'il tient dans ses grandes mains sexy. Qu'est-ce qu'il m'arrive aujourd'hui je trouve tout sexy chez lui même ses mains est-ce normal ? Enfin passons aux choses sérieuses, j'ai nommé : les photos. J'ai vraiment mais vraiment peur du résultat, à ce moment même je suis en stress total. Est-ce que je vais me trouver bien ? Est-ce que ses photos ne sont pas trop osées et ne font pas pupute. Tout un genre de questions comme celles-ci me trotte dans la tête. Est-ce que ses photos ne sont pas trop osées et ne font pas pupute. Tout un genre de questions comme celles-ci me trotte dans la tête.

Il repasse rapidement les photos prises ce matin que j'avais déjà vue et nous arrivons aux fameuse photos.

- Franchement ça donne super Élo, regarde, me dit-il en inclinant bien l'appareil de façon à que je vois parfaitement les photos.

Alors que je n'ose même pas regarder, Noé me regarde dans les yeux.

Il ne me lasse pas en placer une de plus et m'oblige à regarder la première photo et fait ensuite défiler le reste. Je reste fixée sur le petit écran en me demandant : Est-ce bien moi ? Moi Éloïse Robert qui ait osé faire ce genre de photo. Si je ne distinguée pas clairement mon visage sur ses photos  je n'aurais pas cru que cela pourrait être moi.

- Punaise ! dis-je pas parce que je me trouve particulièrement belle non je ne sais pas égocentrique loin de là. Mais juste parce que j'ai eu le courage de faire ses photos.
- Tu vois !
- Non mais Noé j'ai vraiment fait ça ?
- La preuve est là, me dit-il en riant de me voir si ébahit. 

Je ne peux m'empêcher sous le coup de la folie ou je ne sais quoi encore de sauter au cou de Noé. Enfin vous allez me dire lui sauter au cou alors que tu es assise sur lui cela est un peu bizarre. Pour détailler tout ça je me suis plutôt pendu à son coup en lui faisant un bisou sur la joue. Avec Noé je me permets tellement de choses que ça en devient affolant. Vous ne trouvez pas ?

- Arrête de raconter ta vie, personne ne t'écoute de toute façon, peste ma conscience.

Celle-là de toute façon quand il faut me gâcher un bon moment c'est la première à être là, satanée conscience. 

- Wahou que me vaut tout cet élan de tendresse, me dit Noé en me sortant de ma maudite conversation avec cette conscience.
- Je ne sais pas juste pour te dire merci. Tu sais Noé je ne me suis jamais vu comme ça auparavant.
- Tu sais Élo si je t'ai dit que ses photos seraient réussies c'est qu'elle le serait. Ne doute plus jamais de toi, ok ?

Plus facile à dire qu'à faire. Avoir confiance en soi tout le temps, à n'importe quel moment ce n'est pas si simple. Avoir confiance en soi pour moi est une grande étape qu'il faut que j'apprenne à franchir petit à petit. Aujourd'hui était la première étape et demain et après-demain et les jours qui s'ensuivront seront les prochaines.

- Ok ? me dit-il sérieusement.
- Je vais essayer Noé, je vais faire mon possible pour que ça fonctionne.
- Voilà je préfère entendre ça mademoiselle Robert, me dit-il en me faisant un bisou sur le front. Allez hop debout maintenant faut que je range le matos. Et toi n'oublie pas de te changer pas que je n'aime pas mais je finirais par te manger toute crue si tu restais dans cette tenue.

Noé est déjà debout et me regarde avec son regard de braise.

- Pervers, dis-je en courant vers le paravent, toute rouge comme une tomate.
- Que veux-tu je ne peux pas résister aux belles filles.
- Je suis donc une belle fille, monsieur Wilson ? répondis-je sur un ton mielleux.

Merde, merde, merde mais qu'est qui ma pris de lui répondre comme ça. Je suis complètement folle, ce n'est pas possible. Me retrouver derrière ce paravent me donnent des ailes ou quoi ?

Bien sûr j'ai ce que je mérite, je vois Noé qui débarque illico presto derrière le paravent. Il faut vraiment que j'apprenne le fameux dicton « Tourner sept fois sa langue dans sa bouche ». Il ne me laisse pas le temps d'envisager quoique se soit qu'il me pousse contre le mur de brique derrière moi.

- Mademoiselle Robert vous êtes sublime sachez-le.

Quand Noé utilise le vouvoiement comment vous dire que ça change tout pour moi. Ça fait tellement plus, comment dire sexy dans sa voix. J'aime tellement.

Je n'ajoute rien à ses paroles, que dois-je répondre à ça, je n'en sais absolument rien. Quand à lui Noé ne parle plus non plus mais monsieur s'est attaqué à mon cou.

- Noé...
- Tu es sublime Élo vraiment, me dit-il en continuant son ascension vers ma clavicule.

Ce mec embrasse divinement bien, je n'ai jamais vu ça.

- En même temps tu as pas connu dix mille hommes dans ta vie, me balance cette rabat-joie de conscience.
- Qu'est-ce que tu racontes me dit Noé en riant contre la peau de mon cou.

Mince, je crois que j'ai encore parlé à voix haute.

- Rien, rien.
- Bon tu sais je t'aime bien mais il faudrait peut-être que l'on y aille.
- Tu te fiches de moi, lui dis-je en le décalant de moi. C'est qui, qui vient de venir me retrouver ?
- Tu me cherches aussi.
- Ça va être ma faute maintenant, lui dis-je en rigolant.
- C'est toujours de votre faute mademoiselle Robert, me dit-il en repartant en direction de son matériel. Au fait, me dit-il en se retournant. Jolis sous-vêtements toi qui ne voulaient pas me les montrer, c'est vraiment dommage ça aurait fait de très belle photo.

Quoi ? Je baisse donc mon regard vers le bas et effectivement je suis en sous-vêtement, bien sûr monsieur est venue après que j'ai enlevé son tee-shirt.

- Ne rougis pas, me dit-il en rigolant.
- Idiot.
- L'idiot voudrait bien récupérer son tee-shirt à moins que tu veuilles le garder pour me voir plus longtemps torse nue, rajoute-t-il en me faisait un clin d'oeil.
- Idiot, dis-je de nouveau en lui balançant son tee-shirt.

Une fois le clame revenue, moi entrain de me rhabiller derrière ce paravent et Noé qui range son matériel, je me dis que la journée à été riche en émotion.

Coucou mes amours, déjà je m'excuse de ma longue absence. Après la fin de mes examens je me la suis coulée douce pendant plus d'une semaine. Je suis donc de retour aujourd'hui pour vous dévoiler ce chapitre 68. J'espère qu'il vous plaît, n'hésitez pas à me laisser un petit commentaire en fin de chapitre, ça fait toujours plaisir de vous lire. Je vous fais de gros bisous et bon week-end pour ceux et celles qui font le pont. 😘 Mathilde ❤️

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