• C'est dingue ce que l'on peut changer quand on le veux vraiment, c'est vrai, jusqu'à maintenant, j'étais la fille discrète qui bafouillait des mots pour pouvoir s'exprimer librement, la fille qui essayait tant bien que mal de prendre soin de son image, qui pensait sortir de chez elle, assez jolie pour qu'on puisse suffisamment l'a remarqué alors qu'en fait, elle était bien « INVISIBLE ». Ce genre de fille qui ne sait pas dire « NON ». C'est en fait le genre de fille qui rêvasse et pense encore au prince charmant. En ce qui concerne la nouvelle moi, tout à belle et bien changer. J'ai arrêté de croire que je rencontrerais un jour, mon prince. Simplement parce que maintenant les mecs ne cherchent plus à être romantique et doux, que les filles ne sont plus sexy et amoureuse. Maintenant, c'est vulgaire, brute et ça n'a plus aucun sens. Alors oui, je suis peut-être devenue ce genre de fille: froide qui ce met des barrières pour ne plus souffrir de quiconque, le genre de fille qu'on trouve dans les séries télévisé qui font superficielle, garce et arrogante. Néanmoins je reste différente d'elle, parce que moi, je sais me faire respecter. Mise à part cela, je suis désespérément perdue...
- ENJOY ! Réveille-toi ! Non mais à quoi tu penses encore ?
• A quoi je pense ? Mais Aubrey le sait très bien, c'est bien pour ça d'ailleurs qu'elle me regarde avec ses yeux bien rond et triste. Je détourne le regard en direction de l'horloge accrochée au dessus de la tête de Monsieur Callson. Ses lèvres bougent sans que j'entende un seul mot y en sortir. Il fait plein de gestes avec ses bras et ses mains dont je ne comprends guère le langage codé qu'il emploi, jusqu'à que Aubrey me pousse le bras qui me sert d'appuie-tête. Je tombe nez à nez avec ma table et là, tout le monde rient de bon cœur.
- Mademoiselle McAlister !! ( Aubrey me regarde l'air désespéré par mon comportement ) La sieste c'est chez vous, ici ce n'est pas une maison de repos !!
• Je souffle agacé et la cloche sonne. Le professeur m'interpelle. Il ferme son cahier et croise les doigts entre eux.
- McAlister, mais que vous arrive t-il ? Voyons, il faut vous ressaisir, vous étiez bien parti en début d'année, pourtant. Le pire je crois, c'est que vous n'écoutez rien en cours et vous trouvez le moyen d'avoir d'excellentes notes. Copiez-vous sur Mademoiselle Tamberry ?
- Non mais c'est une blague ?
- Ne m'agressez pas ! Je vous pose de simple question. Alors pourquoi dormez-vous autant en cours ?
• Il essaye tant bien que mal de comprendre mais on ne peux comprendre un cœur brisé si on ne le vis pas. Au même moment, un groupe de garçons passent dans le couloir, lorsque l'un d'eux me voit, il s'arrête net comme un chien essoufflé, la langue pendu.
- Un problème Tóbiàs ? - Dit le premier à celui qui me regarde.
- Regardez moi cette beauté fatale ! ( je roule des yeux )
- Plutôt pas mal, ouais. - Donne son opinion le troisième
- Puis-je vous aidez Monsieur Logan ? - l'es interpelle Monsieur Callson.
- Non ça ira M'sieur ! -- Répond le prénommé Tóbiàs.
• Ils repartent comme si ils n'avaient absolument pas déranger notre conversation, quel bande d'idiots. Ils sortent d'où ceux-là ?
- J'en suis désolé, je vous montrerais plus d'intérêt la prochaine fois.
- Merci, c'est pour vous que je fais ça Mademoiselle, passez une bonne fin de journée.
• Malheureusement j'en avais rien à faire de ses cours, j'avais plus envie de suivre aucun cours. En sortant de la salle, Aubrey attendait un peu plus loin, le dos appuyé contre les casiers gris en métal qui suivaient le long du couloir.
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SORRY.
Romance« - Je suis désolé, désolé de t'avoir aimé, de t'avoir détesté, de t'avoir fait vivre un enfer, désolé de t'avoir fait perdre du temps, mais tu sais de quoi je suis le plus désolé ? » Sera t-elle capable d'exprimer de nouveau ses sentiments ou conti...