CHAPITRE 2: L'ami d'enfance

159 15 2
                                    


MOI : Chris ? C'est toi ?

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

MOI : Chris ? C'est toi ?
... : Salut petit bouton.

C'était le surnom qu'il m'avait donner quand j'avais sept ans. J'avais un gros pustule sur la joue.

MOI : Qu'est-ce que tu fais ici ?
CHRISTIAN : Je suis en Perm chez ma mère. Elle m'a envoyer une lettre disant qu'elle vous avait suivit toi ta sœur et ta mère. Pourquoi ?
MOI : Il ont tout détruit ! Il ne reste plus rien de Tour. Il ont tous canardé.
CHRISTIAN : Où sont ta mère et Adeline ?

Je me tais, je pleure. Il me prend dans ses bras.

MOI : Elle est morte ... et ... Adeline est a l'école...
CHRISTIAN ; On va la chercher. Viens. Où c'est
MOI : A l'hôpital.

Il me tira par la main. Nous faisions attention de ne pas nous faire voir. Un français au bras d'une multi culture... ça la ferait mal ! Nous arrivons à l'hôpital, mais comme je l'avais dis ultérieurement à Chris, c'est remplit de Boches ! Un vrai nid à Rats ! Nous avançons.

MOI: Arrête je suis recouverte de sang !!
CHRISTIAN : Bah justement banane ! C'est bien un hôpital ?!

Je le suis sans faire d'histoire. Je regarde les Allemands, mais ils ne fond même pas attention à nous... Ils ont l'air si supérieur ces merdeux ! Mais que font tils de génial ?! Ils tuent de pauvres innocents !

... Aurélia ? Qu'est-ce que tu fout ici ?! C'est qui ?
MOI : C'est Christian tu te souviens de lui ? On est là pour te chercher.
ADELINE : Où est maman ? Je ne peux pas sortir avant la fin des cours !
MOI : Maman est morte didi.

Adeline recule d'un pas disant non de la tête. Elle commence à pleurer mais Christian la ramène sur terre avant qu'elle perde pied.

CHRISTIAN : Rhabille toi. Vite ! On s'en va !
ADELINE : (tremble) OK OK ! Je vais chercher des affaires.

Adeline partit ce changer. En revenant elle remarque que je saignait à quelques endroits. Elle me pris par le bras et me conduits dans une des chambres. Elle me nettoie un peu et me fais me changer. En sortant, je vis l'enfoiré qui avait tuer maman il venait se faire soigner l'entre jambe. Je fais signe discrètement à Adeline et Chris en leur montrant l'individue de la tête. Nous passons juste devant lui. Mais il ne tilta pas une seule seconde. Comme si ce qu'il venait de faire était normale. Tuer deux femmes après les avoir violé et battues, j'ai une colère noire qu'il faut que j'évacue ! Nous nous mettons dans un coin assez reculer et en sureté. Je me colle contre un mur, aune larme ne me viens. Adeline est assise par terre la tête dans ses bras, en larme.

CHRITIAN : (à moi) Frappe moi !
MOI : T'es malade... Je ne vais pas te frapper !

Adeline relève la tête. Je rigole, mais en même temps pourquoi je taperais Chris, il ne ma rien fais au contraire !

CHRISTIAN : Frappe moi ! Extériorise ta colère !
MOI : Tu ne m'as rien fais pourquoi je te frapperais ?!
CHRISTIAN : Ça te soulageras !
MOI : J'y arrive pas !
CHRISTIAN : Tu n'as pas essayer !

Je donne deux coup de point aussi fort que des caresses.

CHRISTIAN : Sale juive me merde ! Vas y frappe moi ! Comme cet enculé à frapper ta mère !
MOI : Ta gueule !
CHRISTIAN : Il l'a violé ! Lui a arracher ses vêtements ! L'a touché !
MOI : (énervé) Ferme là !
CHRISTIAN : Et tu n'as rien fais ! Tu n'as rien fais ! Elle est morte !

Je commence à le frapper, je ne sens pas rien je frappe dans son abdomen, sur son torse, ses côtes, son visage. Je frappe, je ne vois qu'une chose à ce moment précis ! L'enflure de Boche. Je ne ressens que haine et fureurs. Je n'arrive même plus à m'arrêter, c'est Adeline qui me prend par la taille et se blottis contre moi pour me calmer. Je hurlais inférieurement, je pleurais intérieurement mais extérieurement aucune larme ne sortaient. Christian s'approche, et crache le sang qu'il avait dans la bouche. A ce moment je je vis ce dont j'étais capable lorsque j'étais en colère. Jamais j'aurais cru pouvoir faire ça.

MOI : Christian je ... je suis désolé.
CHRISTIAN : Ça va mieux ?

Je lui répond oui de la tête. Il me sert contre lui, je pouvais entendre son cœur battre à toute allure. Je suis heureuse qu'il soit là ! J'ai une présence masculine qui me rassure. Je ne pourrais pas oublier ce que j'ai vu et subit mais ça m'a fait comprendre une chose. De me battre pour ceux que j'aime ! Et je me battrais ! Je ne suis plus la même personne. J'ai que quinze ans mais j'en parais le même âge que les soldats qui partent au front.


Nous repartons, Christian nous conduit chez Yvette sa maman. Elle est d'accord pour nous héberger. On est de sa famille. C'est une femme en or. Son fils a beaucoup de chance de l'avoir.
Quelques jours plus tard, Chris est repartit dans la 63° division d'infanterie. Quant à moi je cherche tout les moyen d'empêcher tous ces étranger de prendre trop leur aises. Nous commençons par des choses simples comme le transport d'armes de Poitiers en zones libres. Le chef de Gare mène les opérations, quant à nous ont fait circuler la marchandise ! Tout est bon a prendre pour faire dégager ces allemands d'ici. Adeline est plus en infiltration dans l'hôpital. Elle nous refourgue des médicaments et tout ce qui est indispensable pour soigner les blesser. Nous avons une base secrète dans les sous sols de la Gare, c'est là que nous entreposons toutes les armes. J' apprend même à m'en servir. Ça fais seulement cinq jours que ma mère est morte, mais je sens que la douleur s'estompe. Grâce à Christian.

#Amélie

Mon CombatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant