POINT DE VUE KEVIN.
Cela fait bientôt trois semaine que ma femme et mes amis sont partient, et je ne me rendais pas compte du travail effectuer par Aurélia à la maison... Je crois que là j'ai toucher le fond... Je suis planter là dans le salon, à regarder le capharnahomme qui s'est installer depuis trois longue et interminable semaine. Je suis seul avec trois mômes en charge. Je ne me suis jamais occuper du ménage et je ne suis pas un très bon cuisinier... Si je n'ai pas d'aide au plus vite je ne vais pas y arrivé. C'est pourquoi j'ai appeler du renfort. Betty se met à pleurer, se qui réveille Aaron, je monte alors à l'étage pour les réconforter. Mais en arrivant je vois que Matty s'est amuser avec la peinture pour redécorer la chambre sans m'en avoir averti au préalable. Je sers le point pour me donner du courage. M'avance vers Matthieu, lui confisque ses joujous des main ce qui le met en colère et renverse tous ce qu'il a sur son chemin. Mais je remarque que les jumeaux ne pleur puis mais rigolent au betise de l'ainé. Que dois-je faire ??? Je prends Matty par le bras et le fais s'assoir contre se sont gré. Mais il résiste, c'est qu'il à de la force le mini-homme.MATTHIEU : T'as pas le droit de me disputer ! J'vais l'dire à ma maman ! T'es pas mon père d'abord ! Alors t'as pas le droit de faire ça !
A ce monent où j'allais lui répondre il se met les doigts dans les oreilles et chantent à tue-tête. Ce gosse va me rendre chèvre. Quant aux jumeaux ils continuent de rigolé aux bétise de leur grand frère.
MOI : Vous ne pleurez plus là hein ? Ce n'est pas bien ce que votre grand frère fait donc ne l'encourager pas !
Et évidement Betty et Aaron se remet à hurler et pleurer. Soudain j'entend la porte d'entrer se fermer, ou plutôt claque. Je retourne voir dans la cage d'escalier pour voir Matty mais il n'était plus là. Je laisse les jumeaux dans leur lit et court après Matty ? Je dévale les escalier et au moment où j'allais ouvrir la porte, Ambre apparue tel un ange. Un soupire de soulagement sortit de ma bouche. Grace au ciel, Ambre est là pour m'aider, et elle me ramène Matthieu.
AMBRE : J'ai croiser ce jeune garçon qui courait dans la rue. Je crois qu'il est à toi ?
MOI : Merci d'être là... Je n'en peu plus...
AMBRE : Je vois ça et surtout j'entends ça ! Tu égorges un porc pour que ça pleur comme ça ?
MOI : Ils vont me tuer. Je n'en peu plus !
AMBRE : C'est pourquoi je suis là... J'ai pris une semaine de vacance pour t'aider et Marge prendra la semaine suivante.
MOI : Merci. Merci merci.
AMBRE : Commence déjà par aller chercher les jumeaux à l'étage. Matty et moi on va faire à manger.Je monte à l'étage pour chercher Aaron et Betty. Nous descendons. Nous mettons tous la main à la patte pour faire le repas.
Une fois que nous avons fini de manger, Matty va joue dehors. Ambre se charge de coucher les jumeaux. Quant à moi je débarasse.AMBRE : Elle te manque !
MOI : Tu ne peux pas savoir...
AMBRE : J'ai couché les jumeaux... Ben aussi me manque. Mais ils vont revenir ne t'en fait pas.
MOI : J'ai reçu une lettre hier, mais je ne l'ai pas ouverte. J'ai peur de la lire.
AMBRE : Tu as peu de quoi ?
MOI : De ce qu'il y a écrit... J'ai peur, qu'en lisant cette lettre... que je regrette de l'avoir laisser partir.
AMBRE : Elle en avait besoin... Je sais que ça peut-être difficile de la comprendre mais crois moi, Aurélia avait besoin de partir. Elle reviendra.
MOI : Merci... Je crois que sans toi je ne m'en serais pas sortit aujourdhui.
AMBRE : Je suis là pour ça. Tiens voici des pattes pour ce soir. Tu n'auras qu'à les réchaufer et mettre un peu de sauce tomage pour donner du goût.Ambre me temps une barquette. Je la met au frais en attendant le repas de ce soir. Elle se dirige dans le salon.
AMBRE : Bon maintenant on doit ranger tout ce bazarre.
MOI : Alors autant si mettre tout de suite car il y a trois semaine de jouet entasser ici.Ambre me sourit et se met à ramasser tout es jouets des enfants.
ECLIPSE.
Je suis alonger sur mon lit. Je n'arrive pas à dormir. Il doit être minuit... Je mme demande où est ma femme à ce moment... Si elle dors, si elle va bien... Et toutes ses questions me traversent l'esprit. Puis je repense à notre séparation.
SOUVENIR
Je suis adossé à la porte de la chambre. Je regarde ma femme faire sa valise. J'aime dire ces deux mots : ''ma femme''. Elle est si belle, si courageuse. Par moment j'oublis qu'elle est différente, j'oublis que sont ADN est modifié, qu'elle peut devenir aussi forte que Captain America. En tout cas si j'avais été dans son cas j'aurais aimé que mon mari me soutienne alors je la laisse partir pour acomplir son devoir. Chaque héros à son amant. Et bien que le fait de joue la douce princesse que le chevalier doit protéger, je me dis que ça pourrais être pire. C'est vrai je joue peut-être le rôle de Paggy CARTER ou de Guenièvre, mais j'ai la chance d'être aimé par la plus courageux des héros, mon Steve Rogers ou mon Roi Arthur. En regardant Aurélia, je me rappel qu'elle m'a donner le plus beau des cadeaux, une famille et ça je ne pourrais jamais assez la remercier. Alors la laisser faire cette mission était la moindre des choses que je pouvais faire pour elle. Elle me regarde avec ce superbe sourire qui me retourne le cœur. Elle s'avance vers moi. Pose sa valise et enroule ses mais autour de ma taille avant de me donner un délicat baiser. Je plonge mon regard dans le siens. Ses yeux bruns, je l'aime à en crever.
AURELIA : Merci de me laisser accomplir mon devoir. Je sais à quel point cela est dur pour toi et je te serais éternellement reconnaisante.
MOI : C'est moi qui dois te remercier. Tu m'as donner trois sublime enfant et même si Matthieu est le fruit de ton premier mariage, il est devenu mon fils de cœur et tu ne pouvais pas me faire plus plaisir. Alors te laisser partir pour quelques semaines n'est pas cher payer pour te rendre heureuse.Elle me sourit. Ce sourire vaut tous les sacrifices du monde. Je donnerais n'importe quoi pour revoir ce sourire. Quand ce moment fut vite rattraper par le klacson du taxi qui attendait Aurélia devant la maison. A ce moment Matthieu accourue dans les bras de sa mère. Aurélia laisse couler quelques larmes. Elle s'agenouille devant Matty, passe sa main dans ses cheveux et lui sourit.
AURELIA : Matty tu me promet d'être sage avec Kevin d'accord ?
Matty hoche la tête pour lui dire oui. Aurélia luis fait un bisous sur le front.
MATTHIEU : Maman ? Pourquoi tu dois partir ?
AURELIA : Car je dois accomplir mon devoir. En ce moment il y a des méchantes personnes qui donnent des ordres à des gentilles personnes et maman est là pour aider les gentilles personnes à dire non aux méchantes personnes, tu comprends mon ange ?
MATTHIEU : Maman ? Les méchantes personnes c'est celle qui m'on privé de mon papa ?Aurélia me lance un regard doux mais triste puis tournre son visage vers son fils. Avale sa salive et baisse sa tête.
AURELIA : Oui mon chat. C'est ces personnes là. Mais un jour je pourrais t'en dire plus. En attendant tu dois rester avec Kevin et être sage. OK ?
MOI : Ta maman sera vite de retour.
MATTHIEU : D'accord. Je t'aime maman.
AURELIA : Je t'aime mon ange. Tu dois surveiller les jumeaux aussi. Tu seras l'homme de la maison alors il faudra aidé Kevin.Matthieu acquièce et saute dans les bras de sa mère.
Eclispe.
Aurélia monte dans le taxi direction la gare où l'attende le reste de l'esquade. En voyant la voiture s'éloigné une larme coule le long de ma joue. Les jumeaux et Matty font un grand coucou.
PRESENT.
Tout ça semble si loin... Mais je n'ai pas encore le courage de lire la lettre qu'Aurélia m'a envoyer hier. Peut-être qu'un jour je réussirais à l'ouvrir. En attendant je la garde sur moi jusqu'à ce que ce moment arrive.#Amélie
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Mon Combat
FanficPROLOGUE Aurélia est la benjamine de la famille LEPRINCE. Née d'une mère infirmière et d'un père soldat pendant la première Guerre Mondiale. Elle est née en 1925 elle n'a pas connu la première guerre où son père à combattu à Verdun. Tirée d'une fami...