CHAPITRE 33: Kevin

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  (Point de vue de Kevin) Nous avons déjà repris la route

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  (Point de vue de Kevin)

Nous avons déjà repris la route. Nous approchons du but. Plus nous approchons de la frontière plus mon cœur s'accélère. Vincent lui paraît tranquille, je ne le comprendrais jamais. Il arrête la voiture devant un barbier. Mais que fait-il ?

MOI : Tu fais quoi là ? Tu crois vraiment que c'est le moment ?
VINCENT : Chut fait moi confiance au moins une fois dans ta vie.

J'attends environ dix minutes dans la voiture à tenter de comprendre pourquoi il c'est arrêter. Il me sort réellement par le nez. Il sort du salon. Il ouvre ma portière et me donne un gros sac.

VINCENT : Met ça !

Je regarde le contenue et découvre une perruque et des vêtement féminin.

MOI : Mais... Qu'est-ce que tu fou ?
VINCENT ! Passe à l'arrière et enfile ça ! Fais ce que je te dis !

J'obéis, après tout je n'ai rien a perdre à faire ces comédies. Une fois changer je remonte à l'avant et le regarde avec une tête de ''tu te fous de moi''. Vincent se met à rigoler.

MOI : Arrête la voiture !
VINCENT : Quoi ? Non ! C'est le seul moyen pour passer la frontière. D'ailleurs chut on y est. Tu te tais et tu me laisse parler. Joue ton rôle.

Il s'arrête. Le soldat allemand s'avance, mon cœur s'accélère. Je reste dans mon rôle, je ne panique pas. Je baisse la tête. Le soldat demande à Vincent de baisser la fenêtre. Celui ci s'exécute.

SOLDAT : (En allemand) Vous allez en France ? Pourquoi ?
VINCENT : (En allemand) Oui, ma grand-mère et moi allons rendre visite à ma sœur. Elle vient d'avoir son bébé.

Je ne comprends rien a ce qu'ils se disent mais Vincent me montre du doigt. Si cet enfoiré me dénonce je le tue. Le soldat sourit. En même temps vu mon accoutrement de vieille allemande... il y a de quoi rire.

SOLDAT : (En allemand) Vos papier.

Vincent tend des papiers à l'allemand. Il va se rendre compte que ce sont des faut ! On est griller. Je ferme les yeux en pensant à Adeline, quand soudain, la voiture démarre. Vincent salue le soldat par la fenêtre. Il a réussit. Nous franchissons la frontière. Me dire que je frôle de nouveau sur le sol français me fait chaud au cœur. Je ne peux pas m'empêcher à pleurer. Dans environs sept heures, je serais chez moi.

(Point de vue d'Aurélia)

Ma douleur au ventre s'estompe. Je m'assoie sur le lit. Marguerite s'avance pour prendre la tension.

MARGURITE : 9,03. Aurélia, il faut vraiment te reposer ! Tu n'ira pas à terme en continuant comme tu le fais.
MOI : Comment veux-tu que je me repose alors que ces Bosh sont ici ? Je ne peux pas. Je veux faire quelque chose pour les virer de là !
MARGUERUTE : Tu peux participer sans trop forcé et en prenant des moments de congés. Le monde ne s'écroulera pas en ton absence.

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