PROLOGUE
Aurélia est la benjamine de la famille LEPRINCE. Née d'une mère infirmière et d'un père soldat pendant la première Guerre Mondiale. Elle est née en 1925 elle n'a pas connu la première guerre où son père à combattu à Verdun. Tirée d'une fami...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Je m'éloigne. Les larmes commence à couler le long de ma joue. Ben n'a pas besoin de parler, j'ai compris au moment où je les serrer contre moi. Mais je n'ai pas voulu l'admettre. Il me sert contre lui et pose sa main gauche dans mes cheveux et l'autre sur mon dos. Je hurle ma douleur. Ça fait si mal. J'ai si mal. Pourquoi ? Pourquoi lui ? Ce n'est pas juste... A ce moment précis l'étincellement qui faisait que ma vie restait un minimum debout vient de se rompre. Plus rien n'a de sens...
BEN : Aur... MOI : Non ! Ne dis rien ! Je... je ne veux pas savoir... BEN : Tu dois... MOI : Non... Si tu le dis c'est... ça sera officiel... je ne veux pas... BEN : Il ne reviendra pas Aurélia. Je suis désoler.
A ce moment les filles arrivent. Adeline ravi de voir Ben s'approche mais Ambre la retiens. Elles comprennent la situation. Ambre demande aux filles de la suivre, pour que me laisser seule avec Ben. Mais je ne veux pas... je ne veux pas... Je me remet à pleurer.
BEN : Aurélia, tu as dix-sept ans ! Tu trouveras quelqu'un qui t'aimeras d'avantage ! MOI : (lui sourie) Tu n'as rien compris ! Mais je ne t'en veux pas... Tu as toujours été jaloux de Chris ! Lui savait comment traité une femme ! Tu ne peux pas comprendre, non toi les femmes tu les utilise ! Mais je ne te laisserais pas jouer avec Ambre ! C'est une fille en or massif Ben ! Jamais tu ne sera jamais comme lui ! Comment tu peux être aussi différent de lui ! Mais tu sais pas comment ça peux faire mal... J'ai mal Ben. J'ai si mal.
Il s'approche comme pour me prendre dans ses bras mais je recule.
BEN : Je suis désolé je... MOI : Tu sais pourquoi ça fait si mal ? BEN : ...
Il commence à pleurer.
MOI : Tu sais pourquoi ? BEN : Non... MOI : Je l'aimais ! Oui... je l'aimais à en crever. Mais toi ça tu ne le comprendras jamais ! Tu sais pourquoi ? BEN : Non... MOI : Parce que tu n'es qu'un égoïste ! C'était ton meilleur ami merde ! Tu ne comprends rien ! BEN : Je suis désoler... MOI : Arrête avec tes désolé ! ... Non pis tu sais quoi laisse tomber tu ne comprendras jamais... Tu sais quoi j'aurais préféré que ce sois toi qui meurs à sa place !
Je m'éloigne. Pourquoi j'ai dis ça... Je suis prise de remord... Pourquoi j'ai dis ça ? Mais lorsque je me retourne pour m'excuser, Ben n'est plus là... Je m'en veux... Je suis une sœur horrible... Je repars pour l'auberge. Je suis en larmes. Kevin approche inquiet mais je ne trouve rien à faire que de l'embrasser. Je suis tellement mal que j'ai l'impression que ma vie m'échappe. Mais il me repousse. Pourquoi ? N'était ce pas ce qu'il voulait ?
KEVIN : Tu n'es pas dans ton état normal ma rose. J'aimerais... Oh oui ce que j'aimerais mais... Je ne crois pas que toi tu le veuille... Je suis désolé.
Punaise mais qu'est ce qu'ils ont tous ! Avec leur désolé ! Et là le noir. Je m'évanouis...
POINT DE VUE EXTERIEUR.
Ambre rejoint Ben. Il est ivre dans un bar. Il vient de finir sa cinquième bière. La jeune fille s'assoie à côté du soldat et pose sa main sur la sienne.
AMBRE : Ben ? Tu ne devrais pas boire autant... BEN : Tu devrais partir en courant ! Je ne suis pas quelqu'un pour toi. Yep ! Moi je joue avec les femmes... Je ne suis pas comme Chris. Chris ! Christian Julien Daniel BERGER... mon meilleur ami depuis qu'on a trois ans. AMBRE : Ben... il n'aimerais pas te voir ainsi. BEN : Il est mort ! OK ! Aurélia me déteste... Je l'ai privé de cet amour parce que je suis un égoïste...
Le jeune homme repousse Ambre. Elle se lève et part. Mais Ben lui prend son bras et lui murmure « Je ne suis pas un gars pour toi ! Trouves toi un homme bien... et épouse le ! ». La demoiselle se rassoie.
AMBRE : Benjamin ! Voit la vie comme une page blanche. Tu peux tout recommencer à n'importe quel moment... il te suffis de gommer et de réécrire ton histoire.
Elle lui embrasse le front et quitte le bar. Mais avant d'ouvrir la porte elle s'arrête et regarde Ben. Puis part.
POINT DE VUE AURELIA.
Je me réveil, Adeline et Marguerite sont autour de moi. Je m'assoie. Kevin est là. Je m'excuse auprès de lui. Il accepte et dis une de ses sottises dont il a le secret. C'est un chouette type. Mais... c'est trop tôt. Je me lève et sors. En me airant dans les rues je vis un homme étrange. Pas très grand, avec un chapeau melon noir, cheveux noir bouclé, des lunettes rondes. Une moustache étrange, elle sépare son visage en deux. Il fume la pipe. Il se tient contre un mur. Dans sa main droit un livre et l'autre une cane. Une veste en velours brune. Une chemise rosé avec une cravate rouge et un veston verdâtre. Son ventre dépasse de son pantalon. C'est un drôle de personnage. Ou là ! Il s'approche... Je m'éloigne comme si je ne l'avais pas vu. Rater je suis obliger de répondre.
MOI : Je suis désoler mais je dois y aller... ... : (Accent allemand) Je me présente je me nomme Wolfgang FRIWENBART. MOI : Enchanter... je suis navrée mais je dois y aller. WOLFGANG : Aurélia, si je ne me trompe pas...
Tout doux ! On se calme ! Comment il connaît mon nom ce guignole ?! Ça devient de plus en plus étrange !
MOI : D'où connaissez-vous mon nom ? WOLFGANG : Je recrute des gens très spécial pour formé une équipe. MOI : Peu importe je ne suis pas intéresser. WOLFGANG : Christian m'avait pourtant affirmé que tu accepterais.
Là je me stop net... Comment connaît-il Chris ? Cela expliquerait comment il connaît mon nom. Mais dois-je lui faire confiance ? Puis-je lui faire confiance ? Que dois-je faire ?
