PROLOGUE
Aurélia est la benjamine de la famille LEPRINCE. Née d'une mère infirmière et d'un père soldat pendant la première Guerre Mondiale. Elle est née en 1925 elle n'a pas connu la première guerre où son père à combattu à Verdun. Tirée d'une fami...
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POINT DE VUE EXTERIEUR. (Flash Back)
Laurent entre dans sa chambre. En enlevant sa main de abdomen sent son sang couler. Une douleur atroce se fait ressentir. Il tombe à terre en se cognant la tête sur le bord du bureau. Quelqu'un frappe à la porte. En entrant, il découvre l'homme à terre respirant à peine.
LAURENT : (voix tremblante) Aidez-moi... ... : Comment vous appelez-vous ? LAURENT : ... Ben. ... : Ok Ben moi c'est Fabrice, je vais vous aidez.
Il relève Laurent et le conduit à l'hôpital.
POINT DE VUE AURELIA. (présent)
AMBRE : Tu ne peux pas partir ce soir !?! MOI : Si je peux ! Je ne veux pas que ma sœur découvre la vérité au détriment de Kevin. AMBRE : Comment tu peux dire ça !?! Si Kevin était là... MOI : Mais il n'est pas là ! OK ? Il n'est pas là ! Il n'est plus ici... Je suis désoler.
Je ferme la fenêtre, un courant d'aire ouvre la porte. Laissant voir Adeline qui espionnait.
ADELINE : Qu'est-ce que ça veux dire ? MOI : Rien ! Allons manger ce gâteau ! ADELINE : Dis moi la vérité ! AMBRE : Je vous laisse... ADELINE : Non toi tu ne bouge pas ! MOI : Adeline il ne se passe rien ! OK ? Maintenant si tu n'y vois pas d'inconvénient je voudrais fêter l'anniversaire de mon fils !
Je pousse Adeline de l'épaule. Mon cœur saigne, mais le siens d'avantage... En descendant les rire de Matthieu me remonte le morale. J'arbore mon plus beau sourire pour faire comme si de rien était et sort le gâteau du four en souhaitant un bonne anniversaire à Matty.
Le soir je réveille Matt et nous quittons la maison dans le silence. Nous attendons le train à la gare assis sur les bancs.
MATTHIEU : Maman tu crois que papa m'a souhaité mon anniversaire aujourd'hui ? MOI : Oui mon lapin. Et il te le souhaitera chaque 23 août de l'année. Tu sais pourquoi ? MATTHIEU : Non. MOI : Car ton papa est fier de toi. MATTHIEU : De toi aussi maman. MOI : J'espère...
Je prend mon bébé dans les bras et regarde le ciel étoilé. Christian... mon amour, pardonne moi... si tu savais à quel point tu me manque... Quand une étoile filante traverse l'océan d'étoile.
MOI : Regard Matty ! Fait un vœux.
Il ferme les yeux et joint ses mains comme pour faire une prière.
MATTHIEU : Je veux que ma maman retrouve le sourire !
Il est si petit... et si sage.
MATTHIEU : Le train arrive maman ! MOI : Oui tu es prêt ? MATTHIEU : Oui !
Nous montons dans le train. Nous disons au revoir à Poitiers.
POINT DE VUE EXTERIEUR. (Présent)
Un homme descend du train où vient de monter Aurélia et Matthieu. Le jour se lève, l'homme porte une petite valise. Il s'arrête devant la maison d'Adeline, respire un bon coup puis entre. Quand soudain Adeline descend en trombe de l'étage. En voyant l'homme se stope tétanisé.
ADELINE : Papa ?!!!?
Laurent pose sa petite valise et prend sa fille dans ses bras. La demoiselle se met à pleurer à chaude larmes.
ADELINE : Nous te croyons tous mort... Il ne t'avait pas retrouver ! LAURENT : J'étais gravement blesser mais un homme m'a conduit à l'hôpital. Il m'a sauver la vie. Mais toi pourquoi tu es déscendu si promptement ? ADELINE : Aurélia est partit ! Cette nuit ! Je croyais pouvoir la rattraper mais... LAURENT : Chut ! Elle t'a dit pourquoi ? ADELINE : Non... Elle voulais partir... Mais pourquoi ? LAURENT : Chut... Retourne te coucher tout vas bien se passer. Tu verras.
Adeline s'exécute. Laurent s'installe sur le canapé et commence à s'endormir peu à peu.
(Flash Back)
Près d'Orléans, Laurent ce fait soigné dans un des meilleurs hôpital du pays, mais malheureusement occupé par l'ennemie. Il est le seul rescapé des Résistant présent au CNR. Il est allongé sur le lit en train de dormir, un homme le regarde songeur. Habiller en uniforme militaire il pose sa coiffe et appui ses coudes sur le lit. Il s'appelle Henri DELVO, un ancien marines, et ami de Laurent, ils étaient ensemble pendant leur classe. Sa sœur a été admise ici et lorsqu'il a vit le brancard avec Laurent il est resté à ses côtés.
HENRI : Hey mon ami ?! Tu te souviens de moi ? Henri ! Ton vieux camarade de classe... Jamais je n'aurais penser te revoir Laurent, ... euh... Je ne sais pas pourquoi tu es ici mais il paraît que tu t'ai pris plus balle dans l'abdomen... Tu vas t'en sortir vieux ! Dis tu te rappel de Madame BOVELERIE ? Notre institutrice ! Elle te mettais toujours au coin parce qu'elle trouvait que tu ne travaillais pas... mais en vérité, tu étais le premier de la classe c'est juste que nous échangions nos copies pour pas que je me fasse battre par mon père... Je n'ai jamais pu te remercier... Alors merci vieux...
(Présent)
...: Papa ?! Qu'est-ce que tu fais là ? LAURENT : Mmh quoi ?
Le vieil homme se réveil déboussolé. Une fois que sa vision s'éclaircit il découvre Ben en train de fumé vers lui.
LAURENT : Qu'est-ce que tu fou avec cette cigarette ?? Jette moi ça illico ! BEN : Vive l'accueille du paternel ! Ou sont Aurélia et Matty ? LAURENT : Partit ! BEN : Comment ça partit ? LAURENT : Elle a fait ses valise et a quitté la ville hier soir avant que je n'arrive. BEN : Pourquoi ?! Et Adeline ?? LAURENT : Sûrement encore en train de dormir je suppose. BEN : Ah non ! Je suis monte pour la réveiller mais elle n'était pas là ! LAURENT : Comment ça ?! Où pourrait-elle bien aller ?
Ben se promène dans la maison en fumant sa cigarette ce qui énerve sérieusement son père. Quand il trouve une lettre. Laurent accourt et ouvre l'enveloppe que Ben tient dans les main.
« Papa, Ben, Ambre et tous les autres, ne vous inquiétez pas je vais bien. Hier après papa est rentré, je me suis rappeler de cette lettre. Celle que la mère de Christian avait envoyer. Elle voulait connaître son petit-fils. Alors Aurélia a voulu la rejoindre. J'ai retrouver l'adresse de cette femme. Je pense y retrouver Aurélia et Matthieu, elle nous dois à tous quelque explications et je compte bien sur elle pour m'éclaircir sur ce point. En attendant notre retour je vous embrasse. Adeline. »
Laurent et Ben sont sous le choc.
BEN : Que nous cache Aurélia ? Pourquoi est-elle partit sans dire un mot ! LAURENT : ... BEN : Tu sais quelque chose ! Tu fait toujours cette tête d'ahurie quand tu sais un truc qu'on ignore ! LAURENT : Quoi ? Mais pas du tout ! Et je te pris de pas me parlé ainci ! Je suis ton père et tu me respecte ! BEN : Papa ?! Pourquoi Aurélia est partit ?! LAURENT : Ne t'en mêle pas !
Laurent monte à l'étage en claquant la porte de la chambre à Aurélia. Il s'installe sur le lit et soupire. Il prend une photo de sa fille et glisse ses doigts dessus.
