PROLOGUE
Aurélia est la benjamine de la famille LEPRINCE. Née d'une mère infirmière et d'un père soldat pendant la première Guerre Mondiale. Elle est née en 1925 elle n'a pas connu la première guerre où son père à combattu à Verdun. Tirée d'une fami...
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POINT DE VUE EXTERIEUR.
Aurélia se relève. Elle est secouer par ce qu'il vient de ce passer. Elle cherche son père. Elle le trouve inconscient. Elle tente de le réanimé mais il est bien sonné. Christian lui court à l'intérieur du Bunker. Il cherche son fils. Les allemands débarquent. Aurélia se bat comme elle peu. Très affaiblit par la secousse précédente qu'elle perd pied. Un des soldat adverse l'assomme. Elle tombe raide par terre. Kev est avec Adeline et Matthieu. Il essai de rassurer tout ce petit monde. Mais Matthieu est tellement paniqué qu'il ne bouge plus. Un bruit parvient aux oreilles du Juif. Il pose sa main sur la bouche de Matthieu. En s'apercevant que c'est Christian, il lui fait signe. Mais ne se découvre pas. Christian approche, mais un allemand surgis de la pénombre. Arme son fusil et vise Christian. Matthieu pousse un cri furtif. Ce qui préviens son père, Christian se retourne mais la balle vient se greffé dans son poumon droit. Puis un second dans le thorax. Christian encore debout tir à son tour sur le soldat. Mais une dizaine le remplaça. Tous tirent sur le jeune homme. Christian rassemble ses dernière forces. Il fait signe à Kev d'emprunté le passage secret. Une fois seul avec l'ennemie. Chris dégoupilla une grenade et la lança sur les allemands. A ce moment Aurélia fait son apparition. Elle se jette sur son époux pour le protégé. Mais l'explosion la propulse à l'autre bout de son aimé. Une fois avoir repris connaissance, la jeune femme encore un peu sonnée par l'explosion, cherche son époux dans les décombres.
POINT DE VUE AURELIA.
Mon cœur s'accélère. Je cherche Chris partout mais ne le trouve pas. Quand je vis des planche bougés. Je me précipite pour l'aidé à se dégager mais m'aperçois que c'est un allemand. Je me relève immédiatement. Puis le frappe encore et encore. De tout mes force en hurlant. Quand papa arrive. Ben me retiens. Papa prend le pou du soldat à terre.
PAPA : Il est mort ! MOI : (murmure) Christian...
Ben me lâche, je repars à la recherche de Chris. Je me stop net. Puis tombe à terre. Mes genoux toqua le sol de tout mon poids. Adeline arrive derrière moi, elle s'arrête immédiatement et pose la mains sur sa bouche. Je m'avance à quatre patte. Je prends la main qui sort des débris. Bien que le corps était sous une couche d'acier et de bois, je reconnu son alliance. Je tente de le dégager de là. Papa et Ben m'aide à soulever le plafond du bunker qui lui était tombé dessus. Il est... Les larmes dégoulinent le long de ma joue.
MOI : Chéri ? Hey ! Mon cœur, ... réveille toi... je t'en pris mon amour. PAPA : Mon ange... je... BEN . Aurélia... il... il est... MOI : Non ! NON ! OK ? Non ! Il dort, il va se réveiller. Hein ? Oui, il est juste un peu sonner. C'est tout.
Je pose ma tête sur sa poitrine ensanglanter.
ADELINE : Aurélia... il est partit... MOI : Non... Non ! Tu m'entends ! NON ! BEN : Il a plus de 25 ans balles dans le corps... Dont un débris de métal qui ressort de sa tête... il ne se réveillera pas... MOI : Matthieu à besoin de son papa ! J'ai besoin de lui ! Je ne veux pas qu'il parte ! Non ! Je vous en pris mon Dieu rendez le moi. Je vous en prit ! Rendez le moi....
Adeline me prend dans ses bars. Je ne veux pas le perdre... Je n'arrive plus a respirer. Soudain Matthieu arrive en courant Kev essai de le rattraper. En voyant son père dans cette état, Matthieu ne comprend pas. Je le prends dans mes bras, mais se débat. Il s'agenouille vers Christian.
MATTHIEU : Papa ? Papa ? Réveille toi ?! T'avais dis qu'on irait se promener... vient ! MOI : Mon poussin... MATTIEU : Pourquoi papa se réveille pas ?
Que répondre à ça ? Il a beau être surdoué, il est trop petit pour comprendre... comment dire à son fils qu'il ne reverra plus son père ?
MOI : Vient avec moi mon poussin. KEVIN : Tu viens ? Ta maman va te dire quelque chose.
Je sèche mes larmes et prends mon fils dans les bras. Je respire un bon coup. Nous nous éloignons de cette vision d'horreur. J'assoie Matthieu sur une souche d'arbre. Je m'accroupis en face de lui pour être à sa auteur. Une larme me coule sur la joue.
MATTHIEU : Pourquoi tu pleur maman ? MOI : ... euh... MATTHIEU : Papa fait dodo ? MOI : (esquive un sourire) Non, mon lapin... papa... euh.... comment te dire... Papa ne reviendra pas mon ange... MATTHIEU : Pourquoi ? MOI : C'est compliquer. MATTHIEU : Il m'aime plus ?
Mon cœur se brise de nouveau. Je baisse la tête. Puis la relève. Je lui sourit pour le rassurer.
MOI : Non chéri ! Ton papa t'aime plus que tout ! Tu peux me croire. Mais, il est partit dans un endroit où il ne peu pas revenir. MATTHIEU : En prison ? Comme toi ? MOI : Pas tout à fait, ton papa, en tout tout là haut.
Je lui montre le ciel du doigt.
MATTHIEU : Mais, pourquoi ? MOI : Il devait partir, c'est comme ça. Mais il sera toujours ici !
Je pose ma main sur son cœur. Et lui me pose la sien sur le mien.
MATTIHEU : Je pourrais le voir des fois ? MOI : Oui, il te suffira de fermer les yeux, tu verras, et il sera là. Il te fera coucou. Tu veux essayer ? OK. Alors ferme les yeux. Vas y.
Mat ferme les yeux, et un sourire se dessine sur son visage. Puis il ouvre les yeux.
MOI : Alors tu l'as vu ?
Matthieu hoche la tête.
MOI : Et qu'est-ce qu'il t'a dit ? MATTHIEU : Que tu devais arrêter de pleurer... Qu'il allait bien et qu'il nous aimait.
Je le sers fort contre moi. Il est si beau, ma main dans ses cheveux et regarde le ciel. Kev arrive derrière nous. Mat lui saute dans les bras.
MATTHIEU : Papa il a dit qu'il m'aimait. KEVIN : Évidement qu'il t'aime ! Tu es le plus beau le plus intelligent, le plus fort ! MATTHIEU : Il a dit aussi que maman devait arrêter de pleurer ! KEVIN : Ne t'en fait pas pour ta maman. Elle est la femme la plus forte que je connaisse !
Il me regarde, je sèche mes larmes. Il pose Matthieu par terre, il le prend par la main.
KEVIN : Tu viens ? MOI : Non je voudrais resté un peu seule quelque minutes si ça ne te gêne pas. KEVIN : Ne fais pas de bêtise ! MOI : Promis ! KEVIN : (à Mat) Aller on va voir tata ? Elle est partit au marcher. MATTHIEU : OUI ! On fait la course ? KEVIN : OK.
Ils courent. Kev marchent pour laisser Matthieu gagner. Je me retourne et fait quelque pas. J'ai besoin de me défouler !