PROLOGUE
Aurélia est la benjamine de la famille LEPRINCE. Née d'une mère infirmière et d'un père soldat pendant la première Guerre Mondiale. Elle est née en 1925 elle n'a pas connu la première guerre où son père à combattu à Verdun. Tirée d'une fami...
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POINT DE VUE AURELIA.
Je suis dans une salle sombre est humide. Ça doit faire trois jours que je suis enfermé ici. Je vis un véritable calvaire. On vient me chercher, on me dépose sur une chaise et je reçois des chocs électrique pour que je parle mais je ne dis rien. Je supporte comme je peux Il me suffis de penser à mon fils et la douleur passe plus vite. J'attends que l'on vienne me chercher ils doivent avoir une bonne heure de retard. Je suis assise contre le mur, les genoux rapprocher et ma tête dans mes bras.
... : C'est mauvais signe si ils ne sont toujours pas venu vous prendre... Je ne sais pas qui vous êtes mais si j'étais vous je m'attendrais au pire. MOI : Qui êtes vous ?
L'homme s'approche, plus il avançais plus son visage me paraissais clair. Je met ma main devant ma bouche. Mes yeux s'écarquillent et les siens aussi. Un sourire se greffa sur son visage. Il me prend dans ses bras. C'était un homme âge où le temps a laisser une trace indélébile. Il a une jambe de bois et le bras en plâtre. Il est là devant moi. Je le prends dans mes bras, les larmes me viennent.
MOI : Tu est vivant ! Je... nous te croyons mort ! Je suis tellement heureuse de te revoir papa. PAPA : Moi aussi ma chérie. Mais que fais tu ici ?
Je baisse la tête est me met à pleurer. Il met son doigt sous mon mentons et me relève la tête.
PAPA : Hey ! Tout vas bien. Je suis là. Et comment va ta mère ? Et Adeline ? Et ton frère ?
Je ne pouvais pas retenir mes larmes mon père a peur de comprendre, alors il me prend dans ses bras.
PAPA : Parle moi ma puce. MOI : Maman est morte sous mes yeux... Ses salopards l'on torturée et violé avant de la tuer. J'ai pas pu la sauver... PAPA : Chut...
Je voyais que cette nouvelle lui brise le cœur mais pour moi il gardais la tête haute. Comment lui dire que j'avais vu Adeline se faire tirer dessus ? Comment lui dire que ça fille est morte ? Je préfère me taire. Je ne veux pas le blesser d'avantage. Quand on ouvre la porte. Le même soldat qu'à chaque fois vient me prendre par le bras. Mais cette fois mon père s'interpose. L'allemand profite de sa faiblesse musculaire pour le mettre KO. Il me prend le bras et m'emmène dans une grande salle différente de ces trois derniers jours. L'on m'installe sur une chaise, m'attache les poignets puis les chevilles. Le générale s'approche. Me donne une gifle.
GENERALE : Je suis le générale VANDERCAMP. Tu m'as tirer dessus il y a trois ans. T'en souviens tu ? MOI : Oh oui !
Je le regarde et sourie, je le nargue comme il me narguait en tuant ma mère. Mais une claque s'en suive.
GENERALE : Sale pétasse arrogante. Tu vas le payer aujourd'hui ! Alors comme ça tu ne veux pas nous dire où se trouve tes petits camarades ou ce qu'ils compte faire ? Dois-je rappeler ce qui est arriver à ta sœur ? A ta mère ? Parle ! Mes oreilles sont toutes ouillent. MOI : (lui crache à la figure) Allez vous faire foutre ! GENERALE : Très bien. Dans ce cas... (à un de ces sbires) Apporter moi le matériel.