- Le Seigneur : Je trouve cela intéressant, et vous avez-vous fini votre apprentissage ?
- Cali : Je ne vous mettrez pas au défi de tester Mon Seigneur, mais je ne pense pas que l'on puisse être plus puissante que moi
- Le Seigneur : Je savais que je pouvais miser sur vous
- Cali : Que comptez-vous faire pour récupérer mes enfants ?
- Le Seigneur : Je vous en informerai
- Cali : Merci de m'avoir reçu
- Le Seigneur : Ce fut un plaisir, au fait vos ailes je vous les offre
- Cali : Merci infiniment
Et tout le monde repart à ses occupations sauf Ariton qui me prend dans ses bras et me dit
- Je n'ai pas pu me libérer et venir désoler
- Désolé ? Pas une fois en 3 ans ! Tu ne sais même pas comment ils sont ! Eux te connaissent grâce aux photos !
- Ariton : Ne t'énerve pas comme ça tu lévite à chaque fois
- Ne pas m'énerver ? Ils ont pris mes enfants !! Tu comprends ça ? Ils les ont traités d'abominations ! Je veux les étriper, les saigner, leur arracher les yeux et la langue
- Ariton : J'ai compris, vient avec moi
- Où me mènes-tu ?
- Ariton : Chez moi, tu as besoin de te reposer, tu vas finir par t'écrouler et ce n'est pas ainsi que l'on mène une guerre
- D'accord, lui dis-je simplement
Nous partons dans ses couloirs interminables puis nous arrivons chez lui, il m'installe sur son lit et se couche près de moi, il me caresse les cheveux, je ne le reconnais pas, lui qui est si cruel ici habituellement
- Je croyais que ton côté mauvais avait le dessus quand tu étais ici chez toi, lui dis-je
- Ariton : Le fait de ressenti ta détresse me calme, je n'aime pas quand tu souffres
- Nos enfants... que vont-ils devenir sans moi dis-je en pleurant
- Ariton : Vas-y pleure, relâche la pression
- Je n'ai rien envie de relâcher, j'ai des envies de meurtres !
- Ariton : Défoule toi sur moi si cela peut t'aide, je ne crains rien
- Ne me tente pas, parce que si tu avais été là cela ne serait jamais arrivé, mais non je n'amusais plus monsieur alors il s'est débarrasser de moi et j'ai dû tout assumer toute seule, hurlais-je
- Ariton : Tu as raison pour une partie, mais je ne me suis jamais débarrasser de toi, jamais, tu as voulu rentrer alors je t'ai ramené
- J'ai voulu rentré car tu me traité comme une moins que rien et m'as balancé dans la gueule que je ne t'amusais plus et que tu allais voir ailleurs
- Ariton : Je suis désolé pour tout ça d'autant plus que c'est faux, je ne peux pas me passer de toi, de ton corps, de ta façon de faire l'amour, de jouir et de me donner du plaisir
- J'aurais tellement voulu que tu sois là pendant ma grossesse, ou quand ils grandissaient, tu vois je parle d'eux au passé... Quel horreur !
- Ariton : On les retrouvera je te le promets, ça prendra le temps qu'il faut mais nous y arriverons
- J'ai besoin de me défouler, vraiment, trouve moi quelque chose à faire et du costaud
- Ariton : Viens suis moi, ici ce n'est pas ce qu'il manque
Nous partons dans un endroit pas très loin de chez lui où arrivent les damnés, les violeurs, les meurtriers et j'en passe, ils arrivent en file indienne et sont fouettés à leur passage puis dispatchés entre les démons qui s'en amusent à leur guise
- Je ne suis pas un démon je n'ai pas le droit de faire comme eux, dis-je
- Ariton : Mais moi j'en suis un et j'ai droit à ma part, on partagera, répondit-il
- Ça me va, fais donc le marché mon amour
- Ariton : Avec grand plaisir
Nous en prenons dix, soit cinq chacun que nous menons avec nous en les tirants avec des chaines puis nous les enfermons dans les cages que j'avais déjà vues chez lui, lui les torture par l'esprit et je ne sais pas ce qu'il leur fais voir mais ils hurlent, moi je me met face au premier et d'un simple geste de la main je le plaque au mur violemment et de l'autre main j'effectue des rotations comme pour faire des nœuds avec ses entrailles, alors qu'il commence à hurler je lui arrache la commissure des lèvres agrandissant sa bouche afin qu'il puisse hurler encore plus, plus j'entendais ses cris et plus j'en voulais, je me met en lévitation pour être à sa hauteur et lui arrache la langue avec mes dents et je continue comme ça jusqu'à ce qu'il n'est plus de souffrance à m'offrir, je le jette alors dans un coin comme une merde et je veux passer au suivant quand Ariton arrête mon geste
- Je crois que tu as assez donné pour le moment
- Non je veux qu'ils payent tous ! On ne touche pas à ceux que j'aime !
- Ariton : Alors je suis en sécurité, dit-il en souriant
- Laisse-moi continuer, cela me fait du bien
- Ariton : Ce ne sont pas eux qui ont pris nos enfants, alors essaye de te calmer, tu sais que tu es pire que moi ?
Le Seigneur ayant eu écho de ce qui venait de ce passer vient jusqu'à nous et dit
- Ariton tu as vraiment trouvé ton double, je ne sais pas si elle n'est pas au-dessus de toi en matière de torture
- Ariton : J'ai remarqué aussi Seigneur
- Le Seigneur : Jeune Cali un siège de sous princes est libre depuis d'Orias nous a quitté, seriez-vous intéressée ?
- Cali : Avec grand honneur Seigneur
- Le Seigneur : Alors je vous laisse à vos petits jeux
- Ariton : Rare sont les femmes ayant eu droit à ce poste, nous sommes donc du même grade
- Cali : Si cela peut nous aider à retrouver Orias et Hecate je ferais n'importe quoi
- Ariton : Je te crois mon amour
- Cali : Nous nous parlions par télépathie et même ça ils l'ont annulés, tu crois qu'ils vont bien ?
- Ariton : Je l'espère pour eux, parce que quand je vois ta fureur la mienne n'est rien à côté
- Prospérine : Tiens la sorcière est là !
- Ariton : Attention à ton langage car elle vient d'obtenir le siège d'Orias, c'est une des huit sous-princes
- Prospérine : Je ne pouvais pas savoir, mes excuses
- Cali : Quand on ne sait pas on s'abstient et on se tait, dis-je en commençant à l'étrangler
- Ariton : Cali ! Arrête ! Calme-toi !
Je la relâche donc et la laisse partir puis me réfugie dans les bras d'Ariton en pleurant à en avoir le cœur à vif.
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Mes Démons Intérieur
FantasiaJeune sorcière blanche de 21 ans Cali fût engendré, sans le savoir par Pan le prince des incubes, d'où son pouvoir, ça fait un peu cliché dans cette petite ville qui est Salem dans le Massachusetts, mais c'est pourtant vrai. Elle doit à présent se b...