Chapitre 12 : Adieux

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Je baissa la tête, encore une foix pour cette raison, celle qui va peut être réussir a me pousser au suicide ou moins loin, la dépression, ou la mutilation.

- Tu va pas recommencer princesse!

Je ne put m'empêcher de sourire au mot princesse, je lui avait appris la veille, en français, quelque mots dont princesse et lui m'avais appris je t'aime et d'autre mots en coréen.

Il m'entoura de ses bras musclés avant de déposer quelque baiser sur le haut de ma tête pour me remonter le morale.

- Arrête s'il te plaît!

- Qui ta dit que je pleurais?

- Tu va pleurer !

- Non, je ne pleure pas !

- Promis ?

- Promis.

Il se détacha de moi, avant de me faire ce sourire magique, mais tellement banale pour les autre. Il partit se préparer me laissant dans ma chambre, avec mon sweat que je rangea immédiatement, je mis son parfum sur ma commode, avant de me mettre a rêvasser sur mon lit, que pouvais contenir cette lettre ? Je le saurait a midi, il part ce midi. La prochaine foix que je le verrait sera dans si longtemps, on est en juin, mais je serait normalement en vacances a partir de juillet jusqu'en août, je serait bien partit, mais pendant cette période, je ne pouvais pas vraiment partir la bas, mes parent ne voudront jamais, et vu que mon argent de poche n'est pas suffisant, sa va être dur de payer.

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La voiture était silencieuse, mon père était concentré sur la route, et il n'était au courant de rien, Émilie écoutait la musique qui sortait des haut parleur, moi, je rêvassais, ma tête sur la vitre a regarder le paysage d'immeuble qui défilais.

La voiture se gara devant un grand bâtiment, vitrée de partout, plusieurs porte centrale était présente, je sortie de la voiture, et attendait l'autre voiture qui devais nous suivre, mais pour le coup, aucune voiture nous avais suivit. On resta un gros quart d'heure avant qu'il n'arrive.

- Désolé mais un petit idiot, a oublier quelque chose de très important.

Tout les regard se dirigeais sur Jimin, qui baissait la tête rougis par la honte en jouant avec ses doigts qui tenais L'enveloppe, celle qu'il avait ce matin. On se dirigea tous a l'intérieur du bâtiment, une fois les porte passer, je sentit un liquide glisser sur ma joue, des larmes, la première surement avant la rivière qui va arriver. Je me dépêcha de l'essuyer, toujours en me passant cette phrase qui passe depuis un moment dans ma tête sans que je puisse l'enlever,  ç¼ Í Í 8 W8 W ' A

"Chambre n°333" w/JiminOù les histoires vivent. Découvrez maintenant