BREF, j'ai une touche !

x) Chapitre 17 :P

Avant tout, j'aimerai remercier tous le peuple de lecteurs qui a accordé du temps à mon roman. C'est désormais un plaisir inqualifiable pour moi à rajouter mes suites. Vous êtes les meilleurs ! Et si quelques-uns d'entre vous sont intéressés par un roman original et jamais abordé (mon opinion :) ) Lisez vite le roman Why Deny ? (!) <3

_____________________________________________________________________________

XVII.

Austin et moi étions en train de marcher, épaules à épaules (bon, je m’élevais à cinq centimètres de moins que lui, mais voilà quoi.), en direction d’une boutique de fringues pour futurs mariés. On avait dû reprendre l’auto d’Austin pour atterrir sur W 20th Street entre la sixième et septième avenue.

Nous sommes entrés chez Kleinfeld MEN et je suis aussitôt passée à l’action, entassant les costumes dans une cabine spécialement réservée à Austin. Il était impressionné par mon professionnalisme, par la façon dont j’agissais. L’habiller me tenait à cœur. Enfin, vous avez compris, je prenais juste plaisir à choisir son costume. Les deux premiers costumes étaient trop larges pour lui et j’avais mal misé sur eux. Alors que je cherchais la taille adéquate à un portant d’un millions de vêts classes, un serveur m’a entrecoupé dans ma sélection d’habits et m’a demandé si j’avais besoin d’aide.

—Non, ai-je informé. Mais merci.

Je suis donc retournée à la cabine d’Austin où je lui ai passé la tenue pa-dessus la cabine. Puis, jambes croisées, je me suis assise à un siège en cuir et j’ai attendu en chantonnant pendant que j’inspectais les ongles de mes mains. Une manucure s’imposait. Même si Megan et moi s’étions faits mutuellement les ongles samedi dernier dernier devant la série Army Wives.

Quand Austin est sorti de la cabine : je suis restée éberluée. Il était beau comme un Dieu. J’étais en passe de lui crier à quel point  il était charmant.

—Alors ? Comment tu te trouves ?

C’était trop céleste, ma langue n’a rien pu dire, c’était bien trop divin.

—J’ai pas les mots.

Il a souri en se tournant vers la glace.

—Tu te sens à l’aise ? me suis—je permise. C’est du sur mesure.

J’avais une tendance fâcheuse à préférer les costumes gris et la cravate rose claire mais je devais admettre que la couleur beige et blanche lui allait à ravir.

Il a approuvé, content. Enfiler un costume de noce donnait donc beaucoup de ravissement.

J’ai tourné autour de lui, un œil impressionné vissé à son corps d’Apollon.

—Il te va comme un gant.

Je me suis stoppée. J’étais dans un état d’hébétude.

—T’es vraiment élégant…

—C’est sophistiqué, hein, s’est—il embrasé d’emballement.

—Très.

Je voulais lui dire que ça faisait très sexy mais ce serait mal venu de ma part.

On a donc acheté le costume et il a mis ses achats, illico presto, dans le coffre de sa Jaguar.

Maintenant, nous projetions d’acheter les alliances. L’idée de choisir de jolies bagues qui ne m’étaient pas destinées ne m’a pas autant mis en rogne contre le mariage d’Austin.

J’avais surpassé la colère.

Tant que j’étais près de lui, tout était rose au paradis.

Il y a eu un petit ralentissement, ce qui a permis à Austin de jeter quelques regards en ma direction même si j’étais déterminée à ne pas le guigner en retour.