[ PARTIE II ] Chapitre 1 ♡

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                                                                          PARTIE II.

                                                           I Want You To Never Let Me

 "Kiss me. Hold me. Hug me. Love me.

 And I’ll kiss you, hold you, and hug you. And more important: I’ll love you because you worth it."

                                                                                      I.

Maintenant que je l’avais embrassé, la vie était pire que belle.

Je me sentais si bien…

Au réveil, j’ai cherché sa main. Il n’était que quatre heures du matin à mon alarme. Ce qui veut dire que je n’avais pas tant dormi que ça. Compréhensible. Mais ça, vous le saviez...

J’aurai besoin d’une bonne dose de caféine à mon deuxième réveil. Deuxième réveil car Austin m’a fusillé du regard quand il m’a vue :

—Rendors-toi.

Rendors-moi.

Il a souri et s’est dirigé vers moi. Il avait le pantalon (il est pas fermé, mais chuuut !) déjà mis mais son torse était resté à l’air libre pour mes beaux yeux. Miam !

Je m’étais redressée, gardant la couverture contre moi et il s’est assis juste devant moi. J’ai avancé la tête vers lui, m’arrangeant pour qu’on tombe nez à nez. J’ai fermé les yeux alors qu’on se faisait des caresses nasales. x)

Désireux, il a dévoré mes lèvres d’un baiser qui ne saurait s’oublier que difficilement. Mmh, meilleures que les cupcakes.

— J’aime les morning kiss.

Il a ri et m’a pris les mains.

— T’as bien dormi?

— Pas assez, ai-je grimacé. Je pense que je ferai la grasse mat’. Tu m’as lessivée, me suis-je exclamée dans un rire.

Évidemment, je pouvais déjà oublier le fait de traînasser au lit. J'avais de nombreuses choses importantes à faire aujourd'hui. Le procès de notre nouvelle cliente, à Liam et moi, en l’occurrence.

Il m’a fusillé d’un regard à la Roméo.

—Vous êtes grave, Britney Kelly Andrews.

J’ai eu un bond de joie en mon intérieur. Avec Austin à deux mètres, j’en avais assez souvent ces dernier temps.

— Bienvenue dans mon monde.

Mes yeux sont tombés, telles que mes mains. Où étaient-elles tombées ? Sur ses tablettes en sucre. Un délice, juré. Maintenant, elles étaient à moi. Et non, je ne partagerai pas !

J’ai effleuré son buste du doigt. Je l’ai sentir se contracter. C’était l’influence que j’avais sur lui ? Le rendre fou de passion ?

Intimement, ça m’a fait sourire. Mon regard s’est reporté sur son pantalon et pourquoi il l'avait mis.

— Tu restes pas ? ai-je fait la manche, posant  les bras autour de son cou.

Navré, il m'a signifié non de la tête et s'est levé du lit.

— Je suis chef d’entreprise, a-t-il fait mine de me rappeler en remontant la fermeture à glissière de son pantalon.

— Austiiiin. Ce n’est pas si grave si tu racontes des bobards à Kati. Dis-lui que tu t’es cuité et  que ça t’a tellement rétamé que tu peux plus bouger l’orteil. En tout cas : tu peux crécher ici, aucun souci pour moi !

BREF, j'ai une touche !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant