Chapitre 29

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PDV : Ariel
Une fois qu'on nous aie dit que l'avion était pret a décoller Isaac vint me prendre la main et nous etions sur Le point de monter dans l'avion. Puis nous nous installames.
Ce matin nous prenions l'avion pour Paris. C'etait dans Le jet prive de sa compagnie que nous faisions Le trajet. Thaïs Elle, etait Je ne sais ou, et Isaac avait juge mieux que l'on ne sache pas pour leur sécurité. Nous sommes parti deux jours ensuite. Isaac devait s'arranger pour son travail afin que son deplacement ne sois pas trop un problème et il n'avait mis personne au courant de ce voyage mis apart Clara et Eric. Mais Ces deux ne connaissait guere notre destination. Et moi j'avais fait un check up General avec medecin et psychologue. D'apres eux J'ai fait d'enorme progres et Je me me nourrissais pas assez tout simplement. Et Isaac ne me lâchai pas d'une semelle. Une fois que l'avion aie ete en altitude Isaac prit son ordi et s'eclipsa dans un bureau au bord de l'avion en m'embrassant sur Le front.
On en avait pour quelques bonnes heures de vol. Je pri mon portable et commenca a y installer plus d'application. Genre music, bouquin. Une hôtesse vint et disposa devant moi un plat fraichement cuisiner. Elle enleva Le couvercle et Le plat m'embauma. C'etait Une payeya accompagne d'avocat et salade fraiche ainsi qu'asaisonement. Puis Elle me versa du champagne et se retira.
Je mangais sagement puis bu mon champagne. Je restai seul pendant un Bon bout temps, et a travers Le hublot Je regardais un magnifique couche de soleil. J'ecoutais un peu de musique joua a un jeu debile Mais qui reussi a m'occuper l'esprit et regarda un peu la tele... Mais je fini quand meme par m'ennuyer. J'avais mal aux fesses. Et Le soleil était complètement couche. Cet avion on aurait Dit un Air Force 1, Mais Je ne savais pas S'il y avait des cabines de couchage. C'etait ridicule! Bien sur qu'il n'y en avait pas.
Les russes ne c'étaient pas manifeste. L'homme, rondelet qu'on appelais Pedro était sur son pied de garde. C'est fou comme Ces gens obeissaient au doigt et a l'oeil a Isaac, et ils Le respectaient énormément. C'était beau a voir. Il ne bronchait pas, et quel que puisse etre la tâche, ils s'executaient.
Je fie pencher Le dossier de ma chaise et m'y recorquevilla en essayant de m'y sentir comfortable juste pour m'endormir. Mais Je n'y restai pas longtemps Je sursautai en sentant Les bras d'Isaac me soulever
-Shuuut... Rendors toi, murmura t il
Enfin, il s'était enfin libéré Mais Je me sentais toute etourdi, et l'avion n'arretais pas de trembler. Il ouvrit Une cabine et j'y remarquai un assez grand lit pour un avion, Une Porte sur la droite et nos baggages par terre. Il me deposa delicatement sur Le lit et ferma la porte. Il enleva mon jean et moi j'enlevai Le chemisier et garda Une petite chemisette Blanche en enlevant mon soutien gorge. J'allai me placer sur un oreiller Alors qu'il enleva sa veste deboutonna sa chemise et me rejoignit. Il m'attira a lui et embrassa mon cou, Je senti ses doigts jouer dans l'elastique de mes cheveux puis l'enleva. Sa respiration etait lente et Je sentais la proximite de ses levres sur ma nuque.
-Je t'aime... Lacha t il
Je me retournai et me mis au dessus de lui. Je senti son sexe pret dans son pantalon. Il me regarda droit dans les yeux et me fit fremir.
-Ferme les yeux, lui dis Je.
-Quelles sont Tes intentions?
Je ne repondi et alla prendre un ruban jaune qui tout a l'heure entourait les couverts fourchettes cuillere et couteau. Je retournai dans la cabine et me repositionna en califourchon sur lui. Il me questionna du regard
-Ferme les yeux, repri je
Il m'ecouta puis Je pri ses mains en l'attachant sur Le lit, il rouvrit les yeux et me lanca un regard menacant. Que Je l'aurai detache sur Le coup Mais Je veux y aller jusqu'au bout.
-Ariel...
-Shuut, tais toi, dis Je en me penchant pour l'embrasser, doucement.
-Ne joue pas a ca avec moi murmura t il tout en me fixant droit dans les yeux
Il me menacait, et ca m'exitait encore plus. Je riai et lui enleva son pantalon, ainsi que tout Le reste. Je deboutonnai sa chemise entièrement, puis pri des ciseaux et lui coupa Le reste. Il etait tout nu, et à ma merci. Je voulais savoir ce que sa faisait d'être à la merci de quelqu'un, quel sentiment que cela procurait.
Il ne Dit rien et me devisageait de plus belle. Je me sentais en position de pouvoir en effet sur lui, ce maniac du contrôle.
Maintenant j'avais toute son attention. Je pris les ciseaux et enleva ma culotte l. Je pri son sexe entre mes mains et Le carressa langoureusement. Je n'en avait pas peur même  si j'aurais du! Mais non il ne m'effrayait pas. Il ne Dit rien, il serra ses poings et crispa sa machoire. Je continuai ma carresse J'avais envie de Le prendre dans ma bouche. Je me penchai et lecha la pointe avec tendresse. Je Le vit fremir. Je pri son sexe dans ma bouche, et au bout de quelqu'en minutes il poussa un gémissements rauque. Je me redressai et Le defia du regard j'enlevai ma nuisette et lui exposa mes seins. Quel torture était ce? Il regarda longuement ma poitrine, mon corps, sans pouvoir me toucher. Il tira violement sur Le ruban mais celui ci ne broncha pas. Toujours en Le regardant, Je sourri pour l'enerver. Je sentais qu'il voulait me toucher, me serrer C'etait plus fort que lui. Mais il n'aura pas cette satifaction. Je passai mes mains sur mon corps de manière provocatrice, Je carressai mes seins monta jusqu'a mes cheveux. À quel point avait donc t il envie de ce corps? Je ne comprenais pas, mais son regard sur ma peau me faisait brûler de désir, Il ne manquait aucun détail, Je me dehanchais timidementsur lui pour qu'il me desire encore plus. Je pri son sexe et Le mis en moi, Je poussai un gémissement qui m'étonna moi meme. Ce moment était magique. Je penchai la tete en arriere puis me redressa et fit tout mon possible pour Le regarder, pour qu'il voit quelle merveille se produisait en ce moment , Je continuai de gemir a chaque va et vient, en me redressant et portant mes mains a mes cheveux. Il poussa un juron et tira sur le ruban mais il ne ceda pas.
-Ariel détache moi!
Je ne dis rien et continua a m'exiter. C'était bon. Je jouissais de lui.
Il déchira le ruban se releva et me serra contre lui qu'au même moment j'étais en train de jouir.Il était encore exite je sentais ses doigts s'enfoncer dans ma peau. Il me regarda puis sourri malicieusement.
-A mon tour maintenant.
Il me tourna et me mi à genou sur le lit
-Penche toi, m'ordonna t il
Je m'executai sans rien dire. Il se colla entre mes fesses, et mon corps frémi. Il était encore si dur. Il se pencha sur mes oreilles
-Je vais te punir, murmura t il.
-Me....
Il me tapa violemment sur les fesses et je retenu un sanglot. Je voulu me retourner mais il me retenu et se pencha sur mon oreille
-Tu restes la!
Je tremblai après cette tape
-Je t'interdis de me dire de me taire quand je te parle, murmura t il.
Il me donna une autre tape aussi brûlante que la première, je fermai les yeux en sentant l'excitation me monter. Et retenu une larme, je ne savais pas comment expliquer ce que je ressentais, l'envie? Lui qui me donnait la fessée, j'étais troublée. Il se pencha à nouveau et murmura
-Quand je te demande de faire quelque chose tu le fais!
La tape qui suivit m'enleva un cri et une larme coula. Je mi ma main sur ma bouche étonné.
Il embrassa mon épaule puis mon oreille...
-et ne t'avise plus jamais à me dominer!
Et il me tapa aussi violemment que les trois premières fois, je tressailli, j'avais mal, je tremblais. Ensuite je le senti me pénétré doucement. La douleur sur mes fesses me démangeait et je me surpris en train de jouir après cette fessee que j'ai cherche. Il continua son va et vient puis d'un coup de rein il explosa en moi.
Il resta un moment à l'intérieur de moi, puis s'enleva ensuite. Je me retournai et il se pencha pour m embrasser.

Be mineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant