Chapter 6

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PDV: Ariel

Part I

Lorsque J'ouvris les yeux, mes paupières étaient lourdes
Et j'avais toujours une forte migraine. Tout était au ralenti autour de moi. J'étais secoué de petit frissons inhabituel. Tout était étrange, j'avais la gorge sèche j'avais froid.
Je me levai en cadençant puisque je ne ressentais plus mes jambes, l'air me manquait. Je fis quelques pas vers un chiffonier cherchant désespérément une quelconque chose a boire. En vain, je m'assied sur un tabouret toujours en suffoquant légèrement. Je levai les yeux vers le mirroir face a moi
-Mais.... Qu'es..., balbutiai je
Puis tout me revînt en mémoire la drogue, la chambre et puis.... Moi
Mon visage, j'étais transformer ma coiffure, je ne me maquillais jamais... C'etait quoi tout ça? je portais, une lingerie fine noir dentelé... Mais...
Mon coeur manqua un battement, je restai figé l'air hagard, je fermai les yeux et pria en mon fond interieur que ça n'est pas ce que j'imaginais.... Je me levai d'un bond et palpa le lit , mon coeur s'agitait, mais il fallait que j'aie une preuve... Soudainement ma main tomba sur quelque chose de gluant, je pris le bout de plastique en écarquillant des yeux, j'étouffai en remarquant que ce n'était pas un mais deux preservatifs usagés
Je criai de toute mes forces, jusqu'a ne plus ressentir mes cordes vocales vibrer, je tordai sous l'effet de la douleur, mon corps n'avait plus... De valeur...

Folle de rage je déchirai les draps Brisa les lampes ainsi que ce mirroir ignoble qui reflétait une personne qui m'étais complètement inconnue, je ne pouvais même pas pleurer les larmes... Ne coulaient pas... Cette douleur m'avait deformé et transformé en monstre.
-Laisser moi sortir, criai je en m'acharnant sur la porte, qu'est ce que vous attendez de moi....
J'étais si déboussolé que je ne remarquai même pas le sang qui coulait de mes jointures, j'étais comme une bête en cage. Je pris ma tête entre mes mains, je sortirai d'ici
Je me jetai sur les lames du mirroir, j'attrapai une lame et me coupa les veines, la douleur que je ressentis était infime face a celle qui m'avait déjà été infligé au plus profond de mon être, souillé... Je m'allongai par terre jusqu'a ne plus rien ressentir....
Quelqu'un pénétra la pièce
-Oh la chienne....

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J'étais allongé sur un lit, j'avais essayé de me suicider mais sans succès. Mon calvaire ne faisait que commencer. J'avais mal partout, je me sentais épuiser et ça tournait dans ma tête. Je tentai de me relever mais quelque chose me retenait attaché au lit. Mes poignets me faisait mal. Quand je relevai les yeux je remarquai qu'en effet ils m'avaient attaché au lit, main et pied lié et tellement serré que je sentais que mon sang ne circulait plus. J'essayai de me detaché mais je me faisais plus de mal en irritant  mes poignets. Les larmes qui coulaient de mes yeux me brûlaient. Quelqu'un pénétra dans la pièce, et se dirrigea vers mon lit. Je le regardai paniqué imaginant le pire, mais il detacha la menotte qui passait par la ficelle qui me sanglait les poignets. Il fit de même pour mes chevilles
-Qui êtes vous? Soufflai je faiblement
Le regard froid qu'il me lanca me fît frissoner
-Pose pas de question et tu resteras en vie, repondit il de sa voix rauque
Il me jucha telle une paille sur son épaule j'étais trop faible pour répliquer, il quitta la pièce avec moi, je senti alors un poids disparaitre de ma poitrine, on longea un couloir faiblement éclairé et dont le sol était recouvert d'un tapis belge.
On entra ensuite dans un ascenceur, je bougeai légèrement pour qu'il me laisse descendre, mais il me retenu plus fermement. Le temps dans l'ascenceur me parut être une éternité, une fois ouverte on passa dans une grande salle il y avait plusieurs autre mec qui se levèrent a son arrivée puis s'exprimèrent en russe mais il ne repondit pas et continua son chemin. Il me déposa sur une chaise dans une salle a manger, je scrutai la pièce, elle était immense un bouquet ornait le centre de la table et en haut il y avait un grand lustre. Je pepiai des yeux en le voyant revenir vers moi, et baissa la tête. Il disposa une couvert devant moi. Je n'osais pas le regarder en échange de quoi il faisait ça?
Lorsque ce que ce que je devrais donner en échange me frola l'esprit, je senti la panique me gagner, il attrapa brusquement mes poignets je levai les yeux vers lui implorant
- Tu tentes quelque chose de stupide, je te tue, dit il en deposant une arme sur la table

Be mineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant