Boxing Coach [Ziam Mayne]

Chapitre 16

Encore un chapitre tout mignon-mignon pour aujourd'hui, mais ensuite, je ferais vraiment avancer l'histoire (m'enfin si je ne décide pas de faire durer des moments comme ceux-ci, encore).

Bonne lecture ! :D

~PDV Zayn~

Un corps chaud se presse contre le mien, et une main vient caresser mes cheveux. Je sens vaguement un truc chaud se poser sur mon épaule, mais je la secoue avant de me retourner sur le ventre. Laissez moi dormir, putain.

La main devient de plus en plus entreprenante, elle passe sur le haut de ma colonne vertébrale, avant de descendre lentement. Le truc chaud de tout à l'heure retrace le même chemin, et j'ai de plus en plus chaud.

Toujours les yeux fermés, je gigote et passe mes bras en-dessous du coussin, donnant quelques coups de hanche pour que, quoi qui me touche, dégage et me laisse dormir. Mais rien à faire, les doigts me chatouillent les côtes, avant qu'un corps ne s'allonge sur le mien brusquement.

Je suis prêt à foutre la plus grosse beigne dans la gueule de celui qui me dérange, et pourtant, un petit sourire prend place sur mes lèvres quand je sens quelque chose de dur contre mes fesses. Ma tête est complètement enfoncée dans l'oreiller, et je me frotte contre le truc dur quelques secondes avant que je ne daigne tourner ma tête sur le côté gauche.

Presque aussitôt, on me mordille la mâchoire, et je glousse parce que ça me chatouille. Il continue, et je le sens sourire contre mon visage.

-Il faut que tu te lèves.

-Non. Grognai-je avec ma voix du matin.

C'est la première fois que j'entend Liam glousser. J'hésite à ouvrir les yeux, pour le regarder, et puis je me résigne, et replonge confortablement ma tête dans l'oreiller.

-Allez, l'ours, sors du lit maintenant.

L'ours? C'est lui l'ours, avec ses grognements et sa voix rauque. Ah non, c'est vrai, il n'est qu'un petit chaton. Je souris à cette pensée, et lâche un soupire de bien être.

-Laisse moi dormir. Demandai-je doucement.

J'ai un petit espoir qu'il m'écoute, pour une fois, quand je le sens prendre appui sur ses genoux de part et d'autre de mes hanches. Mais je deviens presque désespéré quand je sens son index retracer, encore, ma colonne vertébrale.

Je grogne et essaye de bouger doucement, mais il m'empêche de bouger d'une main ferme. Je capitule, trop fatigué pour faire quoi que ce soit, et laisse mon corps se détendre.

Le doigt du brun arrive rapidement entre mes fesses, et commence à titiller mon trou, me faisant frissonner violemment.

-Dès le matin? Murmurai-je, en bougeant déjà des hanches.

Il rit doucement, et insère un de ses longs doigts en moi.

-Comme si ça te dérangeait.

Je glousse, et soupire quand je sens son souffle près de mon entrée. Mon dos s'arque, et mon trou se contracte, quémandant déjà plus de contact. Il souffle doucement contre mes fesses, et insère un deuxième doigt.

Mon sexe dur se frotte contre les draps et mon ventre, et un sourire de bien être s'empare de mes lèvres. Oh oui, comme ça, c'est trop bon. Il fait quelques vas et viens, me faisant couiner en fermant un peu plus fortement les yeux, emprisonnant ma lèvre entre mes dents.