Essais • v.jk

Essais • V

J'avais froid, mais la chaleur de ta main dans la mienne me réchauffait. J'étais fatigué, je dormais mal, alors tu as voulu qu'on sorte un peu. On s'était posé au bord d'un lac ou bien d'une rivière, qui sait. Mes yeux distinguaient mal l'étendue de l'eau dans la pénombre de la nuit. On s'était installé là, et tout était étrangement calme. Je me plaignais du froid, disant que j'avais sommeil et tu t'étais mit à rire, disant que c'était nouveau ça.

On s'était assis contre un arbre et tu me dorlotais me faisant ainsi prisonnier de tes bras. Tu soufflais dans le creux de mon oreilles des mélodies à la sonorité américaine. Je pense que j'étais capable de mettre un nom sur chacune d'elle. C'était toutes des chansons douce pouvant faire chavirer n'importe quel cœur et en cet instant, c'était le mien qui dérivait.

Je levais alors les yeux en direction du ciel, et admirait les étoiles qu'on ne pouvaient voir depuis la ville. Je pourrais paraître simplet suite à ce que je vais dire, mais qu'importe. Cette vision m'apaisait. Être là, être simplement là avec lui pouvait calmer tout mes maux. Tu avais ce talent là, d'être rassurant par ta simple présence. Tu as toujours été apparent comme sans aucun soucis, alors, quand je suis avec toi...J'ai la sensations que mes miens s'envolent au loin.

Et là, le tout se brise, en un millième de seconde, mon monde s'effondre. Tu souffles ces quelques mots et je les entends encore aujourd'hui comme un écho. Je refuse d'y croire, je me dégage de tes bras et te regarde dans le blanc des yeux. Tu me mentais, hein ? Tu ne pouvais que mentir.

Et pourtant, ton regard suppliant me prouvait le contraire. Je refusais d'y croire à l'époque. Aujourd'hui encore, j'ai du mal à admettre ces quelques mots que tu m'as dit à l'époque. J'ai du mal à accepter que tu m'aies dit : « Jungkook, je vais m'en aller. »

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Wow, j'ai pas posté depuis longtemps. C'est dingue comment les exams ça bouffe du temps.
En plus de ça, je suis malade depuis  2 semaines à cause de la Kcon....
Sinon, voilà on revient doucement au chapitre un, uhuh.