Tout à l'heure, je suis tombée sur un texte que j'avais écrit il y a quelques temps. Je devais pas être hyper bien parce que ça parle de rêves déchus, mais quand je l'ai lu, je l'ai trouvé très vrai.
Je l'ai retravaillé et je vais donc vous proposer ceci :Je crois que je me suis construit un idéal. Un chose parfaite ; une chose impossible. C'est beau d'avoir de l'imagination, mais encore faut il savoir où commence le rêve et où commence la réalité. Malheureusement, ce sont deux choses aux antipodes l'une de l'autre, et peu importe que les gens vous disent que les rêves sont fait pour être exaucés, ce sont des conneries. Un rêve est irrationnel, irréel, impossible. C'est pour cela qu'il porte ce nom. Il faut d'avoir différence rêve et objectif.
J'ai appris qu'il ne fallait pas confondre ces choses.
Mais je pense que le plus dur est de savoir dans quelle catégorie appartiennent nos idées, et que bien souvent, nous prenons nos rêves pour des objectifs. Alors, quand tout apparaît limpide et pur, la réalité frappe de plein fouet. Et les stygmates de ses coups sont des plus douloureuses car elles nous rappellent à chaque instant que l'optimisme fait beaucoup trop mal.
Ne soyons pas naïfs.
Ne nous laissons pas séduire par les douces paroles de nos utopies.Alors ...
Il n'y a pas mal de choses à dire dessus. J'ai quelques détails à ajouté, comme pour alimenter mon propre débat.
Tout d'abord, ce qui transforme nos rêves, ce sont nos concessions. Un rêve est parfait, c'est là où nous ne faisons pas de choix.
Mais la vie est faite de choix.Je pense que c'est la seule chose qui fait que nos rêves ne peuvent pas être réels.
Alors, si vous rêvez et que par malheur vous prenez ce rêve pour un objectif, dites vous simplement que vous devrez faire un choix à un moment où un autre. Alors, votre rêve sera un objectif.J'aimerais entendre votre avis là-dessus !
Alors voilà, le débat est ouvert (même s'il n'y a pas trop de question).
Bisous ! ♡
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AcakCe titre qui n'est point flatteur n'attirera sûrement personne. Seuls les grands aventuriers ont dû atterrir ici, ou alors une flopée d'abonnés curieux de découvrir ma pauvre petite âme. Bref ! Voici (enfin) le "rant book" (pour utiliser le mot) que...