Sonnerie du lycée
Me voici en cour de mathématique. Un cour qui à le don de m'endormir je pense que lui seul connaît le secret des plus confidentiel. D'autant plus que je me retrouve dans un lycée cette année qui m'énerve et qui par ailleurs j'aime le surnommer la prison moderne de l'éducation national. Pour vous dire à quel point tout ça m'indiffère je suis comme d'habitude au fond de la salle avachi sur la table. J'ai le profil d'une fille qui aime pas se mélanger, je suis associable et personne ose venir me déranger. C'est pas faux d'avoir tenter au début de l'année mais ils ont été gentillement accueilli comme je sais si bien le faire,notez mon sarcasme!
-"Chuchotant à moi même Putain Rose! Tiens le coup plus jusqu'aù prochaine vacance ma vieille.
Bien entendu la notion de "chuchoter" semble m'échapper ou alors je ne l'ai pas totalement intégré.
- Quelque chose à ajouter Mademoiselle Baya?
-Non rien du tout. Dis je d'un signe de tête.
-Si. Si. Je vous ai entendu marmonner. Dîtes nous.
Il sourit en plus cet imbécile.
- Si je vous fait part de ce que je disais, je ne suis pas certaine que cela vous plairez monsieur. Dis je accompagné d'un sourire narquois.
-Dites toujours j'en jugerai par moi même.
Il a l'air d'accorder de l'importance à mes pensées. Je ne peut pas le lui refusait .Voyons Rose,quels sont ses manières ? Et puis je lui ferai bien ravaler son sourire d'abrutis.
-Et bah c'est comme vous voudrez je vous aurez prévenu que ça ne vous plairez pas.Donc je me disais que les maths était une matière barbante pour synthétiser.
La classe entière se met a glousser. Je l'avais pourtant prévenu et il aurai dû anticiper mon insolence. Tant pis pour lui.
- Mais bien évidement c'est mon avis personnel après les goûts et les couleurs ne se discutent pas comme on dit. Je souris satisfaite de ma répartie
-Permettez moi de vous rappelez mademoiselle Baya que vous êtes ici parce que vous vous êtes fait virer de vos anciens lycée dit-il sur le ton qui se veut de la réprimande faîtes au moins semblant pour les sommes colossal que vos parents déversent dans votre éducation scolaire mademoiselle.
Je me suis tue en fronçant les sourcils mécontente de ce qu'il vient de me dire. Fait chié! Sentiment d'impuissance à la con... Je souffle me plongeant dans mes pensées. Mon père est ambassadeur,il est souvent en déplacement pour son travail,il me manque j'ai une relation particulière avec mon père depuis toute petite déjà mais maintenant il est beaucoup moins présent. Je souffle une fois de plus mais cette fois attristé et décide de noyée mon surplus de tristesse dans une bonne sieste. Voilà qui me conviens un peu plus, je souris à cette pensée et me remet dans ma position initiale.
Le cour est terminé. Enfin! Et toujours fidèle à moi même dernière à entrer en cour mais première à en sortir. Je rentre dans les toilettes dans le but de me laver les mains quand je me fais tirer par les hanches sans que je puisse voir le visage de la personne. Houlà qui va être l'heureux élu de ma colère à venir?Je me retourne et aperçois le visage de mon Apollon.
- Je t'ai manqué ?
- Hm mon passe temps favoris est de retour parmi nous. Alors ta journée d'exclusion?
-Ah ouais je suis ton passe temps favori? J'aime,j'aime Dit il relevant qu'une partie de ma phrase.
Je lève les yeux au ciel amusé par son arrogance. Il m'adresse un sourire salace et se penche pour venir m'embrasser dans le cou je le laisse ça doit faire un bon moment que nous n'avons pas jouer à notre jeu préféré. La température est à son comble et mes habits me donnent l'impression d'étouffer maintenant. On s'embrasse avidement en oubliant où l'on est.
-" Rejoins moi plutôt chez moi après les cours
- Il s'arrête les yeux grand ouvert Tu es au courante que il est que 9h et que par conséquent je dois attendre tout la journée là?
-Et?
-Je ne tiendrai pas Rose j'ai envie de toi maintenant
-Et moi j'ai pas envie de me donner en spectacle devant tout le monde Marius,et comme c'est moi qui obtiens toujours le dernier mot. Je l'embrasse rapidement puis lui adressé un sourire vainqueur. Je te dis à ce soir."
Je m'en vais rapidement avant que l'envie de me contredire lui vienne à l'idée. Je l'entend grogner d'insatisfaction et spéculer
-"Fais chier"
Je souris contente de ma petite manigance. Cruelle moi ?Pour le coup c'est peu de le dire.

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Un Amour Interdit
Teen FictionJe fui les sentiments pas peur d'être blesser. J'évite le gente masculine par peur de m'attacher. Cupidon est mon aversion et la solitude mon alliée. Mon attitude de détachement te concernant est compréhensible de mon point de vue, parce tu représ...