Chapitre 7

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Ange

2 jours plus-tard

Revenant à moi dans mon véritable corps fut très très étrange ! C'est comme si on vous enfermait dans une pièce et qu'il y avait un verrou qui vous empêche de sortir jusqu'à vous évanouir ou faire de la claustrophobie. Enfin c'est ce que je ressentais en essayant d'ouvrir les paupières malgré l'énorme poids qui pèsent dessus. Comme si j'étais passer sous une espèce de machine qui broie les déchets avec des les enterrer sous terre (et oui ça existe vraiment pour ceux qui ne savait pas).

Réussissant à ouvrir les paupières, je les refermais aussitôt à cause de la trop haute densité de lumière dans la pièce. Un raclement de chaise se fit entendre à côté de moi quand un gémissement de douleur - dû à la douleur - qui sortis - malgré moi - de mes lèvres. Les rideaux de la pièce furent fermer; Je tenta de ré-ouvrir les yeux cette fois avec moins de chance d'être éblouie par la lumière et les fixèrent dans ce de Damon.

Remarquant que je le fixais, il me prit dans ses bras sans me serrer trop fort pour ne pas me faire trop mal. La porte s'ouvrit dans un fraqua épouvantable laissant entrer un Lucas en pleur devant moi mais qui respirait l'espoir. L'espoir de me revoir. Le même espoir que j'avais quand il est mort.

Réalisant cela je me défis des bras du jeune homme pour me faire immédiatement rattraper par son frère suivit de sa sœur qui venait d'entrer. En voyant les parents entrer je cru bon de demander.

- Ils sont toujours comme ça ? Parce que si ça continue bien que ça ne me dérangé pas le moins du monde, il faudrait qu'il pense à desserrer leurs étreintes si ils ne veulent pas que j'étouffe ! dis-je en rigolant en voyant le petit Lucas et sa sœur tous de suite s'écarter loin de moi pour rester à une distance raisonnable. Vous savez dis-je en me tournant vers eux, vous n'êtes pas obliger d'aller à l'autre bout de la salle ! Vous pouvez vous asseoir sur mon lit continuais-je tout en tapotant le lit dû quel je m'étais écarter pour les laisser s'asseoir.

Les parents secouèrent la tête pour le faire comprendre qu'il n'était pas du tout affectif à l'accoutumer et que c'était très étrange même pour - je l'imagine - puisqu'ils les connaissaient depuis l'enfance !

Repensant à lui, je voulu me lever rapidement pour voir si il était là mais la douleur - bien que presque inexistante - était si forte que je me lassa retomber lourdement sur le matelas de la chambre sous les différents regards des personnes dans la pièce en passant par de la surprise à la peur pour Damon. Pourquoi il est le seul à ressentir de la peur ? Je crois que ce type et fou ou il a des vus sur moi. C'est vrai qu'il est pas mal non plus. Nan mais ça va pas ! Arrête de penser ça ! Tu as mieux à faire il me semble ! Aller ressaisit toi !

Voyant que j'essayais encore une fois de me lever - cette fois doucement - Damon me pris les épaules et me reposa avec une infini douceur - ce qui est étonnement malgré sa corpulence comme quoi ! Il ne faut jamais se fier au apparence ! - sur le lit et m'aida à m'appuyer sur la tête de lit pour me maintenir en place.

- Pourquoi veux-tu absolument sortir de ce lit me demanda le père des deux frères et de la sœur ?

- J'ai quelque chose d'important à faire et ne sachant pas depuis combien de temps je suis endormi je préfère me dépêcher afin de finir ce " quelque chose " dis-je en mimant les guillemets.

- Et si ce n'est pas trop indiscret dit Damon, quel est cette " chose " que vous avez à faire ?

- Cela ne te regarde pas ! répondis-je en lui lançant un de mes plus effrayant regard noir.

- Pardon d'essayer de comprendre pourquoi vous êtes aussi fermer ? ragea-t-il en me regardant de ses yeux devenu rouge sous le signe de la colère.

- Et bien, mêlez vous de vos affaire ! Je ne viens pas fouiller dans votre bureau pour savoir si vous êtes des dangereux mercenaires ou pas moi ! Je vous fais confiance alors faites pareil !

Abasourdit par ma réponse, il ne vit pas que j'étais sorti du lit et me retenait à Brittany pour sortir de la chambre quand les fenêtres s'ouvrirent d'elle même à causse du vent. Une silhouette se dégagea des rideaux, et je le vis. Enfin. Je couru dans ses bras et le serra de toute mes forces pour ne jamais plus le quitter.

AngeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant