Chapitre 8

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Damon

*Quelque heure après l'évanouissement d'Ange*

En ouvrant les yeux, je me rendis compte que j'étais sur mon canapé avec une couverture sur moi. Mes parents ont dû préféré me laisser dormir parce que le médecin pense qu'elle en a encore pour longtemps. Pourquoi ? Pourquoi ça lui arrive ? Peut-être que je la connais que depuis 1 voir 2 jours maintenant mais, c'est comme si elle et moi nous avions toujours été ensemble, même quand je ne la connaissais pas. Elle a un pouvoir sur moi que mes parents n'ont pas et pourtant, elle ne s'en rend même pas compte. Je crois... je crois que... que... je commence à m'attacher à elle (et oui désolé pour ceux qui voulait " je crois que je l'aime déjà " mais ce n'est pas encore le moment !). Elle me met dans tous les états (en même temps c'est mon âme-sœur donc...), mais surtout, elle le fait de façon si innocente que s'en est... troublant.

Pendant que j'étais à mes réflexions, je n'entendis pas les infirmières et les médecins appeler les autres pour un état d'urgence. Je releva la tête pile quand ma famille arriva (même ma sœur ce qui est un exploit) près de moi avec des regards inquiets.

- Qu'est-ce qui ne va pas ? dis-je en commençant à inquiétée face à leur mine sombre. Dîtes le moi ! commençais-je à crier dans le couloir.

Ma mère ne pouvant supporter mon regard, se détourna de moi ainsi que ma sœur qui sanglota fortement à côté de moi. Mais qu'est-ce qui se passe ?

- Mon chéri commença mon père, les médecins ont déclarés un état d'urgence tout à l'heure au centre médical. Est-ce que tu sais pour qui il a été signaler ? risqua mon père sous les regards triste et perdu de ma mère attendant une réaction de ma par.

- Non, non je ne sais pas répondis-je d'une toute petite voix. Ne me dit pas dis-je en relevant la tête vers mon père que j'avais baissé pour réfléchir même si 2 secondes j'avais la réponse sous les yeux. C'est pas possible. DÎTES MOI QUE C'EST PAS VRAI ! PAPA ! RÉPOND MOI ! EST-CE QUE C'EST POUR ANGE ? RÉPOND ! finis-je en m'énervant contre mon père de ne pas avoir remarquer la situation plutôt.

Pourquoi ? Pourquoi toute cette peine ? Pourquoi ces malheurs n'arrive qu'à moi ? N'ais-je pas assez souffert ? Pourquoi veux-tu encore que je souffre ? N'en as-tu pas assez de me faire payer mon karma ? J'ai largement passer ma dette tu ne crois pas ?

Je sortis en courant de la maison pour me retrouver seul. J'en avais besoin, même si j'entendais mon père m'appeler du couloir, je ne pouvais pas. Pourquoi ? Seule cette question tournis en boucle dans mon esprit et failli me faire tomber. Mais manque de chance (depuis que je suis né) je me pris une branche te tomba pas terre. Je commence à tapé le sol en pensant que ma rage et ma tristesse partiraient, mais, rien à faire. Elle est toujours là à me coller à la peau comme si elle était une parti de moi.

Commençant à m'endormir (puisque je ne m'étais pas reposé depuis qu'elle s'était évanouit), je laissa la place à mon loup qui hurla sa peine et sa douleur en courant aussi vite qu'il pouvait dans la forêt. Soudain il s'arrêta.

" - Qu'est-ce qui ne va pas appart le fait que notre âme-sœur soit dans un lit d'hôpital entre la vie et la mort, je ne vois pas pourquoi tu es inquiet dis-je à mon loup lasser de ne pas être aux côtés de mon âme-sœur (même si c'est de ma faute si on est parti).

- Je ressent une présence qui a la même odeur que notre âme-sœur mais qui est légèrement masculine. Grrrrrrrrrr IL N'A PAS LE DROIT DE METTRE SON ODEUR SUR MA COMPAGNE ! s'écria mon loup dans notre esprit pour montrer son mécontentement sauf qu'il n'y a que moi qui l'entende donc c'est moi qui me ramasse un terrible mal de crâne reçu de bibi ! "

AngeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant