Chapitre 11

116 6 2
                                    

Ange

Je desserra mon étreinte malgré les grognements plaintif de Max. Malgré tout, il accepta de desserrer notre étreinte. Je tourna ma tête vers lui, et l'observa. Les traits de son magnifique visage, sont tirer par la fatigue et le temps qui a passer. Du temps. Devrais-je dire une éternité depuis le jour de notre rencontre. A se moment là je me rappelle.

Flash-back

C'était une journée magnifique avec un temps idéal pour aller à la plage dirais les jeunes de maintenant. Mais, tout à changer quand j'ai entendu un jeune garçon crier : AIDER MOI ! A l'époque, je ne savais pas que cette rencontre changerais ma vie à tout jamais. Il faut savoir qu'à cette époque je venais de sortir de l'école diplômer des Anges et pour me féliciter comme j'ai eu les meilleurs résultats de toute la promo (bas oui quoi, c'est vrai que j'étais une intello dans le temps {je le suis toujours d'ailleurs} mais j'adorais étudier !), mes parents m'ont donnés l'autorisation de voler seule pour la première fois de ma vie.

Revenons à cette voix (qui est en fait si vous ne l'avez pas devinez Maximilien) étais plaintinf et suppléante. J'ai alors tous de suite devenez que cette personne était en danger, peut-être de mort !

Je vola donc le plus vite possible jusqu'à la provenance de ce cri. En arrivant sur place, j'eu la surprise de voir un magnifique jeune homme (qui devait avoir à l'époque 8-9 ans) au bord d'une falaise qui se retenait plus que part une main à la falaise avec aucune prise pour encré son pied dedans. Voyant qu'il pouvait lâcher d'un moment à l'autre, je me laissa tomber en piquet vers le jeune garçon.

Au moment où j'allais le prendre dans mes bras, il tomba en me regardant dans les yeux. J'y pu lire de la peur. Un peur grande et sourde qui lui faisait prendre conscience de la réalité jusqu'à ce qu'il voit mes ailes avec lesquels je le protégeait de la chute. En tombant dans l'eau, ma tête cogna dans les rochers et ressera ma prise contre le jeune garçon en utilisant le pouvoir de mes ailes.

Lorsque je repris connaissance, je remarqua que j'étais prêt d'un feu avec une peau de bête sur moi pour me protéger du voir environnant. En essayant de bouger mes doigts, une énorme douleur au niveau de mes ailes se dit ressentir. Je poussa un gémissement de douleur face à ce mal qui me rongeait de l'intérieur.

- NE BOUGE PAS ! cria le jeune garçon que j'avais sauver plutôt. Tu t'es blessé l'épaule en me sauvant de la chute et... je... ne... saurais jamais... comment... te remercier... de... m'avoir... sauvé... dit-il entre deux pleurs.

Mon état devait l'avoir vraiment inquiété pour qu'il pleure ainsi. Je décida de faire un effort en ouvrant les bras et en l'attirant prêt de moi. Il se crispa dans mes bras en volant se dégager mais je le retins contre moi.

- Tu n'as pas à t'excuser petit tu sais. Si j'ai choisi de le faire, c'était parce que tu étais en danger et que tu ne pouvais plus tenir, alors ne te blâme pas pour ça. Tu as déjà assez souffert je pense vu les traits tirer de ton visage mais ne t'en gait pas, je ne vais pas te questionner dessus, je vais juste attendre que tu veuilles bien mon parler si tu le veux dis-je d'une voix douce qui fit alléger des pleurs. Maintenant mon petit, si nous mangeons ?

Il accepta vivement en me montrant le poisson qu'il avait pêcher. A la fin du repas, juste au moment de se coucher, il me demanda une chose qu'il me donnerai en retour. J'accepta et lui demanda ce qu'il voulait.

- Tout ce que je veux, c'est savoir ton nom ?

- Bien sûr dis-je avec le sourire, mon nom c'est Ange et toi ?

- Wouahou ! Ton nom est super joli ! Moi c'est Max, Maximilien !

Et c'est ainsi que je le rencontra pour le première fois.

Fin du Flash-Back

Sortant de mes pensées, je remarqua que lui aussi me détaillait pour voir le changement, qui, bien sûr, est inexistant puisque les Anges une fois adulte, ne changent pas jusqu'à leurs morts.

- La petite princesse. Tu es enfin devant moi. Comme je suis content. Je te promet que cette fois, plus jamais je ne te quitterais comme je l'ai fait à l'époque.

- Je te crois mais sache que je ne t'en voudrait jamais de m'avoir laisser. Tu avais le droit de vivre tes derniers instant où tu le voulais. Mais maintenant, sache que je ne te lancherai pas d'une semelle comme ton âme-sœur !

- Tu as raison ! Depuis le temps que je la cherche et que je l'ais enfin trouver, tu es sur que je ne la lâche plus d'une semelle !

Explosant de rire, je lui tapa l'épaule et le bouscule pour passer la porte (non sans un dernier câlin).

AngeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant