Chronique de Naïma : un passage en zonz, révélateur de drames... et autres.

Partie 2 ♣

- Dans la peau de Naïma -

Je suis devant le bloc de Leïla. Je monte, je sonne et c'est khelti Leïla (la mère de Leila) qui m'ouvre.

- khelti: Salem aleykoum, sa va benthi (ma fille) ?

- moi: Aleykoum salem, al hamdoulillah et toi khelti ?

- khelti: al hamdoulillah, entre entre benthi

J'entre quand, j'entends des voix rigolaient en provenance du salon. Je reconnais le rire de Yanis et Leïla. C'est mignon tout sa.... Qui sais, peut être qu'il y aurai un futur entre eux...

Je me dirige vers le salon et sens ma mort approcher, je suis dans la merde. Yanis vas me poser plein de questions, me demander où j'étais, avec qui et pourquoi.

J'ai demandé aux filles de lui dire que j'étais chez Leïla alors que c'était faux.

Wesh mon reufr en dirait la police en personne avec toute c'est question là.

Hessoul, je prend mon courage à deux main et je vais vers eux.

- moi: Salem aleykoum khoya

- Yanis: Aleykoum salem oukthy, t'étais où, tu fesais quoi, t'étais avec qui, et pourquoi tu répond pas au tel ?

J'vous est pas dit ?? Mddddr.

- moi: j'étais au grec, je mangais et j'étais avec moi mdrrr et mon tel n'as plus de batterie et toi pourquoi t'es là ?

- Yanis: crois c'est drôle tu vas voir et pourquoi t'es pas y aller avec Leïla ?

- moi: j'voulais être seul et tu m'as pas répondu

- Yanis: je suis la parce que j'avais quelques choses d'important à te dire et vu que tu répondais pas ben je suis venu

- moi: tu voulais me dire quoi ?

- Yanis: Feryel est à l'hôpital

- moi: pour...pourquoi ?

Attendais donc dans c'est moment là, monsieur vient dehak avec ma shab ?? Chacun sa façon de décompresser mais bon...

- Yanis : rien de grave elle c'est battue à l'école et à quelques blessures mais yemma à préférer l'emmener à l'hôpital

- moi: ok, emmène moi la voir stp

- Yanis: d'acc, on y vas

Yanis alla devant la porte, j'allai le rejoindre mais je me suis rappelé que je n'était pas venu pour lui mdrrr, du coup je vais voir Leïla et lui dit que je reviens. Je lui demande si je pourrais dormir chez elle et elle accepte.

Hessoul, je suis dans la voiture avec Yanis, on viens d'arriver à l'hôpital. On est dans le parking. J'allai descendre mais il m'attrape le bras.

- Yanis: tu me cache rien, hein ?

Il me demande sa avec grave de la méfiance, en dirai il sais quelque chose gueh !

- moi: non non t'inquiète, lui dis-je en dégageant mon bras.

Comment j'aime pas mentir.

- Yanis: si j'apprends que tu m'as menti, Naïma tu vas le regretter

- moi: je croyais que tu me faisais confiance, répondis-je énervée.

- Yanis: c'est le cas

- moi: ben en dirait pas

- Yanis: allez on y vas