Je dois le faire. Ce ne sera jamais mon choix, même si je le supplie, ça ne marchera pas. Oui, je le savais depuis que je suis arrivé ici.
Et je savais aussi que l'ascenseur était cruel. Mais, malgré tout ce que j'ai vécu, je n'arrivais pas à le croire.
Je voulais pleurer, alors c'est ce que je fis. Mon esprit était bien trop sensible pour vivre tout cela.
L'ascenseur nous avait sûrement cassé les côtes en montant. À chaque étage qu'il montait, la force se rajoutait.
Même si le défi allait commencer, je pleurais quand même. Ma tristesse avait besoin de se libérer.
Quand l'ascenseur ouvrit ses portes, je ne me levai pas directement. Je fis descendre mes dernières larmes pour me lever.
Je vis George qui regardait devant moi. Après, il resta immobile en regardant vers la gauche et la droite.
J'entendais en même temps le bruit du vent si bruyant. J'avais l'impression que le vent allait détruire l'ascenseur et nous emporté avec lui. Ce serait bien ça.
Mais en regardant, c'était des tornades. Des tornades très puissantes qui avait l'air mortelles.
En retirant mon regard de ces phénomènes bizarres, je remarquai la disparition de Davina et Dylan.
- Davina? Dylan? criai-je.
George m'ignora en regardant les tornades avec terreur. Il commença à marcher en essayant de s'éloigner de ces tornades géantes.
Je regardai ce monde qui avait un ciel gris et le sol était en pierre.
- George, y a deux secondes Davina et Dylan étaient là, dis-je.
- Ils sont retournés chez eux, m'informa-t-il comme si c'était évident.
Il ne manquait plus que nous? On était les seuls restant ? Est-ce qu'après ce sera mon tour? Ou resterais-je ici jusqu'à ma mort?
George marcha tranquillement et je courus le suivre.
J'étais vraiment épuisée de tout ça. Cet endroit n'avait même pas clair d'avoir de la nourriture ou de l'eau.
Ça ne me donnait vraiment pas envie de continuer. Mais j'avais peur que, si je reviens, l'ascenseur ferme ses portes et... me tue.
George marchait toujours en regardant la trajectoire des tornades.
Mais enfait elle bougeait dzns tout les sens.
- Dis George, j'ai pas l'impression qu'il y a de la nourriture ici, dis-je pour l'informer de mes doutes.
- Tout ce qu'on peut faire c'est marcher et retourner quand y a un danger de mort.
J'avais bien envie de parler, même si c'était surprenant, je ne ressentais aucune peur.
- Tu viens de quel pays ? demandai-je.
Il me dévisagea. Cette question ne devait pas se poser dans des moments comme ça, se disait-il peut-être. Et pourtant il me répondit.
- Argentine.
- Oh, c'est un beau pays. En plus,...
- Je stresse là, me coupa-t-il.
Je me tu. Il avait raison. Ses doigts tremblaient tour comme ses jambes. Son front dégoulinait de sueur.
Et moi je lui parlais comme si de rien n'était. J'avais honte de moi alors on resta plusieurs minutes à ne rien dire.
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L'ascenseur [original]
Ficção CientíficaEst-ce que la fin de la guerre, c'est la fin des problèmes ? C'est ce que se demandait Emma. Mais maintenant, elle en ait sûr. La réponse est non. L'ascenseur pouvait être un vieux cauchemar, mais ce ne fut pas le cas car Emma se retrouve de nouvea...