Warhammer : Chaos Ascension

Chapitre 8 : Désespéré

L'Empereur étais assit sur son fauteuil, un verre d'alcool à la main, il regardait l'horizon, il rêvait. Il tourna la tête quand il se rendit compte que Thorgrim était rentré dans la pièce. 

Thorgrim - Que faites-vous ? 

Karl - Je bois, ça ne se voit pas ? 

Thorgrim - Pourquoi buvez-vous ? 

Karl - Pour apaiser mon chagrin. 

Thorgrim - Que s'est-t-il passé Karl ? 

Karl - Katarina... Il s'est passé quelque chose...

Thorgrim - Qu'a-t-elle ?

Karl - La ville de Kislev a été rasée par les forces du Chaos, tous le monde a été massacré... Ils ne reste plus personne... Katarina avait voulue sauver une petite fille qui était aux mains de plusieurs maraudeurs, dans le feu de l'action elle fût touchée par le bout de l'épée de l'un d'entre eux et la petite fille fût amenée loin du combat, tandis que son Pégase avait réussi à s'envoler avec elle en direction d'Altdorf. Comme vous le savez, ils sont arrivés blessés. Le Pégase est mort, mais nous avons réussi à sauver Katarina, mais... La blessure qu'elle a au ventre... Cette blessure nous empêchera d'avoir un jour un enfant... Je n'aurai jamais de descendance... Je ne pourrai jamais prendre dans mes bras mon enfant... Je ne verrai jamais mon enfant grandir... Maudite soit cette vie !  Je n'ai plus aucune raison de vivre...

Thorgrim - QUOI ?! Vous rendez vous compte de ce que vous dites ?! Votre peuple ?! Que fera-t-il sans vous ? Il perdra courage et le Chaos en profitera pour les massacrer et les asservir... Et Katarina ? Vous n'aurez peut-être jamais d'enfant, mais vous l'avez elle, et elle vous a vous. Karl... Vous avez un rôle très important dans ce monde, mon ami. Vous être l'Empereur des fiers hommes, le rempart contre les forces du Chaos, le libérateur des peuples opprimés ! VOUS nous conduirez  à la victoire, ou s'il le faut, à la mort. Mais nous vous suivront dans toutes vos décisions, qu'elles soit bonnes ou non. Alors, je vous en prie, ne dites pas de choses comme ça. Maintenant, lâcher moi cette bouteille d'alcool et réveillez-vous ! Votre peuple a besoin de vous, maintenant ! 

Karl- Vous avez raison, quel piètre Empereur je fais, à m'apitoyer sur mon sort, alors que le destin du Vieux-Monde est entre mes mains ! VALET ! Que l'on appelle mon Valet ! 

*5 minutes plus tard*

Le Valet - Que voulez-vous mon Empereur ? 

Karl - Que le peuple d'Altdorf se rassemble devant le château, je dois lui parler. 

Le Valet - Très bien mon Empereur, je vais aller prévenir les Bourgmestres des quartiers d'Altdorf pour qu'ils préviennent leurs habitants. 

Karl - Excellent, dites-moi lorsque le peuple sera présent. 

Le Valet - Se sera fait mon Empereur. 

Thorgrim - Je dois à présent vous laissez mon ami. Je vous retrouverai à l'estrade du château. 

Karl - Entendu.

*Une demie heure plus tard*

Karl se dirige vers l'estrade du château où l'attendent ses conseillers et Thorgrim, Katarina est aussi présente. Le peuple applaudit et acclame l'Empereur lorsqu'il arrive à sur l'estrade. Celui-ci salue son peuple et prend la parole.

Karl - Mon peuple ! Je suis aujourd'hui devant vous pour vous parler de quelque chose d'important. Les forces du Chaos sont de retours, et ravagent les terres du Nord. La ville de Kislev a été rasée, et leur reine, qui est parmi nous, a réussie à s'échapper mais a été blessée. Mon peuple ! Nous ne laisserons pas ces abominations, ces hérétiques, détruire notre Empire, notre ville, nos foyers, nos familles... Nous nous battrons pour libérer le monde de ces hérétiques ! Et avec l'aide de Sigmar, nous ne faillirons pas ! Nos soldats marcheront sur les plaines, accompagnés de leurs alliés Nains et Bretonniens, et combattrons les monstres qui mettent NOTRE Vieux-Monde en péril ! Nous les emmènerons tout droit en enfer ! Et s'il le faut, je périrai pour abattre un bonne fois pour toute ce maudit Archaon ! Je pars à présent préparer notre armée, je vous laisse à présent. Au revoir mon peuple ! 

Le peuple cri de joie, inspiré par son Empereur il crie déjà victoire. Karl, lui, va à la caserne impériale, où il mobilise les troupes pour la guerre. Thorgrim et en route pour Karaz-a-Karak, afin de mobiliser son armée. Un messager à été envoyé à Couronne, pour informer la Bretonnie et son roi Louen, que l'Empire pars en guerre et qu'il requiert l'aide de ses alliés. 

Nous retrouvons à présent Markus, chez lui. Il se prépare pour la guerre. Il est dans sa chambre, où se trouve une grande armoire en bois, ornée d'or. Markus ouvre l'armoire à l'aide d'une clé noire. La porte de l'armoire s'ouvre, avec à l'intérieur de celle-ci, une armure de chevalier de la Reiksguard. C'est une grosse armure de métal brillante, avec en son centre, une lion doré. Au dessus de l'armure se trouve un casque métal, de la Reiksguard aussi. Ce casque est un casque de chevalier, avec un protège visage sur le dessus. Il est aussi doré mais avec trois longues plumes sur le dessus, dont deux d'entre elles qui sont rouges et la troisième blanche.

À droite de l'armure se trouve une longue épée, aussi ornée d'or.

Markus met son armure et son casque. Il prend son épée et la range dans son fourreau. Une fois la porte de la chambre fermée, il redescend. Il se tourne vers la droite où il voit sa jeune fille, Ethel, assise à table, en train de pleurer. Markus va la voir.

Markus - Tu es dans cet état là car je part à la guerre.

Ethel - Oui...

Markus - Il ne faut pas que tu pleures, je vais là-bas pour toi. Pour que tu puisses grandir et avoir une famille, des enfants, un avenir sans danger.

Ethel - Mais tu peux rester là ! Ce n'est pas parce-que un soldat n'est pas dans une armée que celle-ci perd une bataille !

Markus - Ethel, il faut que tu saches, qu'un seul homme peut faire la différence lors d'une bataille. Et il faut aussi que j'y aille car c'est mon devoir Ethel...

Ethel - Mais je ne veux pas te perdre, comme j'ai perdue mère...

Markus - Ne t'inquiète pas pour moi... Regarde, ce n'est pas la première fois que je pars à la guerre, et pourtant je suis encore là !

Ethel - Cette fois-ci c'est différent père...

Markus - Tu as raison. Mais ce n'est pas pour ça qu'il faut que tu perdes la foi. Ethel... Je dois partir. Pendant mon absence mon amie Lydie veillera sur toi elle ne vas d'ailleurs pas tarder à arriver. Veux-tu me faire un dernier câlin avant que je parte.

Ethel se jette dans les bras de son père en pleurant et le sert fort.

Markus - Sèches moi donc ces larmes, tu verras, je serai de retour avant que tu ne puisses dire le mot " ouf ".

Markus se leva et ouvra la porte, se tournant une dernière fois vers sa fille en lui disant.

" Je t'aime "

La porte se ferma. Ethel restait debout, en face ce celle-ci. Elle ouvra la bouche et dit.

" Ouf "

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Voilà ! Chapitre 8 terminé ! Je sais je prend beaucoup de temps à écrire un chapitre. J'avais plus trop la tête à ça en ce moment. Mais je pense que je vais m'y remettre et essayer, j'ai bien dit essayer de finir mes deux fictions ^^. J'espère que ce chapitre vous aura plus et on se retrouve pour le prochain ! À plus ! :D

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