Chapitre 5 partie 2

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- Mademoiselle ? Vous êtes là? S'il vous plait ouvrez la porte et sortez.

Ça faisais maintenant plus de une heure que je m'amusais à le faire poiroté dehors. Je ne lui répondrais pas, ça vas lui faire peur et il ne voudras plus être en ma compagnie. Je souris cruellement.

Il n'y a pas de fenêtre dans cet chambre (ce qui est normal vu qu'on est à plus de 100 mètre sous le sol) et pas d'horloge et vu que je n'ai pas de montre, je ne sais pas quel heure il est. Mais je suppose que l'autre va finir par me la dire.

- Mademoiselle ! S'il vous plait, sortais de cet chambre je vous en conjure!

Son ton est devenu plus pressant. Je finis par céder et je décidais d'aller ouvrir la porte, en ayant assez de l'entendre tambouriner à la porte.

Je met donc la tenus noir que j'avais trouvé y quand je m'étais réveillé et que le guignol était là et sors sans même accorder un regard ou une parole à l'autre.

- Oh merci mademoiselle. Venez suivez moi.

Il avait l'air vraiment paniqué et pendant un instant, un très court instant, je me sentis mal de le faire stresser ainsi mais je me repris immédiatement.

Il me fit presque courir et on finis par arriver devant une porte dans le quatrième sous-sol. Il toqua à la porte et pendant ce temps je regardais les panneaux qu'il y avait accroché sur les murs. Ils indiqué plusieurs chose, comme par exemple qui était dans quel classe. Je voulais regarder un autre tableau mais l'autre (dont je ne connaissais toujours pas le nom) me dis signe de m'approcher:

- Je viendrai te chercher à la pause donc s'il te plait attend moi, me supplia-t-il.

OK notais, partir le plus vite possible.

Il me poussa dans la salle et parti en courant. J'observai la salle de cours dans laquelle j'avais atterri.

Elle etais grande et étais séparé en deux partie: la première ou il y avait les bureau et tout;la deuxième qui était vide à par les tapis qui remplisse le sol. Les élèves me regardaient comme si il ne savent pas comment réagir.

Je remarquais immédiatement Arwan même si je m'attendais à le voir.

- Tu te présente ? Me demande le professeur, un vieil homme, même si ça ressemble plus à un ordre.

J'allais me faire un plaisir de lui obéir, mais pas comme il voudrais.

- Maëna Daces. Enfin juste Maëna maintenant vu qu'on m'a kidnappée et qu'on ne me relâchera pas et que je n'ai donc plus de famille et par conséquent plus de nom. Ensuite sachaient que je ne tient absolument pas à me faire d'amis, et que je suis bien mieux toute seul qu'accompagné de petit toutou et que j'ai assez avec l'autre guignol. Même si j'avoue qu'il est marrant à paniqué tout le temps.

Je parti dans un grand rire - légèrement fou-. Si avec ça et mon regard suffisant et hautain, ils ne me détestaient pas, je ne sais pas ce qui suffira.

- Et au faite Arwan, même si tu l'a nier quand tu t'es présenté dans ma vraie classe, je sais que c'est toi qui ma "sauvé" et je ne t'en suis absolument pas reconnaissante car c'est à cause de toi si je suis ici.

Des bourdonnements commencèrent et je souris intérieurement. J'en étais sûr, Arwan étais un gars "populaire" et donc déjà tout les personnes qui aiment les personnes populaires allait me détester.

Arwan lui n'avait pas bougé et il étais toujours entrain de lire un livre. Le professeur avais l'air d'avoir du mal à ramener la classe au silence et l'idée de m'enfuir par la porte toujours ouverte me tenta mais le professeur avait déjà reporté son attention sur moi et il n'avait pas l'air très content. Je me contentait donc d'ajouter :

Maëna [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant