Les Héritiers de Poudlard [Ancienne Version]

17/Étranges phénomènes (2)

Chapitre 17
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Hey les gens comment que ca va ? Moi en tout cas tout va bien, je poste ce chapitre a 03h00 du matin dans le plus grand des calmes mais tout va bien ! Moi ? Folle ? Absolument pas ! 😂 Du coup pour me faire pardonnée j'en écrit deux... Et de toute façon je vais probablement faire nuit blanche alors bon .... Voila voila quoi ! 😂
Bonne lecture a tous et a toutes !
Smile !
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Tant d'aventures incroyable que mes amis ont vécu. Tant de choses invraisemblable qu'ils ont vu et entendus dont je ne me doutais absolument pas. Tant d'histoires qui semblaient plus irréelle et absurde les unes que les autres. Même ce que nous vivons actuellement pourrait être traiter d'absurde et pourtant. Tout cela est bien réel.
Puis le professeur McGonagall me sortit de mes pensées et demanda a Léa de nous compter ce qui c'etait passer pour elle. Elle commença donc a nous raconter le phénomène étrange qu'elle a vécu.
"- C'etait il y a pas longtemps quand je suis arrivée au lycée. J'étais encore timide a ce moment là et deux élèves de la classe m'emmerdait avec mes cheveux. Un jour j'étais dans un couloir en train de lire tranquillement mon livre préféré puis ils sont arrivés et ont recommencer, je me suis énervée, je leur ai dit d'arrêter en faisant un simple geste de la main de bas a droite et ils se sont retrouvés projeter par une force invisible bien plus loins. J'ai pris peur et je me suis enfuie et c'est ce jour là que j'ai rencontré Julie, j'étais paniquée après ce qui s'était passé et elle m'a rassurée.
-Bien reprit le professeur McGonagall. Et bien Julie pourquoi ne pas continuer ?
-Euh bah d'accord. Bredouilla t-elle. Elle allai alors commencer a parler lorsque quelqu'un toca a la porte. Lorsque la porte fut ouverte, elle laissa apercevoir 4 jeunes hommes, je ne voyait pas leur visages mais je reconnu leur sweat et leur façon de cacher leur visages derrière leur capuches, comme si c'etait a la mode. L'un d'eux vint se placer a coté de moi, donc je pus voir son visage et reconnaître Calum et son visage trop craquant... Hum hum, bref, je vis un autre se plaça a côté de Julie, je devina alors que derrière ce sweat rouge se trouvait Luke qui semblait clairement avoir un faible pour elle, celui que je reconnu comme Michael se mit juste derrière Léa et donc le dernier, Ashton vint a coté de son acolyte, Luke.
-Bien allez-y mademoiselle. Ordonna le professeur McGonagall.
-Euh ok. C'etait il y a 3 ou 4 ans, je me souviens plus vraiment, j'ai fait parti d'un club de chant, tout se passait bien, je me faisais des amis puis au bout d'un moment on a commencer a faire des représentations et tout, quand on était a l'intérieur ca pouvait aller mais dès que je me trouvais a l'extérieur... Bon Luke t'as fini de jouer avec mes cheveux ?! Râla t-elle. Luke qui détenait désormais l'attention de tous bafouilla un petit désolé qui eu l'air de faire fondre Julie ce qui me fit légèrement rire intérieurement. Puis elle reprit sa phrase là où elle l'avait laissée avant de râler après Luke.
Mais une fois que je me trouvais a l'extérieur et que je chantais, on pouvais être sûr qu'a la fin de la chanson, on me mettait une robe de princesse et m'envoyait dans la foret et je devenais une princesse Disney avec pleins d'animaux autour de moi qui me suivaient où que j'allais.
-Tu veux dire que tu attire les animaux quand tu chantes ? Interroga Luke, qui avait par la même occasion, vivement retirer sa capuche.
-En gros c'est ça.
Il sembla réfléchir quelques minutes puis s'exclama au grand étonnement de tout le monde sauf de ces 3 autres amis qui devaient, surement, avoir l'habitude :
-Alors chante pour qu'on voit !!
Julie, gênée qu'on lui demande de chanter, se mit instantanément a rougir. Pourtant elle chante si bien mais elle est tellement gênée quand elle chante que dès qu'elle est en face de quelqu'un qu'elle ne connait pas nécessairement elle perd tout ses moyens.
-Oh oui chantes Julie ! S'il te plait ?!?! Supplia Marion.
-Euh je... Je ne sais pas. Hésita t-elle
-Allez s'il te plait tu chantes super bien !!! Ajoutai-je.
Pendant plusieurs minutes nous avons tenter de la convaincre mais rien n'y fit. Elle ne voulait pas que l'on entende sa voix. Au bout d'une dizaine de minutes, nous déclarions donc forfait. Mais moi je n'abandonnait pas, je faisait un simple replis stratégique !
-A qui le tour maintenant ? Demanda le professeur McGonagall qui ne semblait pas le moins du monde déconcertée par toutes ces histoires. Comme si tout cela ressemblait, de près ou de loin, a son propre quotidien. Ou comme si tout ses événement, elle les savaient déjà depuis bien longtemps.
-Madame, pourquoi nous demander de raconter ces événements ? Demanda soudain Fiona.
-Oh vous vous proposez pour la suite, comme c'est charmant allez-y donc mademoiselle Fiona.
-Mais non madame je.. Enfin ce n'etait pas...
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que la professeur lui lançai déjà un regard plutôt insistant qui l'obligea a accepter.
-Très bien. Pour tout vous dire dans mon cas cela se produit très fréquemment. Dès que je révise une leçon je vois des symboles assez étranges a la places des chiffres et des lettres alors je ne comprend rien a ce que j'écris pourtant lorsque je me retrouve en face d'une interrogation, que ce soit a l'orale ou a l'écrit, ces symboles me reviennent parfaitement en tête et se modifient, se métamorphoses et se transforment en lettres qui forment des mots qui forment eux-même des phrases que je n'ai qu'a dire ou écrire pour avoir les réponses.
-Mais tu veux dire que du coup t'a juste a lire tes cours et ensuite tu les connais par coeur ? Demanda Agathe bouche-bée.
-C'est a peu près ça.
-A peu près ? Répéta Agathe qui semblait vouloir plus de détails.
-En fait il y a des moments où si je ne lis qu'une seule et unique fois une leçon bien trop longue alors j'ai besoin de la lire plusieurs fois sinon je ne la retient pas. J'ai déjà fais le test."
Soudain nous entendimes un bruit sourd venant du couloir. Julie fut la première a réagir et a ouvrir la porte. Elle nous fixa quelques secondes, le regard plein d'incompréhension, de questions d'étonnements et d'appréhension. Puis elle fit volet-face vers la porte et l'ouvrit avec un courage que moi-même je n'aurais jamais eu.