22 - joella

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10 mois.. Toujours 22 ans, diplomé, actuellement secrétaire pour une maison d édition, les cheveux couper au carré mi long, devenu rousse, des lunettes de lecture pour me donner un genre, et toujours cette horrible envie d'en vouloir à la terre entière.

10 long mois ou Jai passer mon temps à essayer d oublier Mark , mais Cest dur, beaucoup plus que je l'imaginais, j'avais fini par me faire une raison mais au fond qu'est ce que j'avais mal..
Il avais bousillé mon cœur en plusieurs morceaux impossible à recoller.
Et maintenant j'étais sûrement la fille la plus impassible.
C'est vrai que depuis quelques mois le besoin de changement étais très présent dans ma tête , et j'avais tout changer , de look, de coiffures, d'appartement, de personnalité sûrement.

Je crois que ce faire menez en bateaux pendant 3 mois ça change une personne.

J'étais devenu une femme, j'étais plus cette gamine qui croyait au grand amour et qui cachais sa timidité le nez dans ses bouquins.
Je travaillais pour une maison d edition , j'avais un poste plus ou moins important , en attendant de finir d'autre livres que j'étais en train d'écrire pour pouvoir les présenté à mon patron.

Ah et mon roman que j'avais jeter par la fenêtre sous la pluie ?
Eh bien je ne les jamais présenté au jury pour mon examen final de faç.
J'avais supprimer la copie sur mon ordinateur quand j'avais imprimé mon livre.
Sûrement un erreur, mais pas tant.
Il me restait 5 jours pour pouvoir présenté quelque choses au jury , alors autant dire que je n'ai jamais aussi peu dormi que ces 5 jours,
Je regrettais pas d'avoir jeter mon livre par la fenêtre, de toute façon il étais nul, mais si je présentais pas quelque chose au jury je pouvais dire adieu a mon diplôme.
Alors ce soir la.. Après avoir pleurer jusqu'à 3h00 du matin , je me leva enfin du sol sur lequel je m'étais effondres quelque heures auparavant , et me metta a écrire ; haine, rage, colère, j écrivais tout ce qui me passait par la tête à cet instant précis,
Quel histoire j'écrivais ? La mienne.

J'avais exactement écrit mon histoire comme je l'avais vécu en prenant soin de ne pas établir de ressemblance avec ma vie actuelle pour que cette histoire reste une fiction , j'avais du évidement trouver un fin, j'avais tout inventé car évidement je ne connaissait pas la fin de l histoire.

J'avais opté pour un fin assez dramatique ou la femme tellement désamparé par dette situation devient folle à tel point quel retourne au près de son amant qui lui a menti pour établir un meurtre passionnel.

Moi personnellement j'en étais pas la. La fiction cetait plus mon truc , j'allais pas payer un billet d'avion pour le tuer d'une balle dans la tête , mais plutôt je l'avais évité depuis ce soir la,
Plus de réponses , rien , aucun messages, le silence est la meilleures des armes, eh ouais.

J'avais du recevoir des centaines de messages , d appelles , sur toute les plateformes possible, sms, kakaotalk, WhatsApp , snapchat, Skype et j'en passe..
Mais non, je n'avais jamais répondu...
de peur d'aprendre la vérité de sa propre bouche, je savais pas pourquoi il m'avait menti et je crois que je ne voulait pas le savoir,
Cetais fini, j'avais passez 3 mois super avec lui , maintenant j'ai retrouver les pieds sur terre et c'est fini, je devais oublier tout cas pour le bien de mon cœur qu'il allait mettre un temps fou à se recomposer.

Ouais j'avais plus trop de cœur en fait, mon nouveaux changement capillaire et vestimentaires plaisait à pas mal de garçons , que ce soit dans mon travail ou dans des sortie avec des amis ou même dans la rue, sauf que j'étais devenu assez froide ,les garçons essayait de me plaire mais désolé cetais peine perdu, aucun ne m'intéressaient, cetais pas le moment de s'intéresser à moi, j'avais plus envie de leur faire du mal qu'autre chose,
Je voulait que le hommes ressentent une peine comme j'avais pu en ressentir.

j'avais mis des mois à me sortir de cette spirale de dépression,
Cetais pas réellement une dépressions j'avais des gens sur qui compter comme ma famille qui m'aidais beaucoup à me sentir mieux , mais qu'est ce que j'avais eu du mal à revivre après ca. L'amour ça vous fait chuté, ça vous tue petit à petit, et je voulais pas revivre ca, alors je me faisait un malin plaisir de leur faire ressentir ca , aux hommes.

Le principal concerné ne devais pas souffrir non ? Il Cetait jouer de moi il avais sûrement trouver quelqu'un d'autre pour s'amuser encore ?
alors je faisait vire un cauchemar aux hommes en général.
Cetait ma façon de réparer ma blessure.

Oui je jouait de ma nouvelle apparence, je m'amusait avec eux, je jouait avec eux comme il avais jouer avec moi.
Je le faisait craquer, je les agrippait dans mon filet, je les faisait tomber amoureux de moi, et au moment fatidique je les plantait comme des vulgaires jouets. Il me courait après pendant des jours en pleurant comme quoi j'étais la femme de leur vie et que je pouvais pas les quitter comme ca.... mais si.
Je me jouait deux , je me faisait un malin plaisir de les ignorer et de les laisser seul dans leur peine.

Je me donnait a ce jeux surtout les soir de déprime ou Mark revenait hanté mon esprit.
Je sortait donc seule dans des bars assez chic, vêtu de ma magnifique robe rouge.
Pour les coup d'un soir je jouais souvent le même scénarios.

J'étais souvent seule au bar devant mon verre et une bague à la main, les garçons intrigué venait me voir se demandant pourquoi j'avais l'air si triste ,

Je me retournais vers eux de facon théâtrale, leur expliquant que mon fiancé venait de me quitter ect ect, évidement ça marchais a chaque fois je passais la soirée avec eux, il me payais des verres , il me faisait monter dans leur chambre d hôtel, je leurs faisait croire jusqu'au bout que j'étais prête à me donner à eux , sauf qu évidement je jouait le cliché jusqu'à au bout , en leur faisant perdre leur temps pendant deS jours et deS jours pendant quil croyais que j'étais La pour eu , puis je les quittais de manière Si horrible , et Ca me soulageais.

Je voulait même pas de leur argents, je voulait pas de problèmes, je m'amusait juste à regarder leur petits visages , leur visages qui cherche mon regard ne comprenant pas mon acte. Exactement la même expression que j'ai eu quand j'ai découvert la vérité....
Sauf que moi ca ma fais mal, beaucoup plus mal..

Cetais mon quotidien depuis quelques mois... Et mon cœur étais encore en miettes.

Book Édition ~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant