le grand départ

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Lorsque j'ouvre les yeux, Clarke est déjà réveillée. Elle me regarde appuyée sur son coude un petit sourire se dessine sur ses lèvres.

-"Bonjour mademoiselle Woods, bien dormis?"

Sa voix me fais craquer, elle m'avait tellement manqué ... Je fixe ses lèvres entrouverte, elles sont si proche de moi, j'aimerais les sentir contre moi comme avant ... Au combien j'aimerais mordre cette lèvre ! Je ne peut penser à autre choses qu'à son corps contre le mien. Elle est si belle, même le matin. Les pleurs de la veille sont ce matin bien loin de nous. Toute cette bonne humeur, toute cette chaleur humaine ... Je ne peux résister... En un instant je suis sur la jolie blonde ses lèvres contre les mienne, nos langues s'entremêlent, je tient fermement ses mains au dessus de sa tête et l'embrasse plus passionnément que jamais. Je sent que sa respiration s'accélère, je sépare nos visage pour enfouir le mien dans le creux de son cou. Ses mains enfin libérées de mon étreinte passent dans mon dos m'empêchant de quitter ma position.

-"Tu m'as tellement manqué..." Dis je dans un soupir à peine audible.

-"Je te rappelle que c'est toi qui est partie Lexa ..."

La douce odeur de sa chevelure de feu me rempli de bonheur, j'oublie le reste du monde et m'abandonne à cette femme envoutante que j'ai trop longtemps délaissée.
Nous nous embrassons à nouveau et Clarke reprend le dessus sur moi, elle est assise à califourchon sur moi, au niveau de mon bassin, ses lèvres appuyées dans mon cou aspirent ma peau dans une délicieuse douleur qui m'emporte instantanément dans une bulle de bonheur dont seule Clarke à le secret. Doucement, elle relâche la pression sur mon cou et dépose un tendre baiser sur la trace violacée qu'elle a laissée puis forme un collier de baisés jusqu'à mes clavicules qu'elle caresse de ses longs doigts fins. Petit à petit, ses caresses s'étendent de mes clavicules à ma poitrine. Je frissonne lorsque ses mains déboutonnent ma chemise et la font glisser sur mes épaules. J'attrape son tee-shirt et le fait passer par dessus sa tête bien moins précautionneusement qu'elle puis le jette sur le sol. Je me redresse et passe mes bras autour d'elle afin de l'embrasser profondément. Lorsque je mord sa lèvre inférieure, ses ongles s'enfoncent dans la peau de mon dos, heureusement ma chemise rester sur mes épaules me protège (pour le moment). Elle me repousse délicatement sur le lit puis se penche vers moi et me susurre à l'oreille.

-"Tu vas payer pour m'avoir laissé si longtemps..."

À c'est mots, mon corps réagit et je tente tant bien que mal de me retenir de lui sauter dessus. Elle prend tout son temps et c'est une torture pour moi. Je n'ai pas l'habitude d'attendre, lorsque je veux quelque chose je le prend. Sa bouche trouve mon sein gauche et de sa langue elle forme de petits cercles autour de mon téton. Une fois qu'elle l'a atteint, elle change de sein et recommence sa douce torture. Dans une ribambelle de baisés, elle descend et lorsqu'elle arrive à mon nombril, ses mains viennent masser mes seins. Plus elle descend plus l'attente me semble insupportable. Elle arrive enfin à mon boxer et pose ses mains sur l'élastique de celui-ci mais ne le retire pas à mon grand désespoir. Elle continue ses baisés le long de mes cuisses passant de l'une à l'autre en me regardant succomber à son emprise. Soudain elle embrasse mon entrejambe ce qui m'arrache un léger soupir à la fois de plaisir, de surprise et de soulagement. Elle remonte et prend l'élastique de mon boxer entre ses dents. Lentement, elle tire dessus tandis que je soulève le bassin afin de faciliter sa manoeuvre. Je l'aide en baissant d'une main mon boxer jusqu'à mes genoux. Elle me le retire ensuite seule puis le jette par terre près de son tee-shirt. Elle revient ensuite m'embrasser sur la joue et passe une main entre mes jambes. Je décide d'en faire autant et nous nous carressons a l'unisson, bercées par les soupir de l'autre. Lorsque j'entre un doigt en elle, elle perd tout contrôle et me supplie de la laisser terminé avant de poursuivre, je retire donc mon doigt tandis qu'elle en insert deux en moi. Elle l'embrasse tout en continuant ses vas et viens au creux de mes reins puis descend et de sa langue forme des cercles autour de mon clitoris sans arrêter le mouvement fou de ses doigts en moi. Je m'agrippe aux draps blancs et laisse le plaisir m'envahir, je viens entre ses doigts et sa langue, je jouis son nom encore et encore jusqu'à n'en plus pouvoir. Lorsqu'elle s'arrête, je suis épuisée par tant de plaisir. Je n'avais encore jamais autant pris mon pied avec qui que se soit. Elle s'allonge près de moi et ses lèvres brillent à la lumière du soleil levant filtrant à travers les rideaux. Je l'embrasse et me goute sur ses lèvres. Je finis ensuite ce que j'avais commencé avant qu'elle ne descende entre mes cuisses. Une fois que j'en ai terminé avec Clarke, nous nous rendormons dans les bras l'une de l'autre.

Accordes moi une danse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant