" Les conséquences sont ce qui m'aconduit à te dire
ce que tu n'osait pas toi même
réalisée.Un enchainement
désordonné de pensées instables,
indomptable,
invraisemblable,
mais toujours mesurable.Comme quoi tu n'es pas la mieux placé
pour me réprimander."
Point de vue Tanya
Le soleil commence à prendre refuge dans son noyau invisible, il s'évapore petit à petit devant mes yeux claire comme s'il était pourchassé.
Deux garçons sont assis sur le banc situé tout près du café, l'un d'eux est tout joufflus un bonnet noir sur la tête et une veste assez épaisse, le protégeant contre ce froid nocturne de décembre. L'autre quant à lui est occupé, on a l'impression que sa main cache quelque chose, avec des habits similaire à l'autre. Il décide de taquiner celui au bonnet noir en lui mettant sa main sous son nez.
Le pauvre enfant se met à pleurer tout d'un coup.
Qu'est ce qu'il lui a fait ?
Je ne veux pas me mêler de ce qui me regarde pas, c'est des enfants et en tant que tel je crois que en même pas deux minutes il aura fini de pleurer. Il lui offrira ce qu'il cache sournoisement dans la main.
Je me délecte de ce paysage et prends mon téléphone. Il est 18 h 45, et aucune d'elles n'est là.
Je réfléchi un instant à joindre une d'entre elles, savoir si elles comptent venir ou pas. Vu que la principale concerné n'est pas encore arrivé, à croire que c'est fait exprès.
Je ne pense pas qu'elle ai pu faire une chose pareil, tout de même...
Point de vue May
Comment ose-t-il me parler de ce qui le regarde pas ? C'est pas ses affaires ? Comment est il au courant pour sam? Je ne lui ai jamais parlé de lui?
Je suis si en colère, je marche rapidement, vers un endroit plus tranquille où je n'aurai pas à croisé sa tête. Fatiguée, de ce foutoir sans issu, à chaque fois que je crois rétablir l'ordre, faire le pas. Vivre l'instant. Si dur à franchir à l'évidence. À briser ce lien qui me lit au passé, je me retrouve à mon grand désespoir avec cette médisance, ce couteau sous la gorge.
C'est pas du tout ce que j'avais prévu.
La nuit commence à tomber, et ce que j'arrive à distinguées pour le moment n'est autre que ces arbres, et des bruits bizarre prévenant certainement d'animaux dangereux.
Mon dieu qu'est ce qui m'a pris de venir ici, rectification, de nous emmener ici, vu que c'est ce cher Kilyan qui a pris les commandes.
Mon téléphone ne capte aucun réseau, j'ai essayé des millier de fois d'appeler mais rien' y fais. Réseau en dérangement ou quelque chose comme ça.
Bon travail May, franchement tu pouvais pas faire mieux. D'abord tu décide de partir avec un gars que tu connais à peine je ne sais où, la meilleure c'est que tu le laisse conduire, prendre lui même l'initiative de votre destination. Et pour finir, tu te disputes avec lui, et tu le fuis à perdre le chemin. Là, super. J'ai vraiment rien à dire. Je ne peux que t'applaudir.
Je cherche à trouver un point de reperd pour me sortir de cette mauvaise impasse dans laquelle je me suis fourée. Une belle en merde pour finir cette soirée qui n'a jamais commencé.
Point de vue Kilyan
Comment elle a pu s'en fuir comme ça? Sans réfléchir. En plus elle connais pas l'endroit, elle va se perdre et à cette heure ci elle doit mourir de froid et de faim.
Bien fait pour elle, même si je sais que tout ce qui s'est passé est de ma faute.Je n'ai pas pensé à la manière dont elle reagirai, alors qu'au fond, j'ai cru bien faire, je voulais qu'elle me parle, qu'elle me fasse confiance. Vu, que c'est ce qu'elle désirait. Enfin, c'est ce que j'ai cru comprendre.
Je la cherche partout, depuis une heure, mais aucun signe d'elle. À croire que la terre l'a engloutit. Elle ne peut pas aller loin, la route est de l'autre côté.
Des cris se font entendre au loin. Un cri strident et hystérique . Je ne me laisse pas le temps de méditer et m'engage en courant vers ce sentier où les cris semble s'estomper.
Je cris son prénom, espérant profondément que ce soit elle. Je jonche de tout les côtés, cherchant après cette personne qui ne peut être qu'elle. Et quand j'arrive enfin à destination je tombe sur une May affolé. Et également très effrayé.
Recroquevillée sur elle même. Je m'avance timidement, notamment pour ne pas qu'elle rende l'âme, après cette aventure des plus incongru.
Je m' agenouille à ses côtés. Sentant irrémédiablement son corp tremblé sous ce froid menaçant. Je ne lui demande pas son avis ni son consentement, et dans un élan vif je l'a soulève.
Son front se colle abruptement au miens. Fébrile et vacillante, elle met une de ses mais autour se mon cou, et à mon grand étonnement, elle me caresse la joux. Frêle et douce je ne peux que soutenir son regard. Ses yeux sombres semblent fatiguées, cependant une lueur mystérieuse émet de ses iris, latente.
Ses lèvres taries, fébriles, mais définitivement délicieuses. Viennent précipitamment capteur les miennes.
À cet instant je ne peux que répondre. La douceur et l'intensité de ce baiser si inattendu mais que j'ai tant désirer, tant convoiter. Une surprise, seller l'évidence même, simplement et naïvement.
Je décide désespérément de mètre fin à cet échange funambulesques, essayant, ce qui ne pourrai se faire résister à la tentation. Elle s'appuie fortement à mon oreille, tout en soufflant, à voix basse.
-Je suis désolée.
Point de vue May
De la lumière vient se loger sur mes paupières alourdis, je n'arrive pas à les ouvrir, j'ai l'impression qu'elles sont cousus, le fil rigide qui les a contourné a bien fait son travail. Un bruit sourd et dérangent me remet sur les rails en me levant précipitemment du lit.
Mes yeux s'ouvrent intelligibles, mon mécanisme cérébral ordonne a mon bras de sillonner la table de chevet pour récupérer mon appareil téléphonique. Jonchant depuis hier soir, si je ne me trompe pas.
Seulement, en me retournant aveuglement' à ma droite, rien n' y est positionné. Aucun téléphone, aucune table de chevet. Brusqué par ce que je viens d'assimiler, je bandits de mon lit comme une écervelée, les yeux bien ouverts cette fois ci.
À ma grande surprise, je ne suis pas dans ma chambre, les murs sont en boit, une fenêtres assez large ressemblent carrément à une bai vitré, se dresse devant mes yeux, les volés également en bois, fermés, laissant la glace entrer la lumière, éclatante et réchauffantes du matin, bercés cette pièce diluente.
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L'inattendu Fait Bien Les Choses ( Terminée)
Romance"Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu" Victor Hugo May a toujours eu cette fâcheuse habitude à s'attacher sans restriction aux gens et cela depuis sa plus tendre enfance. Aujourd'hui, étudiante ce n'est plus le cas, au contraire....Un horribl...