My Greatest Enemy [Namgi]

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Le jeudi soir, après mon vol en balais, j'avais immédiatement prévenu la directrice. Son regard était immédiatement devenu noir et le soir au repas elle avait convoqué tous les professeurs, dont un indécent Potter aux joues rougies et un Malfoy aux cheveux en bataille et débraillé. Elle leur avant parlé de ma découverte et tous ensemble ils en étaient venu à la conclusion que nous ne pouvions plus aller dans la forêt de jour comme de nuit. La directrice avait fait un discours interminable au diner ce soir-ci et j'avais eu beaucoup de mal à enregistrer toutes les informations et toutes les nouvelles règles que nous devions respecter. Nous ne devions plus survoler la forêt en balais, les cours de vol et les entraînements de Quidditch ne devront pas se passer ailleurs que sur le terrain de l'école, nous devions tous prendre l'option défense contre les forces du Mal, nous avions des études forcées sur les nouveaux sorts et les nouveaux types de boucliers, une nouvelle option avait été mise en place et elle se passerait avec Malfoy et Snape pour qu'ils puissent nous enseigner comment se débrouillaient les mangemorts pour nous attaquer, et nous devions, pour finir, éviter toute sortie du château lorsque ce n'était pas nécessaire. Ainsi mon compagnon ne pouvait plus rendre visite à Minerva ce qui était une bonne chose à mes yeux ; chaque fois qu'il lui rendait visite il revenait avec une odeur de chien mouillé et de vieux gâteaux collée à sa peau.

Le vendredi matin était le premier jour d'action pour ma part, je devais faire craquer Namjoon pour le lendemain soir, dimanche au plus tard. J'avais donc mis en place un plan infaillible, ou presque. Je m'étais donc levé tôt ce qui provoqua le réveil de mon professeur de potions. Il était resté sous ses draps son torse nu se découvrant toujours plus car il ne cessait de se tourner dans ses draps pour me regarder dans chacun de mes mouvements. Il m'avait regardé alors que je me réfugiais dans la salle de bain, il m'avait regardé choisir mes vêtements, enfiler ma cravate et même lorsque j'enfilais mes souliers. J'avais donc froncé les sourcils en tentant d'ignorer sa peau pâle qui m'étais en vue.

« Vous avez des cours de soutient aujourd'hui Monsieur Malfoy, vous devriez vous lever et assurer vos cours. Vos élèves doivent déjà vous attendre. »
« J'ai annulé mes cours Yoongi, pour passer la journée avec toi. »
« Je suis désolé de compromettre vos plans mais j'ai prévu quelques petites choses aujourd'hui. Je dois aller me faire désirer. »

Je m'étais relevé tandis que j'étais assit pour lasser mes chaussures et dans un bond il avait quitté son lit pour me montrer son mécontentement. Il avait posé ses poings sur ses hanches à peines couvertes d'un sous-vêtement gris alors que de nombreux suçons affreux se dispersaient sur ses cuisses et son bas ventre, sans oublier son cou, bien sûr. Ses yeux me lançaient des éclairs et je savais qu'une leçon allait bientôt suivre cette scène. Je l'avais donc ignoré tournant sur mes talons et me dirigeant vers la porte de notre chambre. Je ne devais pas plus regarder sa peau griffée et rougie. C'était bien trop explicite pour moi et cela avait le don de me dégouter avec force. J'avais fait une grimace et lorsque j'avais tenté d'ouvrir la porte celle-ci ne se déverrouilla pas, j'avais donc appuyé plus fort sur la poignée forçant sur cette clenche dans le but de me libérer. Rien à faire, il avait dû jeter un sort sur cette porte et le seul moyen restait un Alohomora. J'avais donc attrapé ma baguette qui comme toujours était sur ma cuisse et avait posé le bout contre la serrure, c'est alors que des doigts blancs désespéré se posèrent contre ma baguette. Ils me l'avaient arrachée des doigts et dans un cri de protestation je me tournais vers mon professeur.

« Rendez-moi ma baguette dans l'instant. »
« Non, il m'est autorisé de confisquer les baguettes quand elles sont utilisées de manière abusive. »
« Je cherche simplement à quitter ces lieux pour prendre mon petit déjeuner. Laissez. Moi. Partir. »

Ledit Malfoy soupira et posa ma baguette sur son bureau avant de se remettre sous ses couvertures. D'un tapotement contre le matelas il me fit comprendre qu'il voulait ma présence à ses côtés mais d'un vif hochement de tête il comprit que je ne désirais pas m'allonger à ses côtés. Il se mit donc sur le dos en soupirant comme un enfant en plein caprice tandis que je tentais tant bien que mal un Accio Baguette pour qu'elle me revienne. Mais j'avais toujours fait mes Accio à l'aide de ma baguette, pas par la simple force de mon esprit et de ma magie. Le morceau de bois magique tremblait alors contre le bureau sans me revenir.