I'm a ghoul but I'm not monster

Chapitre 11: De lourds souvenirs

Vers l'heure du souper, Francis ne se présenta pas à table. Je mangea au près de Lydia et la réconforta de l'absence de Francis. Je ne pouvais pas lui en vouloir de s'inquiéter pour lui. Il avait été là lorsque moi je ne l'étais pas ou plutôt que je ne pouvais pas... Après le repas je téléphona à Rubis pour lui demander si elle l'avait vu.

-Non, pourquoi? Il c'est passé quelque chose?

-Ouais c'est un peu compliqué... Tu m'appelle si tu le vois?

-Oui promit, tu me promets de tout m'expliquer?

-Promit dès que je l'aurais retrouvé.

-Tu ne peux pas le localiser en tant que jumeau?

-Non il c'est bloquer...

-Tu es son point faible autant que lui est le tien. Fait lui voir ta mort.

-T'es malade j'aimerais encore exister demain, sans que le monde fut détruit par une ghoule qui a détruit notre monde.

-Ouais j'avoue ce n'est pas la meilleure des idées.

-Ouais bon... je dois y aller... On se parle tantôt...

Je raccrocha et prit ma voiture pour faire le tour de la Miverne. Entre temps j'appella Mathieu pour lui demander si quelqu'un l'avait vu. Jordan était rentré au bar et il ne l'avait vu nulle part. Mais où pouvais-tu bien être Francis? Tout d'un coup, un mal de crâne me prit la tête. Je m'arrêta sur le bord de la route et m'enfila deux advils. Cela faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Des visions commencèrent, une belle grande maison blanche sur le bord de la mer avec un grand champ derrière. Ensuite tout se détruit et devint noir, le champ brûler et la plage emporte. Francis était assis dans un arbre ses tentacules sorti qui tenait au bout des pauvres SDF. Je savais où il était maintenant, dans une ville voisine. Je me rendis à St-Jovith à la vieille maison. En arrivant sur les lieux, rien n'avait changé à la fin de la vision appart que les otages étaient mort.

-Salut Jared...

-Francis revient Lydia est morte d'inquiétude pour toi!

-Pourquoi? Pourtant elle t'aimait bien lorsque tu l'embrassais à pleine bouche.

-Pardon...

-Tu m'avais promit Jared...

-Je sais, mais...

Je ne pouvais rien dire de plus.

-Maintenant qu'est-ce qu'on fait?

-On attend...

Je me monta avec mes tentacules sur la branche à côté de lui.

-On attend quoi?

-Que le temps passe comme le disais Dérek...

(Avoir lu you are the toy of the time and the time play with you)

-Oui, mais Dérek est mort...

-Ouais...

On regarda les vagues venirent mourir sur les roches. Soudain je vis une larme couler sur la joue de Francis.

-Tu sais Lydia ne t'as pas tout dit sur notre passé. Toi tu avais toujours tout et moi je subissais. Tout le monde t'aimait et moi je trimais. C'était toujours toi juste toi! Vu que toi tu ne te souvenais pas, j'essayais d'oublier ce que j'étais senser ne pas savoir. Je croyais que vu que tu ne savais plus je pouvais prendre ta place et te rendre deuxième sans que cela te dérange. Car oui tu ne le faisais pas volontairement, tu ne te rendais compte de rien.

-Pardon, je ne savais pas, mais tu as tort... Moi aussi j'ai trimé fort pour me rendre où ce que je suis aujourd'hui... On ne peut pas comparé nos problèmes aux autres, car autant qu'ils se ressemble, ils sont tous différent autant les uns que les autres...

On continua de regarder le paysage défait par nul autre que l'homme.

-Et maintenant...

-Maintenant on devra faire des choix...

-Lesquels?

-Qui restera...

Je continuais de regarder au loin pendant que je savais qu'il m'observait. Je n'arrivais pas à me résigner à la lui laissé. Je l'aimais...

-Je le fais par respect...

-Merci mon frère... me dit-il.

Lydia arriva entre nous deux.

-C'est vraiment si dûr de se ressembler autant.

-Oui, répondis-je en sautant en-bas.

-Tu vas où comme ça?

-Je pars...

-Et où compte tu aller maintenant?

Je ne répondis pas et continua à avancer.

-Tu compte abandonner contre ton frère! Pourtant ce n'est pas ton genre Jared.

Je souris, elle me rattrapa avec Francis.

-Si tu réussis à me séduire, je vais sortir avec toi. Si tu décide de partir je te laisse libre, mais ne compte pas revenir.

-Je ne te séduirais pas si tu sors avec Francis.

-Ça tombe bien, je suis célibataire.

Francis resta sans mot et moi aussi d'ailleurs. Je crois que ça allait devenir intéressant.