Nouveau départ

Chapitre 38

Je repris lentement mes esprits sauf qu'une affreuse douleur me traversa le bras. Je mis automatiquement ma main dessus et y sentis un liquide chaud.

Oh non...

Je m'écroula part terre. Elle a récupéré l'armée pendant que j'étais tellement préoccupé par mon acte précédent... Je n'arrive plus a supporter ça!

Je la vis, celle qui est censé être ma mère, s'avancer afin de me regarder de haut.

Je cris de douleur je n'en peut plus. Charogne leva son pied au dessus de mon corps, puis m'enfonça son talon aiguille dans ma plaie.

Puis, plus rien, trou noir.

Je me réveilla dans une chambre blanche... C'est le paradis? Non... Non, c'est pas possible il y a trop d'agitation autour de moi.

Ma vision se dé-flouta peut à peut. Des médecins, mais qu'est ce que je fou là??

Moi: (en français) (affolé) Qu'est ce qu'il se passe??

Médecin: (en français) Restez calme mademoiselle.

Moi: (en français) (en me redressant brusquement) Comment voulez vous que je reste calme alors qu'il y a une dizaine de médecins autour de moi?!

Le médecin m'obligea à me recoucher. Je ressentis soudainement une douleurs apparaître, ou plutôt réapparaître dans mon bras. Je me rappela de tout.

Moi: (en français) (affolé) Ou est Marie??!

Médecin: (en français) Elle est en sécurité, calmer vous.

Moi: (en français)(en me débattant pour sortir de ce maudit lit) Non, non!! Elle n'est pas en sécurité!!!

Médecin: (en français) Mettez la sous sédatifs!!

Moi: (en français) Vous n'avez pas le droit!!!

Médecin: (en français) Ouh, sur ce point la ma petite, tu as tors, tant que tu es entre mes mains, j'ai tout les droit sur toi. (en s'adressant de nouveaux à ses coéquipier) On va lui faire direct une anesthésie finalement.

Je sentis une aiguille me piquer le bras puis, je m'endormis.

Je me réveilla de nouveau dans une salle, moins agité. Je regarda instinctivement mon bras, il y a un pansement, et, je porte une sorte "d'atèle"... On ouvrit la porte. Oh mon dieu! C'est Dylan!! Qu'est ce qu'il fait là??! Il me jeta un regard noir en s'asseyant sur une chaise.

Moi: (en espagnol) (dans un soupir) Salut.

Dylan: (en espagnol) Est ce que tu est en train de te foutre de ma gueule Emma??

Moi: (en espagnol) Mais de quoi est ce que tu parles?

Dylan: (en espagnol) Tu disparais, comme ça, et tu me dis "salut"??! Mais c'est du foutage de gueule??!!

Moi: (en espagnol) (les larmes aux yeux) Tu... Tu veux que je te dise quoi d'autre?

Dylan: (en espagnol) Tu... Pars, comme ça, et... Tu dis rien?!!

Moi: (en espagnol) Mais tu veux que je dise quoi à pars que j'ai surement sauvé la vie à ma sœur??!

Dylan: (en espagnol) Tu aurais pu être morte à l'heure qu'il est Emma. Tu ne m'as rien dis, j'avais confiance en toi comme je pensais que tu avais confiance en moi!

Moi: (en espagnol) Je ne pouvais rien dire Dylan!! Tu comprends ça!!

Il eut un blanc.

Moi: (en espagnol) Franchement, si c'est pour me faire la morale et m'engueuler, tu peux sortir tout de suite...

Dylan se leva, puis sortit.