Nouveau départ

Chapitre 40

On arriva à Madrid à 20h30, je descendis de l'avion suivis de Cris, puis on prit un taxi.

Moi: (en espagnol) J'ai besoin de voir Dylan s'il te plait.

Cris annonça le nom de la rue au chauffeur.

Une trentaine de minutes après je descendis et me retrouva face à sa maison, Dylan. Le taxi, pendant ce temps, repartit.

Je m'avança pendant que le soleil se couche au loin, puis je finis par arriver devant sa porte. Je toqua. Rien. Je sonna. Toujours rien. Soudain, c'est comme si mon destin m'appelait et me disait d'aller voir derrière sa maison, là où il m'a embrassé pour la première fois, là où j'avais enfin découvert la seconde facette de Dylan.

Je marche lentement pour finir par m'arrêter. Il est là. Il est assit par terre, et moi, je suis debout.

Dylan: (en espagnol) Qu'est ce que tu veux?

Sa voix l'a trahit, il pleure.

Moi: (en espagnol) Je... Je suis désoler.

Dylan: (en espagnol) C'est tellement facile de dire ça.

Moi: Je ne voulais pas te blesser.

Dylan: (en espagnol) (en se levant, puis se tournant en ma direction) J'avais confiance en toi!

Moi: (en espagnol) J'étais obliger de le faire Dylan, sinon Marie aller mourir, tu l'entends ça?

Dylan: (en espagnol) Non! Non tu n'étais pas obligé! tu aurais pu tout me dire et on aurait appeler les flics! me lança-t-il.

Moi: (en espagnol) Ose me dire que tu n'aurais pas fais pareil toi! Ose me dire que tu aurais appelé les flics alors que quelque heures auparavant tu as reçu une lettre t'obligeant à ne rien rien! Ose dire que tu serrais gentiment rester assis, là, sans rien faire! comment peux-tu Dylan Ramos, me dire de telle chose?!!!

Dylan: (en espagnol) Tu peux partir maintenant. Me dit-il d'un ton froid.

Je lui jeta un regard noir.

Moi: (en espagnol) Alors c'est finis? C'est ça?

Dylan: (en espagnol) Dégage Emma.

Moi: (en espagnol) Répond. A moins que tu ne préfère me frappé?

Dylan: (en espagnol) Dégage je veux plus te voir.

Moi: (en espagnol) (les larmes aux yeux) Tu te fou de moi?

Dylan: (en espagnol) Je te quitte Emma.

Le choc. Non, non c'est pas possible, non... Il peut pas... Je l'aime et... Je croyait qu'il m'aimer.

Mes larmes coulent, je me retourne en furie et m'enfuis, cours, je ne veux plus le voir. Il ne m'a sûrement jamais aimé. Et il ne m'aimera jamais. J'ai étais bête, idiote, conne. Je m'en veux.

En arrivant ici, je pensais avoir une vie meilleure mais apparemment ce n'est pas le cas.

Je finis par arriver chez Cris.

Je ne peux pas rentrer comme ça. C'est impossible. Je ne veux tout simplement pas rentrer. Donc je m'assis près d'un arbre en repensant à ses affreuses paroles qui m'ont détruites. Mes larmes sont toujours présentes. Je sanglote, je hurle.

Je finis par me calmer toute seule, à bout de force. Je ressentis un présence dans mon dos.

Cristiano: (en espagnol) (en s'asseyant et me prenant dans ses bras) Ça va aller, ne t'inquiète pas je suis là moi.

Moi: (en espagnol) Je ne comprends pas... Je...

Cristiano: (en espagnol) Il n'y a rien à comprendre. C'est comme ça, la vie est faite de bonheur et de tristesse.

Moi: (en espagnol) Mais je l'aimais... Je l'aimais!

Cristiano: (en espagnol) Je sais. Je sais.

Moi: (en espagnol) Je n'en peux plus... Je... Je veux mourir.

Cristiano: (en espagnol) Dis pas ça Emma, moi je serais toujours là d'accord, toujours là pour toi et Junior.

Moi: (en espagnol) Merci... Papa.