Chapitre 15

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PDV Cristiano:

Je viens de finir mon entrainement. Mon portables sonna, c'est le Lycée d'Emma. Bizarre. Je décrocha.

Moi: (en espagnol) Allo?

?: (en espagnol) Monsieur Ronaldo dos Santos Aveiro?

Moi: (en espagnol) Oui, bonjours déjà, que ce passe t'il?

Gareth, Benzema, Sergio, Pepe et Marcelo me regardent.

?: (en espagnol) Bonjours je suis la directrice de l'établissement scolaire d'Emma. Je me permet de vous appelé en personne car il se trouve que Emma à "fugué" du Lycée. Je viens juste d'être avertis maintenant...

Moi: (en espagnol) Putain de merde! Elle est où??

Directrice: (en espagnol) Monsieur, calmer vous, on à déjà appelé la police.

Moi: (en espagnol) Ma fille vient de disparaître dans la nature, en plus dans une grande ville comme Madrid et vous voulez que je me calme?!! Vous vous payer ma tête ou quoi?!!

Je lui raccrocha au nez, me changea vite sous les regards inquiets de mes coéquipiés.

Marcelo: (en espagnol) Qu'est ce qu'il t'arrive mec??

Moi: (en espagnol) Emma... Je sais pas ou elle est, elle a fugué!!

Sergio: (en espagnol) De toute manière tu pouvais pas la séquestrée chez toi pour l'éternité!

Moi: (en espagnol) Ta gueule!!

Sur ce, je partis en claquant la porte très énervé.

PDV Emma:

Je sais pas depuis combien de temps je marche... J'ai étains mon portable. J'aurais même dû le laissé chez Cristiano. Je suis dans un coin pommé de Madrid. Donc j'en déduis que ça dois faire longtemps que je marche... Je me glisse entre deux vielles maisons et vais m'asseoir à côté de cartons empilés. Soudain ces cartons se mettent à bougé, puis un homme s'en extrait.

Moi: (en espagnol) Désoler de vous avoir dérangé, je vais aller voir ailleurs.

Clochard: (en français) Non, tu peux resté, tu ne me dérange pas.

Bizarre, il parle le Français... Quoi que tant mieux au final...

Il fait sombre, du coup je ne peux pas bien voir son visage. Mais pourtant, il me dit quelque chose... Il s'avança.

Clochard: (en français) Comme on se retrouve Emma...

Quand je vis la tête de mon père je fis un bond sur mes pied. Il se leva.

Moi: (en français) Qu'est ce que tu fais ici!!

Papa: (en français) Je te chercher, on a plus un rond.

Il posa sa main sale sur ma joue.

Moi: (en français) Non, non je ne veux pas, tu pense qu'a ça, l'argent!!

Papa: (en français) Regarde dans l'état dans lequel je suis sans toi... Tu pourrais au moins faire un effort pour aider ton vieux père... Pff... Mais que suis-je bête, de toute façon tu n'a pas le choix!

Moi: (en français) Oh si je l'ai!

Je me barra en courant, je l'entendis me suivre. J'entra dans une petite boutique, ferma la porte derrière moi.

?: (en espagnol) Vous avez besoin de quelque chose?

Moi: (en espagnol) Il faut que vous m'aidiez.

Vendeuse: (en espagnol) Comment ça?

Moi: (en anglais) Je me fais poursuivre par un homme, et il va surement rentrer dans cette boutique... Je ne le connais pas (mentis-je), aidez moi, s'il vous plait...

Vendeuse: (en espagnol) Cache toi là (en m'amenant dans une piece priver)

Je n'eue pas le temps de lui dire merci quand la porte de la boutique s'ouvrit.

Papa: (en anglais) Excusez moi mais ma fille est rentrée dans cette boutique... Vous ne l'avez pas vu?

Vendeuse: (en anglais) Elle est passé par la porte de derrière.

Papa: (en anglais) Merci. Je peut y passer moi aussi?

Vendeuse: (en anglais) Si vous voulez...

La vendeuse fit passer mon père par la porte. Après deux minutes elle vint me voir.

Vendeuse: (en anglais) Tu parle Espagnol couramment?

Moi: (en anglais) Non... Je suis en train d'apprendre. Au fait merci pour ce que vous avez fait.

Vendeuse: Ce n'est rien, mais pourquoi tu le fuis si c'est ton père?

Moi: Il n'est pas mon père. C'est un homme cruel, c'est tout.

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ELLIPSE 2 JOURNEES _______________________________________________________________

Je me réveilla sur le banc du parc de Madrid. C'est là que je me suis endormis hier. Je me leva et décida d'aller faire un tour. Je sortis du parc et plusieurs visages se tournèrent vers moi pour me dévisager. Qu' est ce qu'ils ont eux... Ils sont cons ou quoi?... Au fur et à mesure que je marche de plus en plus de personnes se tournèrent certaines même s'arrêtèrent complètement... Bizarre... Je crève la dalle. Il faut que je trouve quelque chose à manger... Je passa à côté d'un bureau de tabac quand soudain mon regard se posa sur des journaux. Dessus il y a en première page une photo de Cristiano.

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